Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
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rps : 30
pseudo : l'oisillon bleu.
id card : rpattz. avatar by mooncalf.
pronom irl : elle.
multicomptes : april.
âge : la lumière sur les vestiges du passé, mélancolie de l'élan de l'innocence où la prose est d'une saveur candide, légère. maturité des saisons, trente-six années où réalisme est source de vie.
statut civil : oisiveté des vents, solitude des terres, osmose des vagues, flammes ardentes des nuits. il a été ainsi avant que le myocarde ne baisse la garde. amour passionné, instants précieux avant que tout s'envole. coeur d'amertume de nouveau gelé avec pour seul berceuse de douceur, son enfant. célibataire, père d'une fillette de cinq ans.
occupation : ébène et ivoire, deux couleurs qui chorégraphient ses doigts sur l'instrument à cordes frappées. pianiste dont la carrière n'est plus qu'un souffle de poussière. barmanau sein du bar familial, reprise d'un rêve de la génération précédente.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
warning : perte de sa petite amie. - parentalité.
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· Lun 19 Aoû - 10:55
Le quotidien a le doit à sa lumière chaque matin lorsque tu entends le rire amusé de ta fille. Cette dernière assise en tailleur sur le canapé regarder un dessin animé, le sourire illuminé par l’humour des enfants de son âge. Douceur sucré, tendresse durable qu’est de la voir ainsi. Grandir un peu chaque jour, baigné par l’aura que dégagé sa défunte maman ayant rejoint le monde d’après, ce monde étoilé que tu lui as dépeins. River, elle aime cet univers où elle peut parler avec sa maman dans le silence ou en solitaire ou même lorsque vous allez lui rendre visite. Déjà habillé, tu as passé un bonnet noir sur ta tignasse en bataille ce qui attire le regard de ta petite poupée. « Si ton bonnet est noir aujourd’hui c’est que t’es pas d’humeur papa ? ». Tu souris en la rejoignant sur le canapé où elle se rapproche de toi pour un câlin père & fille. « Je suis d’humeur c’est juste que j’ai beaucoup de travail et que toi tu vas être en retard à l’école, mh ? ». River fait la moue avant de se lever pour récupérer ses affaires et son sac. En dépit de la monoparentalité que représente votre famille, ta fille est quelqu’un de très mature, débrouillarde et volontaire. Plutôt douée à l’école, elle éprouve une passion innée par la musique. Guère surprenant entre une mère chanteuse et un père musicien.
Quelques minutes plus tard, c’est à pied que vous prenez le chemin de l’école bordant votre quartier. River glisse ta main dans la tienne tandis que vous discutez sur les projets de spectacle de l’école. Timide à souhait, elle a peur de se montrer car elle se cache derrière son instrument. La harpe est un instrument peu joué de nos jours mais elle s’y dissimule aisément à contrario de son talent qui brille déjà. Une fois devant l’école, tu stoppes ta marches pour t’agenouiller à sa hauteur, une main sur son l’épaule, l’autre retenant sa main. « Tu ne dois pas avoir peur, tu es talentueuse tu te souviens ? ». River hoche la tête avec vigueur et sourire avant de te faire une énorme câlin alors que la surveillante appelle les derniers retardataires. « Allez on se voit ce soir ma puce, tata viendra te chercher ! ». « Bonne journée papa ! ». Tu la vois disparaitre dans la foule des derniers mômes avant que l’ultime sonnerie ne retentisse. Tu soupires amusé par l’image avant de te retourner pour prendre le chemin du bar où t’attend l’inventaire. Pas une partie de plaisir mais qui se doit d’être fait. Les mains dans les poches, tu t’apprêtes à bifurquer à droite lorsqu’on te bouscule, une valse de caféine se renversant sur ton sweat. #RPLIBRE
Dernière édition par Heath Walker le Mer 28 Aoû - 11:47, édité 1 fois
Margaret Singh
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
âge : trente-six ans qu'elle foule la terre australienne. elle ajoute une année au compteur tous les 4 juillet.
statut civil : célibataire. malchanceuse en amour, jamais assez bien pour personne, elle a enchaîné les mauvaises surprises et les désillusions. malgré tout, elle garde toujours l'espoir qu'un jour sa chance tourne.
occupation : avocate en droit de la famille, elle a monté son cabinet , singh & specter, avec Kasper il y a deux ans. l'affaire tourne bien, le cabinet commence à être reconnu auprès de leurs pairs.
adresse : appartement 270 à new farm dont elle est très fière. elle l'a aménagé à son goût et ne se voit pas déménager dans un futur proche. en plus, elle a veillé à avoir une chambre d'amis toujours prête à recevoir l'un de ses proches si besoin.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : aucun.
warning : harcèlement, grossophobie, pma.
infos rp : j'écris à la 2ème personne du singulier, entre 400 et 1500 mots en fonction du rp, de l'inspiration et du contexte. je rp en français mais peut faire les dialogues en anglais si nécessaire. je réponds régulièrement mais ne suis pas une lucky luke du rp.
La journée n’avait pas bien commencée. Un client t’avait appelé la veille pour décaler votre rendez-vous à une heure où tu refusais de prendre un rendez-vous. Devant ton refus, il avait promis d’augmenter tes honoraires ce qui te laissait penser qu’il était vraiment désespéré. Qu’importe. Cela voulait dire plus d’argent dans ta poche et si ta famille continuait à vouloir acheter le taudis qui vous avait servis de maison lors de votre enfance, tu allais avoir pouvoir mettre les bouchées double au boulot. Pour l’instant, il n’était pas question de ne pas participer même si l’idée t’avait plus d’une fois traversé l’esprit. Tu avais donc dû te lever à une heure pas possible pour pouvoir descendre à la salle de sport et arriver à l’heure dans les bureaux de cet homme qui s’apprêtait à partir passer un mois à Sydney pour affaires. Des fois, tu ne pouvais pas t’empêcher de penser qu’il y avait certains divorces qui étaient inévitables. Le rendez-vous s’était bien passé et tu avais veillé à lui faire signer le nouveau contrat avec les nouveaux honoraires. Une fois débarrassée de cette corvée, tu t’étais dirigée vers le café le plus proche où tu avais commandé un café que tu avais bu en soupirant de contentement. Pour tenir jusqu’à la fin de la journée, tu savais que tu allais les enchaîner. Tu profitais de ce petit moment tranquille pour répondre à tes messages avant de décider de prendre un autre café à emporter.
Alors que tu sortais du café pour te diriger vers l’arrêt de bus que t’avait indiqué ton téléphone, ce dernier se mit à sonner. Tu décrochais et te retrouvais assaillie de paroles sans queue ni tête par une cliente. Tu sentis la migraine commencer à pointer le bout de son nez. Elle n’était pas méchante mais elle avait besoin d’un psychologue en plus d’un avocat et ça c’était une licence que tu n’avais pas. « Calmez-vous madame Thompson. Je n’ai pas encore eu le temps de lire ce que l’avocat de votre ex-mari m’a envoyé, je m’en occupe ce matin. » Cela ne sembla pas calmer la femme à l’autre bout du fil qui en remit une couche, se victimisant encore et toujours. Autre divorce inévitable, son ex-mari t’avait semblé on ne peut plus rationnel et juste lors de vos négociations. « Ecoutez, laissez-moi regarder et … » Tu ne finis pas ta phrase car tu venais de tourner au coin de la rue et tu venais de rentrer en plein dans quelqu’un. Le café que tu tenais à la main se déversa sur cette pauvre personne. « Oh shit … » Murmuras-tu mais ton interlocutrice t’entendit et tu décidais de prendre une approche plus radicale : « Je vous rappellerai en fin de matinée madame Thompson. Au revoir. » Tu lui raccrochais au nez sans plus de formalité. Elle l’avait mérité de toute manière. Tu jetais ton téléphone dans ton sac avant de lever la tête. L’homme en face de toi était bien plus grand que toi, c’était le cas de la plupart des personnes que tu rencontrais. « Je suis sincèrement désolée. » Lui dis-tu en fouillant dans ton sac pour chercher un paquet de mouchoirs. Des gouttes de café avaient atterries sur toi mais ça, tu l’avais sans doute mérité. Il avait au moins eu le temps de refroidir un peu, tu espérais que l’homme n’était pas brûlé. « Ca va ? Vous n’êtes pas brûlé ? » Il ne manquerait plus que ça pour que cette journée soit encore plus merdique. Tu espérais de toutes tes forces ne pas être tombée sur un connard qui allait rendre la journée encore plus mauvaise …
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Heath Walker
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· Mer 28 Aoû - 11:49
Dans ton esprit, tu essais de faire de dresser le programme de ce que tu dois faire de la matinée. Cette dernière va s’avérer bien longue, tu pourrais presque t’avouer vaincu mais heureusement tu es une bonne nature. Le travail au bar te demande beaucoup de temps et d’investissement, tu ne regrettes pas car cela permet à ton paternel d’avoir l’esprit tranquille. C’est donc en songeant à ce que tu vas faire que tu tournes au coin de la rue et que tu sens une valse de café s’étaler sur ton sweat. Tu lèves les deux mains en gestes de réflexe alors tu regard se pose sur une jeune femme tenant la un gobelet vide dans une main, le téléphone à l’oreille. Elle s’excuse dans la foulée cherchant quelque chose dans ton sac. Te secoues tes mains couverte de liquide tiède mais dont les effluves sont agréable, c’est toujours ça de gagner. Autant voir le bon coté des choses, ce n’est pas si dramatique que cela après tout. Tu soupires doucement regardant l’étendu des dégâts alors qu’elle te demande si tu ne t’es pas brulé. « Oh non ça va, ne vous en faites pas … ». Lui dis-tu d’une voix quelque peu amusé qui frôle l’ironie de l’image que tu dois rendre. « Je me demandai si je devais prendre un autre café ou pas, je crois que vous m’avez aidé à votre manière ? ». Tu esquisses un rire amusé car après tout, il vaut mieux en rire que se mettre en colère. Et c’est loin d’être ton genre, c’est une accident simple pas grave du tout. @Margaret Singh
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adresse : appartement 270 à new farm dont elle est très fière. elle l'a aménagé à son goût et ne se voit pas déménager dans un futur proche. en plus, elle a veillé à avoir une chambre d'amis toujours prête à recevoir l'un de ses proches si besoin.
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La maladresse, ce n’est pas ton truc. Pourtant, il y a des fois où tu ne peux pas y échapper. Tu aurais dû te douter qu’une journée qui avait aussi mal commencé ne te laisserait pas de répis. Tu venais dans un même temps de perdre ton café, pourtant nécessaire à la poursuite de ta journée, et de couvrir le pull de ce bel inconnu qui allait devoir en changer s’il se rendait au travail. La prochaine fois que la journée commence comme celle-là, tu resteras chez toi pour éviter d’entraîner les autres dans ton malheur. Heureusement, première bonne nouvelle de la journée, l’homme en face de toi semble prendre les choses avec philosophie. Son visage n’aborde pas l’air de quelqu’un en colère mais plutôt celui de quelqu’un amusé par la situation. « Oh non ça va, ne vous en faites pas … » Ce que tu retiens de cette phrase c’est qu’il ne s’est pas brûlé. Point positif car il n’aurait plus manqué que tu blesses quelqu’un avec ta maladresse. Cela te permis de respirer un peu mieux et de calmer ton rythme cardiaque. Tout allait bien se passer, l’homme en face de toi semblait accepter l’accident, bien mieux que ce que tu aurais pu imaginer. « Je me demandai si je devais prendre un autre café ou pas, je crois que vous m’avez aidé à votre manière ? » Un rire nerveux s’échappa de tes lèvres. Peut-être que ta chance venait de tourner car les retombées de cet accident semblaient bien légères face aux dégâts causés. « Ravie d’avoir pu rendre service ? » Lui répondis-tu sur le ton de la plaisanterie et sans grande conviction. Te reprenant, tu ajoutais : « Pour me faire pardonner, je vous offre votre café, c’est le moins que je puisse faire. » Tu ne savais pas s’il comptait le prendre dans les parages ou pas mais tu feras un détour s’il le fallait, il ne manquerait plus que tu t’échappes comme si de rien n’était. « Encore une fois je suis désolée, je pense que c’est un signe qu’il ne faut plus que j’accepte de rendez-vous avant huit heures du matin. » Lui dis-tu avec un sourire désolé en secouant la tête.
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Heath Walker
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· Dim 8 Sep - 15:53
S’il y a bien une chose que l’existence t’a apprise c’est que la dureté des émotions prend racine dans la réalité et ce qui l’accompagne. Le décès de Molly a imprimé nombres de maux à ton être, ils demeurent comme agrafés à ton essence loin de l’enveloppe charnelle. Les apparences prétendent bien des choses, donner le change pour ne rien laisser paraitre. Pour autant, te faire renverser un café par maladresse n’est pas la mer à boire. Alors oui, tu le prends avec dérision mais surtout avec légèreté. Il y a bien pire dans la vie, tu le sais mieux que personne et l’alliance à ton annulaire gauche te le rappelle chaque jour depuis presque six ans. La jeune femme semble un peu à cran ou plutôt partout à la fois , tu le remarques au téléphone qu’elle avait encore à la main juste avant de renversé son café. Ta réponse semble quelque peu la détendre, tant mieux parce que tu imagines qu’être sous pression n’est pas gérable pour tout le monde, encore moins bon pour la santé. Tu tentes alors d’insérer une petite touche de blague pour alléger l’atmosphère. Tu souris amusé à la réponse interrogative de la jeune blonde qui te propose un café pour se faire pardonner. « Je vous assures que vous n’êtes pas obligé, mais si vous insistez, je ne dis pas non. ». Lui dis-tu tout en souriant sincèrement avant d’enlever ton sweat désormais bon pour un tour en machine. La jeune femme s’excuse encore et semble bien moins sous l’emprise de la panique que tout à l’heure. « Oh pas de problème, ça arrive et croyez moi les maladresses je les connais au quotidien … ». River en connait un rayon sur le sujet, un peu comme ta petite soeur aussi. Alors que tu vous marchez en direction du coffee shop le plus près, tu remarques un indice dans sa phrase. « Vous devez avoir un métier qui demande beaucoup non ? ». @Margaret Singh
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Difficile de se calmer quand tout semble s’enchainer contre toi. Tu détestes être sous pression de cette manière. Tu sais la gérer la plupart du temps mais quand tout s’enchaine de cette manière, cela te semble juste insupportable. Mais la détente avec laquelle ton interlocuteur prend la situation te laisse penser qu’enfin, tu vas pouvoir respirer. Beaucoup à sa place n’auraient pas réagi ainsi alors tu apprécis son calme et sa sérénité. Quand il mentionne le fait qu’il allait prendre un café, cela te semblait tout naturel de l’inviter. Tu lui devais bien cela après avoir renversé le tien sur son pull. « Je vous assures que vous n’êtes pas obligé, mais si vous insistez, je ne dis pas non. » Un sourire tout fier se dessina sur ton visage. Parfait s’il n’essayait pas de t’en dissuader, cela allait te permettre de te racheter un petit peu. « Je ne me sens pas obligée, on m’a simplement appris les bonnes manières. » Ce n’était pas vrai, enfin, ce n’était pas tes parents qui s’en étaient chargés, ton éducation tu l’avais faite en observant les parents des autres et les conseils qu’ils pouvaeint donner à leurs enfants. Il enlève son pull alors que vous vous mettez en marche vers le café le plus proche tout en continuant de te rassurer. « Oh pas de problème, ça arrive et croyez moi les maladresses je les connais au quotidien … » Un sourire amusé se dessine sur ton visage. Peut-être a-t-il des enfants ou un entourage très maladroit ? Cela expliquerait qu’il ne t’ait pas crié dessus ou qu’il n’ait pas cherché à se venger. « Vous êtes entouré de personnes maladroites ? » C’était une question comme une autre pour faire la conversation. Elle était assez ouverte pour qu’il puisse répondre ce qu’il désirait, il n’avait pas à te confier toute sa vie de toute manière. tu profitais du fait qu’il range son pull pour remettre ton téléphone dans ton sac. « Vous devez avoir un métier qui demande beaucoup non ? » Tu hausses les épaules parce qu’en général, cela ne te dérange pas. Tu adores ton métier, c’est une passion pour toi mais oui, ce n’est pas le genre de métier où l’on laisse son travail derrière soit quand on quitte le bureau. « Je suis avocate en droit de la famille. C’était une véritable vocation pour moi donc je ne peux pas me plaindre. Mais ce n’est pas tous les jours simple de gérer des personnes que vous accompagnez dans des moments de vie difficile. » Dis-tu en haussant les épaules. Alors que vous arriviez devant l’entrée, tu lui ouvris la porte : « Vous avez un métier plus tranquille de votre côté ? » Lui demandas-tu curieuse avant d’ajouter : « Au fait, je m’appelle Margaret. » Oui, autant lui donner ton prénom, ce sera tout de même plus sympathique.
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· Sam 21 Sep - 19:55
Les situations compliquées tu as connus, pas toujours évident pour certains d’avoir la tête froide dans ces instants là mais de nature, tu es tempéré. La vie t’a fait vivre le pire par le passé. Et à partir de ce moment là tu t’es dit que rien de pire ne pourrait subvenir. Bien évidement la peur de perdre ta gamine est quotidienne mais tu as apprivoiser cette crainte afin que River ne vive pas cela. Alors oui, tu ne vois aucune raison de te mettre en colère, il y a bien pire dans la vie. Tu souris lorsqu’elle te dit en toute franchise qu’il s’agit uniquement de ses bonnes manières. Son honnêteté est spontanée et rafraîchissante à la fois, ça fait du bien de croiser des gens appartenant encore à se registre. Tu la rassure en lui confiant que les maladresses un mot en haut de la to do list de ton quotidien. Tu esquisses un mince rictus au coin de ta bouche en songeant à ta fille, à ta petite soeur ou même encore à ta meilleure amie. « On peut dire cela oui. Ma fille est plutôt doué dans ce registre si vous voyez où je veux en venir ? ». La jeune femme devait avoisiné le début de la trentaine, l’âge de Raeve à tout cassé donc elle devait certainement comprendre combien des enfants pouvez être maladroits, ou même les adultes ?
Tu plies ton sweat à capuche noir que tu ranges ton sac alors que tu te permets de reprendre en la questionnant combien son métier semble prenant. Sa réplique fait sens lorsqu’elle dévoile qu’elle est une avocate en droit de la famille. Cette spécialité lui va plutôt bien, même si tu ne connais pas du tout la rouquine. « Mh, je comprends parfaitement. La force de votre passion vous donne de la patience, c’est un beau métier, peu simple mais un peu comme dans tous les domaines … ». Chaque corps de métiers à ses avantages et ses inconvénients après tout ? Tu hausses les épaules tout en ouvrant la porte du coffee shop pour laisser passer la jeune avocate. « si on veut ça dépend j'ai envie de vous dire. ». Commences-tu alors que vous vous retrouvez à l’intérieur du café où les effluves âcres et gourmandes se mélangent. « Avant j’étais pianiste mais j’ai mis un terme à ma carrière et désormais je bosse dans le bar familial. ». Ton nom d’artiste étant le même, nombreux sont ceux qui te reconnaissent mais c’est une arcane de ta vie que tu tentes de mettre derrière toi. Les souvenirs sont trop douloureux. « Enchanté Margaret, moi c’est Heath. » . lui dis-tu tout en lui tendant une main. @Margaret Singh
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Il ne sert à rien de se répéter encore et encore, ce qui est fait est fait. Tu ne peux pas remonter le temps et ne pas renverser ton café sur cet homme alors maintenant tu dois en subir les conséquences. Il le prend plutôt bien ce qui est un vértable plus pour toi et qui te pousse encore davantage à lui offrir un café pour te faire pardonner. Comme tu le lui dis, ce sont simplement des bonnes manières, tu refuses de laisser derrière toi une mauvaise impression et d’incarner ce cliché de l’avocat qui ne se préoccupe que de son nombril. C’est curieuse que tu demandes à ton interlocuteur s’il est entouré de personnes maladroites. Après tout, cela peut arriver. « On peut dire cela oui. Ma fille est plutôt doué dans ce registre si vous voyez où je veux en venir ? » Un sourire se dessine de suite sur tes lèvres. Ton interlocuteur est papa, il a bien de la chance. Sa voix s’est adoucie en te parlant de sa fille et tu peux voir sur son visage qu’il l’aime profondément. C’est comme ça que devraient être tous les parents mais les tiens ne se préoccupaient de vous que quand il était temps de toucher des allocations ou de vous estorquer de l’argent. « Je vois très bien même si je n’ai pas d’enfants. Peut-être que cela s’apaisera avec le temps ? » Lui dis-tu en haussant les épaules. « Elle a quel âge ? » Oui parce que tu as assumé qu’elle était encore enfant mais peut-être que ce n’était plus le cas. Ton métier t’avait appris à ne pas juger une personne par ce qu’elle vous laissait voir d’elle. Une fois à l’intérieur du café, l’homme à tes côtés plia son pull bien tâché alors que la chaleur du lieu vous engloba. C’est dans ce lieu que tu te retrouvas à parler de ton métier et de la passion qu’il constituait pour toi. « Mh, je comprends parfaitement. La force de votre passion vous donne de la patience, c’est un beau métier, peu simple mais un peu comme dans tous les domaines ... » Il avait raison, chaque métier avait ses spécificités, pas toutes simples. Il y avait des avantages et des inconvénients pour tout le monde. Tu retournais la question à ton interlocuteur qui te surprit par sa réponse : « si on veut ça dépend j'ai envie de vous dire. Avant j’étais pianiste mais j’ai mis un terme à ma carrière et désormais je bosse dans le bar familial. » Ton coeur se serre alors que tu ne peux t’empêcher de penser à Miles et à la rencontre qui avait été la vôtre. Un sourire triste se dessine sur ton visage à ces souvenirs et il est clair que ton interlocuteur n’a pas envie de revivre cette période de sa vie. « C’est une sacrée reconversion. » Ne pus-tu t’empêcher de lui faire remarquer. « Vous ne regrettez pas d’avoir arrêté ? » Après tout, il y avait beaucoup de raisons qui pouvaient expliquer ce changement, elles n’étaient pas forcément mauvaises. « Enchanté Margaret, moi c’est Heath. » Tu tendis ta main pour serrer la sienne avec un sourire. Il était temps pour vous de commander alors tu lui dis : « Enchantée Heath. Je vous laisse commander ce que vous voulez, faites-vous plaisir ! » Tu devais bien ça à la personne qui ne t’avait pas sauté à la gorge après l’incident plusieurs minutes plus tôt.
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· Sam 19 Oct - 12:04
Loin d’être un être pourvu de maladresse, tu as néanmoins eu ton quota si on prend en compte ta petite soeur et ta petite cousine. Seul présence masculine au sein d’une sphère féminine. Tu as envers cette dernière un respect totale. Avec la naissance de ta petite poupée, la maladresse reste de coutume dans l’apprentissage. Après cela peut être un trait de son caractère sans doute. « Peut être, mais la maladresse peut être un atout parfois ? ». Lui confies-tu sincèrement avant de lui dire que tu as une fille et que donc tu es à bonne école avec les petits accidents maladroits. La jeune avocate te pose alors la question concernant River. « Elle va bientôt avoir six ans ». Oui le temps passe vite, beaucoup trop vite à ton gout mais ce n’est peut pas plus mal. Le temps passe mais l’esprit peine à réaliser. Enfin entrer dans le Coffee shop, les effluves de caféine redoublent de saveur. Tu en viens à lui partager son avis sur les différents métiers, ces derniers avaient leurs avantages et leurs aléas. Tu parles de toi de manière véridique mais évasive, ne rentrant pas dans les détails. Après tout, même la presse people n’a jamais réussi à mettre la vérité sur ta situation familiale, te jugeant comme le mystérieux musicien.
Un statut abandonné au profit d’une veste de barman que tu avais endossé plus jeune pour travailler, aider ton père et tes oncles. Aujourd’hui, c’est la reconversion du gagne du pain si on peut le dire ainsi. Tu as de l’argent qui sommeille que cela soit de ton coté ou bien celui de ta défunte petite amie. Molly avait mis de coté pour votre fille, comme si elle avait pris ses dispositions en conséquences. Tu secoues la tête ramené par les paroles de la jeune femme. « Ouais, mais dans la famille on s’adapte vite. ». En effet, un Walker est capable de s’adapter, de vrais caméléons. Tu hausses les épaules tout en écoutant l’interrogation. « Il n’y a pas de regret, enfin j’imagine que je ne vis pas dans les regrets de la vie. Les évènements se sont présentés ainsi et j’ai pris les décisions en conséquences. ». Tu ne pouvais pas être plus honnête car c’était la stricte vérité. Tu décides de te présenter quand même, tendant une main à la jeune brune prénommée Margaret. Ça te fait plaisir de rencontrer une tête nouvelle, ça change et parfois les bousculade caféine ont du bon quelque part ? Tu ricanes légèrement à ses dernières paroles avant de commander un simple américano auprès du barista. « Vous travaillez dans le quartier depuis longtemps ? ». @Margaret Singh
Margaret Singh
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
âge : trente-six ans qu'elle foule la terre australienne. elle ajoute une année au compteur tous les 4 juillet.
statut civil : célibataire. malchanceuse en amour, jamais assez bien pour personne, elle a enchaîné les mauvaises surprises et les désillusions. malgré tout, elle garde toujours l'espoir qu'un jour sa chance tourne.
occupation : avocate en droit de la famille, elle a monté son cabinet , singh & specter, avec Kasper il y a deux ans. l'affaire tourne bien, le cabinet commence à être reconnu auprès de leurs pairs.
adresse : appartement 270 à new farm dont elle est très fière. elle l'a aménagé à son goût et ne se voit pas déménager dans un futur proche. en plus, elle a veillé à avoir une chambre d'amis toujours prête à recevoir l'un de ses proches si besoin.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : aucun.
warning : harcèlement, grossophobie, pma.
infos rp : j'écris à la 2ème personne du singulier, entre 400 et 1500 mots en fonction du rp, de l'inspiration et du contexte. je rp en français mais peut faire les dialogues en anglais si nécessaire. je réponds régulièrement mais ne suis pas une lucky luke du rp.
« Peut être, mais la maladresse peut être un atout parfois ? » Est-ce que la maladresse était une bonne ou une mauvaise chose ? Tu ne savais pas trop. Il devait bien y avoir des moments où ce n’était pas un problème mais tu évoluais dans un métier où tu n’avais pas le droit de te le permettre. Et comme professionnellement tu ne te le permettais pas, tu appliquais ce principe à ta vie de manière générale. « Je dirais que cela peut l’être mais tout dépend de ce que vous faites dans la vie. » Lui répondis-tu le plus sincèrement du monde avant d’ajouter : « Aujourd’hui cela m’a permis de faire une belle rencontre donc je ne me plains pas. » Cela aurait pu être bien pire. Tu ne savais pas ce que tu tirerais de cette maladresse ou de ce café partagé mais tu vivais un moment agréable donc dans tous les cas tu en garderas un bon souvenir. Parce que tous les parents aiment parler de leurs enfants, tu interroges ton interlocuteur sur l’âge de sa fille. « Elle va bientôt avoir six ans » Elle n’était plus un bébé, c’était déjà une enfant avec qui les moments partagés devaient être agréables. Ton coeur se serra alors que tu pensais à ce rêve que tu gardais enfoui et qui n’avait pour l’instant aucune chance de se réaliser. « Elle est musicienne elle aussi ? » Demandas-tu curieuse. Ce n’était pas forcément quelque chose qui se passait de manière héréditaire mais il y avait quand même des chances que la fille veuille partager la passion du père.
Alors que ton interlocuteur te confiait avoir fait une reconversion inattendue, tu ne pus t’empêcher de lui demander si cela n’avait pas été trop violent. Tu avais du mal à imaginer ce que ce serait pour toi, si soudainement tu devais te reconvertir dans un domaine totalement différent. Non, tu ne te voyais pas faire autre chose mais il devait avoir eu des raisons de faire ce choix, des raisons qui ne regardaient que lui. « Ouais, mais dans la famille on s’adapte vite. Il n’y a pas de regret, enfin j’imagine que je ne vis pas dans les regrets de la vie. Les évènements se sont présentés ainsi et j’ai pris les décisions en conséquences » C’était une magnifique manière de voir les choses. Tu connais trop de gens qui avancent chaque jour avec des regrets qui les empêchent d’être heureux et d’avancer. Vivre dans le passé et dans une réalité qui ne se produira jamais n’est vraiment pas brillant et cela est rafraichissant de voir quelqu’un qui était arrivé à faire de ces changements quelque chose de positif. « Peu de personnes sont capables de le faire. Tellement aiment vivre dans leurs regrets. Tant mieux pour vous et votre fille, vous n’en serez que plus heureux. » Lui dis-tu avant d’arriver près du comptoir. « Et qui sait ? Vous aurez peut-être une chance de renouer avec votre passion. » On ne sait jamais de quoi la vie sera faite, il ne faut jamais dire jamais. Même si tu étais plutôt dans la team, je crée mes propres opportunités, il n’est pas rare que certaines vous tombent entre les mains sans n’avoir rien fait. Vous commandiez tous les deux vos cafés avant qu’Heath ne te demande : « Vous travaillez dans le quartier depuis longtemps ? » Tu te décales une fois que tu as payé pour attendre le café au bout du comptoir et dégager les caisses. « Je ne travaille pas dans le quartier. Je passais voir un client qui ne pouvait pas se déplacer mais mon cabinet est en plein dans le business district. » Ce n’était pas pour te vanter, c’était simplement pour éclaircir la situation et puis sait-on jamais ? Peut-être qu’un jour Heath pouvait avoir besoin d’un avocat ? Vous couvriez une grande partie des spécialités à vous trois. « Votre bar se trouve dans le quartier ? » Lui demandas-tu curieuse. Après tout, c’était difficile de trouver des lieux vraiment sympas pour sortir donc dégotter une bonne adresse ne faisait pas de mal.
I've been spending the last months thinking all love ever does is break and burn, and end. But alongside you, I'm watching it all begin again
Heath Walker
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
paper rings
messages : 348
rps : 30
pseudo : l'oisillon bleu.
id card : rpattz. avatar by mooncalf.
pronom irl : elle.
multicomptes : april.
âge : la lumière sur les vestiges du passé, mélancolie de l'élan de l'innocence où la prose est d'une saveur candide, légère. maturité des saisons, trente-six années où réalisme est source de vie.
statut civil : oisiveté des vents, solitude des terres, osmose des vagues, flammes ardentes des nuits. il a été ainsi avant que le myocarde ne baisse la garde. amour passionné, instants précieux avant que tout s'envole. coeur d'amertume de nouveau gelé avec pour seul berceuse de douceur, son enfant. célibataire, père d'une fillette de cinq ans.
occupation : ébène et ivoire, deux couleurs qui chorégraphient ses doigts sur l'instrument à cordes frappées. pianiste dont la carrière n'est plus qu'un souffle de poussière. barmanau sein du bar familial, reprise d'un rêve de la génération précédente.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
warning : perte de sa petite amie. - parentalité.
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· Mer 13 Nov - 10:23
Tu opines du chef lorsque tu écoutes sa première réplique. C’est vrai, la maladresse est un trait de caractère qui se nourrit de dualité selon les circonstances. Tout dépend de la situation et des personnes finalement. L’esquisse d’un sourire pour montrer que tu es d’accord avec elle, sur le fait que l’aspect maladroit de votre situation commune aura permis de faire une rencontre. Une agréable rencontre il faut le dire. « Je suis bien d’accord. ». La maladresse a menée sur le sujet de conversation de ta petite poupée tout juste âgé de bientôt six ans. Le temps passe vite, trop vite. Et la question de la jeune femme ne te surprend guère car souvent certaines passion se transmettent. La musique est une affaire de famille dans ta famille mais avec deux parents dans le domaine, River avait très peu de chance de ne pas aimer cela. « Et oui, elle a débuté relativement tôt avec un choix d’instrument qui se veut on ne peut plus rare pour une gamine de son âge. ». Tu lui as toujours fait écouter toutes sortes de musique, de tous les registres. Tu voulais qu’elle ait une ouverture d’esprit le plus dense possible. Le classique au moderne, elle aime de tout, écoute de tout. Pour autant, son choix s’est porté sur la harpe avec des arguments dont tu as saisie la notion rapidement.
Rebondir sur le changement de ta sphère professionnelle n’est pas un problème, de coutume tu ne t’y attardes pas plus que cela. Après la disparition de Molly, tu ne voyais plus jouer de la musique. Jouer au piano devient une douleur profonde, tu ne joues ou presque — hormis en présence de ta fille ou juste pour épancher des sentiments trop lourd à porter. C’est un exutoire comme un autre mais c’est ton seul moyen pour moins souffrir et libéré les émotions trop profondément enfouie en toi. « Mh … j’espère que vous avez raison … la vie est pleine de surprises et certaines d’entre elles sont loin de faire plaisir … ». Tu le sais mieux que personne. « Peut être, on verra ça que l’avenir me réserve même si je ne suis plutôt cartésien sur le sujet. ». Lui réponds en ricanant légèrement avant de lui demander si elle travaille dans le quartier depuis longtemps. Cet arrondissement, tu le connais plutôt bien pour y avoir grandit une partie de ta vie mais pour y vivre depuis presque six ans. Vous décalant pour laisser la fil s’activer derrière vous tu écoutes ses propos. Oui sinon, tu aurais sans doute croisé la jeune femme depuis le temps ? Tu hoches lentement la tête comprenant sa présence dans le coin. Peut être auras-tu besoin des services d’un avocat dans le temps ? « Exactement, il s’agit de celui de mon père et mon oncle à dire vrai, mais la génération suivante reprend le relais … ». Tout est une histoire familial chez les Walker après tout. @Margaret Singh
Margaret Singh
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
âge : trente-six ans qu'elle foule la terre australienne. elle ajoute une année au compteur tous les 4 juillet.
statut civil : célibataire. malchanceuse en amour, jamais assez bien pour personne, elle a enchaîné les mauvaises surprises et les désillusions. malgré tout, elle garde toujours l'espoir qu'un jour sa chance tourne.
occupation : avocate en droit de la famille, elle a monté son cabinet , singh & specter, avec Kasper il y a deux ans. l'affaire tourne bien, le cabinet commence à être reconnu auprès de leurs pairs.
adresse : appartement 270 à new farm dont elle est très fière. elle l'a aménagé à son goût et ne se voit pas déménager dans un futur proche. en plus, elle a veillé à avoir une chambre d'amis toujours prête à recevoir l'un de ses proches si besoin.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : aucun.
warning : harcèlement, grossophobie, pma.
infos rp : j'écris à la 2ème personne du singulier, entre 400 et 1500 mots en fonction du rp, de l'inspiration et du contexte. je rp en français mais peut faire les dialogues en anglais si nécessaire. je réponds régulièrement mais ne suis pas une lucky luke du rp.
La fille d’Heath est votre second sujet de conversation. C’est toujours un plaisir pour les parents de parler de leurs enfants et toi, cela ne te dérangeait pas le moins du monde. L’idée de te reproduire et de laisser sur le monde une petite partie de toi qui vivra sa propre vie te plaisait beaucoup. Ta propre histoire familiale était plus que décevante et tu ne pouvais t’empêcher de penser que peu importe le contexte, tu ne pouvais pas faire pire que ce que tes parents vous avaient infligé. « Et oui, elle a débuté relativement tôt avec un choix d’instrument qui se veut on ne peut plus rare pour une gamine de son âge. » Cela eut le don de t’intriguer. Pas musicienne pour deux sous, tu n’étais pas une spécialiste mais tu avais pu te rendre plusieurs fois à divers concerts et tu avais appris au cours de ton éducation à savoir reconnaître les divers instruments. C’était le maximum de tes connaissances donc la petite fille d’Heath du haut de ses six ans en savait certainement bien plus que toi. « Elle s’est lancée dans l’apprentissage de quel instrument ? » Il ne pouvait pas te laisser ainsi en plein suspens. Maintenant il fallait que tu saches, n’étant pas le moins du monde surprise que la passion du père se soit transmise à sa fille. C’était souvent le cas, c’est ce que tu avais remarqué chez tes amis et tes camarades de classe en grandissant. Tu remerciais tous les Dieux qui existaient qu’aucun de tes frères et soeurs n’aient suivi l’exemple de tes parents. L’irresponsabilité, l’alcool et la drogue, cela suffisait chez eux.
Tu te montrais avant tout admirative de la reconversion professionnelle d’Heath parce que cela ne devait pas être simple. En tout cas, tu n’arrivais pas à l’imaginer ainsi. Lui, il semblait être tout à fait satisfait de la situation et c’était bien le principal finalement. « Mh … j’espère que vous avez raison … la vie est pleine de surprises et certaines d’entre elles sont loin de faire plaisir … Peut être, on verra ça que l’avenir me réserve même si je ne suis plutôt cartésien sur le sujet. » Derrière ces mots prononcés avec légèreté, tu compris que l’homme en face de toi n’avait pas dû vivre que de bonnes expériences dans sa vie. Il est rare que cela n’arrive pas avec les années, on ne peut pas toujours gagner au loto de la vie n’est-ce pas ? Mais cela t’attrista parce que personne ne méritait cela. « L’essentiel est de vivre dans le présent et d’y être bien au moment où l’on y est. » Certains vivent dans le passé, certains vivent dans un futur qu’ils aimeraient atteindre mais n’atteindront jamais. Dans les deux cas, ce sont des vies gâchées à tes yeux. Et Heath a une petite fille qui a désespérément besoin de ses parents alors rien ne sert de vivre de regrets. Tu expliques ensuite à ton interlocuteur pourquoi tu te trouves dans ce quartier qui n’est pas celui où tu travailles habituellement et tu en profites pour lui demander si son bar se trouve par ici : « Exactement, il s’agit de celui de mon père et mon oncle à dire vrai, mais la génération suivante reprend le relais … » Un pincement au coeur apparait à ces paroles car chez les Singh, vous n’avez pas ce genre d’histoire. Vous n’avez pour vous lier que des cicatrices sur lesquelles la moindre parole fait l’effet d’une brûlure encore trop profonde. « C’est votre père qui doit être content de voir son affaire rester dans la famille. Vous me laissez le nom ? » Lui demandas-tu le plus sérieusement du monde en sortant ton carnet. « On a toujours besoin de nouveaux endroits pour sortir prendre un verre, je trouverai bien une âme aventureuse pour m’accompagner. » Ajoutas-tu pour qu’il ne pense pas que tu étais trop collante.
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Heath Walker
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pseudo : l'oisillon bleu.
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pronom irl : elle.
multicomptes : april.
âge : la lumière sur les vestiges du passé, mélancolie de l'élan de l'innocence où la prose est d'une saveur candide, légère. maturité des saisons, trente-six années où réalisme est source de vie.
statut civil : oisiveté des vents, solitude des terres, osmose des vagues, flammes ardentes des nuits. il a été ainsi avant que le myocarde ne baisse la garde. amour passionné, instants précieux avant que tout s'envole. coeur d'amertume de nouveau gelé avec pour seul berceuse de douceur, son enfant. célibataire, père d'une fillette de cinq ans.
occupation : ébène et ivoire, deux couleurs qui chorégraphient ses doigts sur l'instrument à cordes frappées. pianiste dont la carrière n'est plus qu'un souffle de poussière. barmanau sein du bar familial, reprise d'un rêve de la génération précédente.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
warning : perte de sa petite amie. - parentalité.
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· Dim 24 Nov - 17:29
En dépit de ta facette communicative se dissimule également un être parfaitement en retrait qui se satisfait d’une solitude qu'il trouve paisible. Tu as appris à l’apprivoiser, à ta manière et tu t’y abandonnes bien volontiers une fois la nuit tombé, lorsque River dort sereinement. Elle t’es nécessaire depuis la disparition de sa mère, c’est dans le silence et l’abstrait que tu trouves refuges. Alors oui, lorsque l’on parle de ta gamine tu es prompt à la discussion et cela est beaucoup plus facile avec une jeune femme comme Margraret. Ta fille n’avait pas un choix d’instrument commun mais plutôt original, plutôt classique mais sur lequel personne ne s’attarde. C’était un choix audacieux mais tu comprendrais pourquoi elle avait jeté son dévolu sur la harpe. Un instrument qui mêle la passion de l’opéra en référence à sa figure maternelle mais également l’harmonie des accords pour souligner la passion qui est la tienne. Il y a quelques années en arrière, tu étais le pianiste le plus prisé de ta génération. Avant que tout ne change, avant tout ne soit bouleversé de manière irrévocable. « la harpe … ce n’est un choix simple, ni commun mais je l’encourage de mon mieux et malgré son jeune âge elle sait déjà y faire. ». Ta poupée est volontaire, inspiré mais surtout elle apprend vite — aussi bien qu’elle grandit.
De nature cartésienne, tu as appris a prendre vie comme elle venait — mais surtout faire avec ce que le hasard pouvait t’imposer. Ta réponse peut quelque peu étonné surtout au vue de la jeunesse mais pour autant c’est ce que tu penses. Les propos tenus par la jeune blonde t’arrache un petit sourire entendu car tu partages son avis. « Je crois que c’est une bonne chose, vous avez tout à fait raison. ». Après tout on a pas trop le choix alors autant faire avec. « oui bien sur, il s’agit du seul bar familial dans le coin mais bon on ne sait jamais. ». Lui dis-tu tout en cherchant une carte dans ton portefeuille avant de la lui tendre. The bear était un bar à l’image de la fratrie que composait ton père et ton oncle, trop connu par une belle brochette de clients fidèles depuis plusieurs années. « Et lorsque vous viendrez, j’espère avoir l’occasion de vous offrir un verre, je vous dois bien ça. ». @Margaret Singh