Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 118
rps : 12
pseudo : poichiche
id card : Mandy Moore x keetika/tumblr (profil) x Wild Heart (avatar)
pronom irl : elle
multicomptes : non
à contacter : Michaela Croft
présence : présente 7 jours sur 7.
âge : trente-cinq, voilà le nombre d'année que tu es sur cette terre. Les années commencent doucement à dessiner des rides sur ton doux visage, mais tu ne crains pas la quarantaine qui approche doucement, mais surement.
statut civil : incapable d'ouvrir ton coeur, ce coeur brisé, meurtri, anéanti. Tu es libre, aérienne, ailleurs, légère, mais pas attachée à quiconque. On dira de toi que tu es célibataire, tu ne t'attends pas à tomber amoureuse, très peu pour toi.
occupation : artiste - peintre - illustratrice de livre pour enfants afin de payer les fins de mois.
adresse : 085, fortitude valley, appartement où tu peux peindre comme tu le souhaites.
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle/she
trigger : accident - tromperie - dépression
warning : pédophilie
infos rp : [fréquence] - une réponse sous quinze jours ou plus rapidement, tout dépend suivant inspiration.
[nombres de mots] - tout dépend de 300 mots à 1000 mots. Je rp le plus souvent à la deuxième personne du singulier.
Tu te rongeais pour la 100ème fois tes ongles alors que tu étais en train de lire sur internet toutes les causes et les conséquences d'un AVC. Depuis que tu étais au courant pour Jacob, tu paniquais. Bon jamais en compagnie de tes amis, jamais en public, mais tu paniquais. Tu avais la peur de ta vie et tu regrettais amèrement de ne pouvoir rien faire pour lui. Tu voulais être là pour lui, mais c'était encore trop compliqué. Ce matin, encore, tu étais resté à l'hôpital pour le voir, le temps que tu avais le droit avant de rentrer chez toi. Une douche faite, tu étais donc en train de lire les affreuses informations qu'on pouvait trouver sur internet. Paniquant. Tu refermais avec violence l'écran de ton ordinateur. Tu avais besoin absolument de te changer l'air. Tu ne supportais plus l'angoisse de la pièce et tu avais promis également de faire un tour à cette manifestation. Voilà, quelque chose qui allait te libérer d'un poids, d'une culpabilité dont tu ne connaissais pas les origines. Tu avais déjà fait plusieurs manifestations par le passé, tu étais toujours la première partante pour crier, hurler, la plupart du temps chanter des slogans contre un millier de thème : contre l'avortement, les discriminations, les guerres, les injustices, pour l'égalité, le droit et la liberté. Cette fois-ci c'était une manifestation contre la maltraitance des animaux et en observant ton petit chat roulé en boule sur ton canapé, tu étais plus que motivée à chanter les louanges des droits des animaux.
Comme souvent tu retrouvais des amis avec qui tu manifestais souvent. Sauf, que ce jour-là c'était un peu plus compliqué. Pas grave. Tu avais pris ta guitare, cette dernière était toujours fidèle au rendez-vous. C'est surement comme cela, que tu te retrouvais au milieu d'une foule, dans une ambiance très agréable, à gratter des accords de musique. Il y avait une bonne ambiance, et tu sentais ton coeur se libérer d'un poids. Ce poids que tu portais depuis quelques temps. Tu te sentais plutôt bien, tu devais bien admettre, mais tu culpabilisais toujours. Tu avais tout le temps qu'il te fallait, plus tard, une fois toute seule, chez toi, pour repenser et culpabiliser sur tout cela. La culpabilité était une vieille amie avec qui tu dinais de temps en temps, il faut croire. Tu chantais à haute voix, le slogan tout en jouant des accords. ”L'abandon est la pire des trahisons ! STOP à la violence des animaux !” Tu tournais la tête vers les gens autour de toi, souriant et continuant de chanter, s'il y avait quelque chose d'aussi agréable c'était bien cela, chanter, crier, contestant ensemble pour une belle cause.