Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge : trente-six ans qu'elle foule la terre australienne. elle ajoute une année au compteur tous les 4 juillet.
statut civil : célibataire. malchanceuse en amour, jamais assez bien pour personne, elle a enchaîné les mauvaises surprises et les désillusions. malgré tout, elle garde toujours l'espoir qu'un jour sa chance tourne.
occupation : avocate en droit de la famille, elle a monté son cabinet , singh & specter, avec Kasper il y a deux ans. l'affaire tourne bien, le cabinet commence à être reconnu auprès de leurs pairs.
adresse : appartement 270 à new farm dont elle est très fière. elle l'a aménagé à son goût et ne se voit pas déménager dans un futur proche. en plus, elle a veillé à avoir une chambre d'amis toujours prête à recevoir l'un de ses proches si besoin.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : aucun.
warning : harcèlement, grossophobie, pma.
infos rp : j'écris à la 2ème personne du singulier, entre 400 et 1500 mots en fonction du rp, de l'inspiration et du contexte. je rp en français mais peut faire les dialogues en anglais si nécessaire. je réponds régulièrement mais ne suis pas une lucky luke du rp.
Quand le texto d’Owen était arrivé dans ton téléphone, tu avais poussé un cri de joie qui avait fait sursauter tes collègues au cabinet. Kasper s’était précipité dans votre salle de pause pour vérifier que tout allait bien, ce qui était en effet le cas. Depuis que ton meilleur ami avait déménagé à Sydney, les occasions pour se voir en chair et en os n’étaient pas nombreuses. Tu te rendais à Sydney quelques fois par an et tu faisais toujours en sorte de prévenir à l’avance pour passer du temps avec Owen. Cette fois, c’était lui qui faisait le voyage et il n'avait mentionné aucun match de rugby ce qui éveilla tes soupçons. Les textos suivants confirmèrent ton intuition. Owen voulait te parler de quelque chose d’important et souhaitait le faire de vive voix. Tu ne lui posais donc pas des dizaines de questions, cela ne fonctionnerait pas de toute façon. Il allait falloir te montrer patiente et espérer que ce n’était rien de grave. Des derniers échanges avec ton ami, tu avais bien compris que sa situation maritale était loin d’être idylique. Ayant été la témoin du mariage arrangé de ton ami, tu l’avais vu se résigner à son sort, celui désigné par sa famille. Cela t’avait fait penser à la tienne, à ce clan pour qui vous seriez tous capables de plus ou moins n’importe quoi. Mais Owen n’était plus le jeune homme malléable qu’il avait un jour été. Avait-il décidé de reprendre son avenir en main ? Tu devras attendre le lendemain pour le savoir. La discussion s’annonçant sérieuse, tu préférais lui donner rendez-vous à un endroit calme où vous pourrez être tranquille. Quoi de mieux que l’ancien café où vous vous retrouviez lorsque vous étiez étudiants ? Tu ne comptais plus les heures que vous aviez passées dans cet endroit, ni les discussions interminables que vous y aviez eu au lieu de vous concentrer sur vos manuels. Tu y retournais de temps en temps et tu savais qu’il n’y aurait pas de problèmes pour trouver une place en milieu de matinée, quand les lève-tôts sont déjà venus s’abreuver et avant que l’après-midi ne commence.
Malgré le fait que c’était samedi et que tu n’avais pas à te lever pour aller bosser, tu avais mis le réveil. Une heure plus tard que d’habitude, simplement pour marquer le weekend et compenser les heures de sommeil volées dans la semaine. Ta routine était la même, tu descendis à la salle de sport installée dans ton immeuble pour ta séance de sport quasi quotidienne. Il était trop tôt pour qu’il y ait quelqu’un donc tu pus faire ton circuit habituel, circuit qu’Owen s’était fait un plaisir de te construire et te changeait quelques fois par an quand tu avais besoin de changer de routine. Après une heure à transpirer en musique, tu étais remontée te doucher et te préparer. Brisbane vivait un été aux températures bien chaudes. Tu décidais donc d’opter pour une robe fleurie qui te mettait en valeur. Prenant un peu d’avance, tu allais attendre le bus qui t’amena au café où tu devais retrouver Owen. En entrant à l’intérieur, un rapide coup d’oeil te permit de voir que ton ami n’était pas là. Tu choisis donc la table la plus reculée, celle qui vous laissait le plus de confidentilité possible. La serveuse ne tarda pas à venir prendre ta commande et tu profitais de l’occasion pour discuter un peu. Au fil des semaines et des mois, vous aviez appris à vous apprivoiser, toi, la cliente fidèle et elle, l’une des seules employées. Tu l’interrogeais sur ses études quand tu vis Owen passer la porte de l’établissement. Un coup d’oeil vers l’entrée lui fit comprendre que tu n’étais plus seule et elle s’éclipsa en te disant qu’elle reviendrait bientôt prendre la commande du nouvel arrivant. « Owen ! » T’exclamas-tu en te jetant dans les bras de ton ami. Heureusement pour toi, il s’était baissé pour t’accueillir car sa grande taille faisait qu’il passait très rarement inaperçu. « Je suis contente de te voir ! Désolé d’avoir joué la carte nostalgie mais il se trouve que l’endroit est toujours aussi accueillant. » Ne pus-tu t’empêcher de lui dire alors qu’il n’avait sans doute pas eu l’occasion de venir depuis de longues années probablement. « Tu as fait bon voyage ? » Lui demandas-tu pour lancer la conversation. Tu préférais garder la conversation légère et le laisser lancer le sujet dont il voulait te parler. Rien ne pressait de toute manière, tu lui accorderais tout le temps dont il avait besoin, c’était ton meilleur ami après tout.
âge : Il a 36 ans, désormais plus proche des quarante ans que des trente ans. L'âge n'est pas quelque chose d'important pour lui, vieillir ne lui fait pas peur, en revanche vieillir seul c'est déjà plus dur à accepter.
statut civil : Il est divorcé, après avoir passé de trop nombreuses années à une femme qu'il n'aimait pas à cause d'un mariage arrangé organisé par ses parents. Il a enfin décidé de mettre fin à ce mariage qui le rendait malheureux, en découvrant notamment que son ex-femme lui avait menti sur bien des points.
occupation : Il vient de prendre son poste de coach sportif au jetts fortitude valley.
adresse : Un loft au #109 Fortitude Valley.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
infos rp : Je rp à la 1ère personne ▬ J'écris environ 500 mots, parfois plus, parfois moins, mais je m'adapte en général ▬ Je fais au mieux pour répondre le plus rapidement possible mais ma présence dépend beaucoup de mon état de fatigue. Je rp quand j'ai le temps, quand j'ai envie et quand mon état me le permet.
Je lui avais envoyé un message, à Margaret. Parce que même si j'avais quitté la ville il y avait plusieurs années de ça maintenant, nous ne nous étions pas perdus de vue pour autant. Elle était ma meilleure amie, depuis bien trop longtemps maintenant pour que je ne puisse me passer d'elle. Margaret, c'était comme une sœur pour moi, celle à qui je pouvais absolument tout dire sans avoir peur d'être jugé, et puis, du plus loin que je me souvienne, elle avait toujours été de très bons conseils pour moi. D'ailleurs, je l'avais choisi elle pour être mon témoin de mariage à l'époque, même si en réalité j'aurais évidemment préféré ne pas me marier. Finalement, j'aurais peut-être dû écouter mon instinct qui me suppliait de ne pas épouser cette femme, déjà parce que je n'avais pas de sentiment pour elle, et ensuite parce que je devais sentir que cette femme me ferait du mal, et à raison puisque je venais de découvrir qu'elle m'avait menti pendant toutes ces années, et que par sa faute j'étais passé à côté de mon plus grand rêve, celui qu'elle n'était pas en mesure de m'offrir, celui d'être père. C'était quelque chose de trop lourd à garder pour moi tout seul, il fallait que j'en parle. Et Margaret était tout simplement la meilleure personne pour ça. Puis au delà du fait que j'avais besoin de parler, j'avais aussi besoin de ses conseils. Je voulais divorcer et elle serait évidemment l'avocate que je choisirais pour me représenter. Déjà parce que je me doutais bien qu'elle m'en voudrait de choisir quelqu'un d'autre, et puis j'avais une confiance aveugle en elle, je savais qu'elle ferait son maximum pour que je ne me fasse pas dépouiller.
Il ne m'avait pas fallu longtemps pour rassembler les quelques affaires dont j'avais besoin. En réalité, je n'étais pas véritablement attaché à tout ce que j'avais pu avoir avec celle qui sera bientôt mon ex-femme. J'avais pris le premier vol que j'avais trouvé, et forcément j'avais quand même fait attention aux tarifs car parfois à une heure de décalage la différence peut-être énorme. Non pas que je ne sois pas capable de payer un billet d'avion, même très cher, simplement je ne voyais pas l'intérêt de dépenser tant d'argent inutilement quand je pouvais en économiser en partant une heure plus tôt ou plus tard. Aujourd'hui, je ne revenais pas à Brisbane pour un simple match, mais pour de bon, du moins c'était ce que je voulais. Je ne savais pas si j'aurais besoin de faire encore quelques déplacements, mais j'espérais vraiment que je laissais mon passé derrière moi et que j'allais simplement pouvoir me consacrer à l'avenir désormais. Margaret avait prévu que l'on se retrouve dans ce fameux café où nous avions l'habitude de nous rendre à l'époque, rien de mieux pour commencer cette nouvelle vie que de se rappeler les souvenirs d'avant, même si certains sont plus douloureux que d'autres, comme ceux avec Charlène, tant elle me manque et tant je m'en veux de lui avoir menti, et donc de l'avoir perdu. J'espérais vivement que l'avenir soit plus clément avec moi.
L'avion avait atterrit à Brisbane à l'heure, et n'ayant pris avec moi qu'un bagage cabine, nul besoin d'attendre une heure de plus au sein de l'aéroport pour récupérer mes bagages. J'avais hélé un taxi à la sortie et lui avait donné l'adresse du café où j'avais rendez-vous avec ma meilleure amie. Je trépignais d'impatience, j'avais hâte de la revoir même si ce n'était pas dans les meilleures circonstances. Je ne comptais plus quitter la ville, alors je comptais bien rattraper le temps perdu avec elle par la suite, passer du temps ensemble comme nous avions toujours aimé le faire. J'avais observé le paysage durant la course me remémorant tout ce que j'avais pu vivre dans cette ville et me rendant compte à quel point tout ça m'avait manqué. Une fois devant le café, je payais le chauffeur et le remerciais avant de quitter le véhicule pour rejoindre le café. Je poussais la porte et jetais un rapide coup d'œil à l'intérieur pour repérer mon amie. Quand mon regard croisa le sien, un large sourire se dessina sur mes lèvres et je m'empressais de me diriger vers le fond du café où elle se trouvait installée à la table la plus reculée, et sans aucun doute la plus tranquille. « Maggie ! » lâchais-je en serrant fort mon amie contre moi alors qu'elle se jeta littéralement dans mes bras. Je la gardais contre moi un instant, profitant de cette étreinte réconfortante. C'était si bon de rentrer auprès de ceux qu'on aime. J'esquissais un sourire sa remarque. « Moi aussi je suis content de te voir, tu n'imagines pas à quel point. Tu as eu raison, il n'y a pas mieux que la nostalgie des bons moments pour remonter le moral. » répondis-je simplement en venant prendre place face à elle une fois qu'elle avait repris sa place. « Oui merci, même si ça m'a parut durer une éternité alors qu'il n'y a même pas deux heures de vol entre les deux villes... » dis-je en faisant part de mon impatience tel un enfant pressé d'ouvrir ses cadeaux le jour de Noël ou de son anniversaire. « Comme tu le sais, il faut que je te parle, mais vraiment je voulais t'en parler de vive voix. Je suis tellement paumé Maggie, et en colère contre ma femme. D'ailleurs bon tu l'as compris, je vais avoir besoin de toi, pour le divorce. » avouais-je simplement. Voilà, j'avais dit que je voulais divorcer, mais sûrement que ce n'était pas une surpris pour Margaret, cependant je n'avais pas encore expliqué la raison pour laquelle je voulais divorcer. Je ne savais pas bien comment j'allais lui dire, probablement frontalement, d'un coup, comme quand on arrache un pansement, ça fait mal sur le coup et puis la douleur passe aussi vite qu'elle est apparue. Alors que je m'apprêtais à parler, la serveuse vint prendre commande. « Bonjour, un café allongé pour moi s'il vous plait. » demandais-je avant de tourner la tête vers Margaret. « Et toi, qu'est-ce que tu prends ? » La révélation sûrement tant attendue devra attendre encore un peu.
code by solosands
Margaret Singh
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
âge : trente-six ans qu'elle foule la terre australienne. elle ajoute une année au compteur tous les 4 juillet.
statut civil : célibataire. malchanceuse en amour, jamais assez bien pour personne, elle a enchaîné les mauvaises surprises et les désillusions. malgré tout, elle garde toujours l'espoir qu'un jour sa chance tourne.
occupation : avocate en droit de la famille, elle a monté son cabinet , singh & specter, avec Kasper il y a deux ans. l'affaire tourne bien, le cabinet commence à être reconnu auprès de leurs pairs.
adresse : appartement 270 à new farm dont elle est très fière. elle l'a aménagé à son goût et ne se voit pas déménager dans un futur proche. en plus, elle a veillé à avoir une chambre d'amis toujours prête à recevoir l'un de ses proches si besoin.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle.
trigger : aucun.
warning : harcèlement, grossophobie, pma.
infos rp : j'écris à la 2ème personne du singulier, entre 400 et 1500 mots en fonction du rp, de l'inspiration et du contexte. je rp en français mais peut faire les dialogues en anglais si nécessaire. je réponds régulièrement mais ne suis pas une lucky luke du rp.
Même si votre amitié n’avait pas souffert de la distance depuis le déménagement d’Owen à Sydney, il n’y avait rien de mieux à tes yeux que le temps que vous pouviez passer tous les deux en chair et en os. Owen n’était pas devenu ton meilleur ami pour rien. Il avait toujours été cette présence réconfortante, cette personne qui ramenait un peu de soleil dans tes journées quand tu avais du mal à en apercevoir. Il avait été ta bouée de secours au lycée, la personne à qui tu t’étais accrochée pour ne pas couler complètement. Plus les années étaient passées, plus le harcèlement s’était accentué. Plus ils grandissent et plus les enfants apprennent comment se faire mal entre eux. Certains disent que c’est un apprentissage nécessaire, un passage obligé pour apprendre à vivre en société. Encore aujourd’hui, tu ne voyais pas bien comment cela justifiait ce que tu avais vécu. Owen était ton opposé. Owen, c’était le sportif sur lequel on se retournait dans les couloirs et personne n’avait jamais compris comment vous étiez devenus amis ou pourquoi il continuait à rester à tes côtés. Tu ne t’étais jamais posé trop de questions, tu avais préféré profiter de sa présence le plus possible, persuadée que cela s’arrêterait un jour. Mais tu t’étais trompée. Owen était certainement l’une des rares personnes de ton entourage à ne pas t’avoir laissé tomber. « Maggie ! » Il te retourna ton étreinte sans hésiter ce qui dessina un sourire immédiat sur tes lèvres. A la force de son étreinte, tu compris vite qu’il était tout aussi content que toi de te retrouver. « Moi aussi je suis content de te voir, tu n'imagines pas à quel point. Tu as eu raison, il n'y a pas mieux que la nostalgie des bons moments pour remonter le moral. » Voilà que tu marquais des points avec le choix du lieu. Tu ne pensais pas faire un mauvais choix mais tu n’avais pas vu Owen depuis un moment, peut-être que ses goûts avaient changé. Cela avait été ta principale crainte quand il s’était marié puis qu’il avait quitté la ville. Tu n’avais jamais caché que tu ne portais pas sa femme dans ton coeur. Elle était tout ce que tu détestais et elle n’avait jamais rien fait pour se faire apprécier. Au contraire, elle adorait te faire des petites remarques désobligeantes qu’elle déguisait en compliments. « C’est bien de voir que certaines choses ne changent pas. » Fis-tu remarquer alors que vous preniez place autour de la table. Tellement de choses avaient changé au fil des années, cela te rassurait de pouvoir te rattacher à certaines choses intangibles. Vu qu’Owen devait sortir de l’aéroport vu son sac de voyage, tu lui demandais si tout s’était bien passé : « Oui merci, même si ça m'a parut durer une éternité alors qu'il n'y a même pas deux heures de vol entre les deux villes... » Tu comprenais parfaitement ce sentiment. Les heures, les minutes, les secondes avançaient toutes à un rythme réglier et pourtant, le temps avait cette capacité de ne jamais sembler avoir le même rythme en fonction de ce que vous faisiez. « Comme tu le sais, il faut que je te parle, mais vraiment je voulais t'en parler de vive voix. Je suis tellement paumé Maggie, et en colère contre ma femme. D'ailleurs bon tu l'as compris, je vais avoir besoin de toi, pour le divorce. » Ta bouche s’entrouvrit et tu le regardais avec des yeux écarquillés. La surprise pouvait clairement se lire sur tes traits. Le divorce avait toujours été l’unique voie de sortie que tu envisageais pour le mariage d’Owen. Mais au fil des années, alors qu’il ne venait pas, tu avais fini par te convaincre qu’Owen s’était résigné et avait trouvé une manière de vivre avec sa femme. Tu savais que rien n’était rose mais c’était la première fois que le mot divorce était prononcé par quelqu’un d’autre que toi dans vos discussions. Alors que tu allais lui répondre, la serveuse arriva pour prendre sa commande. « Bonjour, un café allongé pour moi s'il vous plait. Et toi, qu'est-ce que tu prends ? » Un petit sourire sur les lèvres, tu répondis : « J’ai déjà commandé un latte. Merci. » Dis-tu à la serveuse qui repartit aussi vite qu’elle était venue. Les allers et venues de la serveuse ne t’intéressaient pas, tu voulais revenir sur le sujet de la conversation. « Qu’est-ce qu’elle a fait cette fois pour enfin te convaincre de me demander de lancer une procédure de divorce ? » C’était un dossier que tu avais déjà préparé, il n’attendait plus que l’aval de ton meilleur ami et quelques informations que tu allais devoir lui demander. « J’ai vraiment peur parce que ça doit être quelque chose de costaud pour que tu te décides enfin à sauter le pas. » Ton visage prit une expression inquiète. Tu espérais que ce n’était rien de trop grave. Il sera temps plus tard de fêter le divorce d’Owen, tu comptais bien organiser une soirée dédiée à cet évènement mais ce sera pour une autre fois.
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