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âge : Si on s'en réfère à son acte de naissance, Delilah est née le 31 décembre 1984 à Nimbin. Elle vient donc de fêter ses 39 ans. Elle est lancée sur l'année de ses quarante-ans et cela l'effraie.
statut civil : Elle fréquente Arman depuis quelques mois. Ils n'ont toutefois pas (encore) mis de mot sur leur relation.
occupation : Bien qu'elle convoite depuis quelques semaines le poste de cheffe de service, Delilah se contente pour l'instant de son statut de psychiatre au sein du Royal Brisbane Hospital.
Elle n’aurait jamais pensé que cuisiner puisse être amusant, Delilah. Elle n'est pas connue pour être un fin cordon bleu et préfère toujours commander des plats qui sauront réellement satisfaire ses papilles. Pourtant, elle tire une réelle satisfaction des mets qu’elle concocte en compagnie d’Arman. Outre les baisers qu’ils se volent à chaque recoin de la cuisine et les rapprochements physiques qu’ils multiplient au prétexte qu’il faut que Delilah aient les gestes précis dans la préparation des aliments, elle aime la simplicité qui se dégage de ces moments. Alors qu’Arman lui transmet son savoir – et sa passion – derrière les fourneaux, leurs conversations se veulent toujours plus personnelles et tous deux apprennent de mieux à mieux à se connaître. Ces instants simples suspendent le temps et sont couronnés d’un délicieux repas qui se poursuit souvent par une fin de soirée plus merveilleuse encore.
Une nouvelle fois, ce soir, Arman et Delilah se sont retrouvés dans la cuisine de cette dernière. Pour la première fois, ce sont vers des spécialités mexicaines qu’ils se sont tournés. Le plat principal a été enfourné il y a une dizaine de minutes. Depuis lors, les deux jeunes gens ont pris place autour de la table de la salle à manger, avec un verre de vin et un jeu de Uno. Compétitrice dans l’âme, Delilah abat, victorieuse, ses deux dernières cartes.
- +4, uno !, s’écrit-elle avant de choisir sa couleur. Tu passes ton tour et je choisis rouge, poursuit-elle avant de poser avec entrain sa dernière carte. Gagné ! s’esclaffe-t-elle.
Pour la cinquième fois de suite, Delilah remporte la manche. Cette fois-ci, la main d’Arman est composée de nombreux points. Est-ce une attitude de mauvais joueur qu’elle perçoit quand il abandonne ses cartes pour laisser à Delilah le soin de compter ses points, alors qu’il se lève pour vérifier la cuisson du plat au four ? Si tel est le cas, la psychiatre est forcée d’avouer qu’elle trouve cela craquant. Que ne trouve-t-elle pas craquant chez l’artiste, de toute façon ? Cette question passe brièvement dans ses pensées alors qu’elle sourit à Arman qui la regarde, juste avant qu’elle ne se mette à comptabiliser les points. Une nouvelle fois, Delilah ne manque pas de souligner sa joie de gagner, tout en retranscrivant les scores sur la feuille en papier. Le but étant d'avoir le score le moins élevé en fin de jeu pour gagner la partie.
- Aïe, soixante-quinze points d’un coup. Ça va, ça ne fait pas trop mal ? s’enquiert-elle en regroupant toutes les cartes.
Son amusement est palpable alors que ses mains s’affairent déjà à mélanger le jeu coloré. Quand le vent souffle dans son sens, surtout lors des jeux, Delilah est difficile à arrêter. Mais encore faut-il que son attitude ne finisse pas par chiffonner Arman. Après tout, le jeu a ce pouvoir libérateur qui permet aux individus de se révéler plus authentiquement tant ils sont focalisés sur l’objectif qu’ils poursuivent. Des masques tomberont-ils ou les Arman et Delilah continueront-ils d’être charmés l’un par l’autre, comme depuis cette soirée de la Saint-Valentin où leurs noms - et leurs destins - ont été liés ?
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Arman DeLeon
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MEMBRE ☆ instant crush and we will never be alone again
paper rings
messages : 331
rps : 43
pseudo : Paperghost
id card : Taylor Zakhar Perez | avatar: day.light | gif: maya-hawke
pronom irl : Elle
multicomptes : Joshua Lorenzi, Faye Warren & Eden Scarlett.
statut civil : Il fréquente Delilah depuis la St. Valentin. Il n'y a pas vraiment de mot pour décrire cette relation, si ce n'est qu'elle est saine, douce et fait un bien fou au jeune homme.
occupation : Artiste plasticien, il est surtout un illustrateur excentrique dans la petite maison d'édition qu'est Jolie Plume.
adresse : 241 Fortune Valley, dans une colocation qu'il aime beaucoup.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Il.
trigger : Non consentement, la mer, abysses et créatures aquatiques.
disponibilités : Full pour le moment, mais on peut en discuter en mp (Sauf si t'as mon pl, j'avoue... T'auras toujours une petite place, en plus de celle dans mon coeur.)
La Saint Valentin, je n’y attendais pas grand-chose, pas aussitôt après le départ de Wyatt. Pourtant, j’étais bel et bien là, à fréquenter Delilah depuis ce jour. Etait-ce grâce à la magie du jazz, de notre planche de fromage ou la promesse du poulet yuzu qui nous avait autant rapproché ? Je n’en savais rien. Et pour être parfaitement honnête, je n’y réfléchissais pas. Avec elle, c’était toujours ainsi. Des mois que nous nous fréquentions et quand j’étais à ses côtés, je ne songeais pas à toutes ses questions concernant notre relation. Elle était là, magnifique, et j’en savourais tous les instants comme les derniers. J’étais du genre à me dire que, un jour, tôt où tard, nous en discuterions, mais je ne craignais pas cet instant. Aussi vulgaire que cela puisse sembler, je trouvais que ma cavalière de cet instant était délicieuse, couplé à une intelligence qui n’avait d’égale que son charisme. J’aimais cette maturité en elle, qui se mélangeait à une malice à me faire craquer comme du verre.
Notre croisière se fit donc au fils des mois, dans une tendresse que je n’avais pas connu depuis longtemps. C’était doux, c’était mignon et passionnel. Une flamme chaleureuse qui, dans nos instants alignés sous l’astre de la luxure était un géant brasier. J’aimais tout chez elle… Mais est-ce que je l’aimais, elle ? Quand j’arrivais devant la porte de son appartement, la voyant m’ouvrir la porte, la question venait d’être balayé d’un coup. Ridiculement, la réponse me semblait clair à l’instant même où mes lèvres se posaient sur les siennes, laissant tomber mon sac de courses. Un rire commun alors que Delilah était dans mes bras. Cette simple image résumait parfaitement notre union, et elle me comblait de joie.
L’extension de cette joie fut les préparatifs de notre dîner. Ma tendre élève n’était peut-être pas la plus douée dans une cuisine, mais elle avait passion à faire les choses bien, et son oreille particulièrement attentive —et ses questions pertinentes— faisait que la leçon était toujours un plaisir. Nos étreintes et baisers spontanés étaient des bonus plus que plaisants. Par moment, je perdais le fils de ma recette, tant cette même malice dans les yeux et brûlant ses lèvres m’étourdissait. Ce jeu était amusant. Complices dans une bulle aussi fragile qu’intemporelle, je ne voyais pas le temps passer.
Cela étant dit, un moment que je voyais passer, et bien trop lentement, c’était cette partie de Uno. Le plat au four —j’avais proposé de faire simple et mexicaine avec des enchiladas gratinés d’effiloché de bœuf— les parties s’enchaînèrent non sans accumuler les défaites. Manque de bol pour moi ou peut-être véritable mauvaise tactique de ma part, j’étais vraiment nul de chez nul ! Mais étais-ce pour autant un moment qui m’agaçait ? Pas du tout. Un jeu était ce qu’il était : un moment de divertissement, et je m’amusais à voir comment Delilah parvenait à me foutre une raclé avec juste des cartes de couleur. Je riais de bon cœur de mon incompétence, couplé au bonheur de voir ma tendre moitié victorieuse. Je grommelais faussement quand elle m’annonça sa cinquième victoire d’affilé. Je me levais, pour vérifier le plat. Tout allait bien, mais ça méritait une bonne vingtaine de minute de plus.
—Pfff, je ne perds que parce que je l’ai décidé, soufflais-je dans une mauvaise foi trop grosse pour être discrète. De toute façon, il faut bien que je sois mauvais quelque part, sinon, je vais moi-même penser que je ne suis pas réel ! Puis soixante-quinze points, c’est beaucoup et en partant de la fin, je suis premier donc… Dans un multivers, quelque part, j’ai gagné, et ça me suffit.
Dans un nouveau rire, je me rapprochais de la table, déposant un baiser sur le front de mon adversaire, une main caressant brièvement sa joue. Une fois à ma chaise, bien en face d’elle, je servis son verre, puis le mien. Son regard de défi me poussa à l’imiter grossièrement, avant de m’esclaffer une nouvelle fois.
—Allez, fait peter les cartes, jamais cinq sans six comme on dit, hein ? Oh non, attends, je vais avoir au moins une victoire. Disons… Balle de match. Le perdant à un gage.
Je pris une gorgée de mon vin, tout en maintenant mon regard sur celle qui n’avait aucun mal à me dominer depuis bien vingt minutes.
—C’est tout ou rien sur cette partie. Attention, je vais tout donner !
Je ne croyais pas du tout en mes capacités de jeu, mais dans le fond, l’idée de perdre me plaisait bien. Delilah aimait gagner, je savais qu’un prix sur cette manche allait la booster, et qu’elle serait partie de cette folie d’adolescent. On se complétait sur tellement de chose... Finalement, cette simplicité entre nous faisait toute la beauté de notre relation… Merde, je croyais bien qu’à cet instant, je comprenais que je l’aimais vraiment.
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peinture à l’eau.
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️BESIDETHECROCODILE
Delilah Winchester
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statut civil : Elle fréquente Arman depuis quelques mois. Ils n'ont toutefois pas (encore) mis de mot sur leur relation.
occupation : Bien qu'elle convoite depuis quelques semaines le poste de cheffe de service, Delilah se contente pour l'instant de son statut de psychiatre au sein du Royal Brisbane Hospital.
Plus Delilah apprend à connaître Arman, plus elle est séduite. Les soirées comme celles-ci se veulent de plus en plus nombreuses et c’est à chaque fois un plaisir d’en apprendre un peu plus sur l’autre. Avec Arman, Delilah se sent libre d’être elle-même. Elle n’a pas peur de lui parler de son travail et des difficultés auxquelles elle est parfois confrontée. Elle lui raconte également ses dimanches en famille, non sans tarir d’éloges à propos de ses parents adoptifs et de sa sœur. Au fil des discussions, Arman a d’ailleurs appris que Margareth et Preston n’étaient pas les parents biologiques de la psychiatre qui, bien qu’elle ne se soit pas épanchée sur le cas particulier de sa mère dysfonctionnelle, a tout de même donné quelques informations à propos de Moon et de son style de vie si particulier qui l’a conduite, elle, en famille d’accueil. De manière générale, Delilah ne croit pas qu’elle éprouverait de la difficulté à évoquer un seul sujet de conversation avec Arman. D’ailleurs, à mesure que leurs liens se resserrent, elle prend conscience du fait qu’elle devra bien finir par lui parler du polyamour. Elle qui a toujours été honnête à ce sujet avec ses partenaires est pour l’instant taisante sur la question, notamment parce qu’ils n’ont jamais réellement définis ce qu’ils étaient l’un pour l’autre. Pour l’instant, en tout cas, ils ne sont que deux adversaires impitoyables. Delilah crie ses victoires face à la mauvaise foi évidente d’Arman.
- Tu ne perds que parce que tu l’as décidé et tu dis ça en toute modestie, bien entendu, le corrige-t-elle en faisant une nouvelle fois référence à la modestie qu’il s’attribue, le taquinant comme souvent à ce sujet. Olala, qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre ! Un multivers… dit-elle en roulant des yeux, alors qu’elle coupe le jeu en deux. Je ne veux pas te décevoir, mais tu n’as pas gagné du tout mon cœur.
Le surnom lui a glissé d’entre les lèvres avec une telle facilité qu’elle ne fait même pas attention, Delilah. De toute façon, les lèvres de son partenaire se posent déjà sur son front pour lui offrir un baiser et la psychiatre chérit cet instant, comme tous ceux qui lui sont donnés de partager avec lui. La tendresse, le respect mutuel et le souci de l’autre se sont invités dès le départ ; depuis, il faut bien l’avouer, Delilah a le cœur plus léger. Elle ne se laisse cependant pas avoir trop longtemps par l’effet bien-être que lui procure l’artiste, puisque déjà elle se met à distribuer les cartes et à retrouver son regard de battante.
- Balle de match ? répète-t-elle en rigolant. Ok, ok, si tu veux… lui concède-t-elle, avant d’ajouter en pseudo-aparté. Je ne prends pas trop de risque, de toute façon.
Persuadée que la chance ne la quittera pas, Delilah retourne la première carte de la pioche et donne la main à son adversaire. Si elle essaie de le perturber durant la partie, en soufflant qu’à sa place elle n’aurait pas joué comme lui, force est de constater qu’Arman est plus concentré que durant les parties précédentes. Sa main se veut de plus en plus maigre quand Delilah jette un regard par-dessus son épaule.
- T’es sûr que ça ne crame pas ? s’enquiert-elle.
Ce n’est pas très fair play, mais Delilah songe déjà à éloigner son adversaire pour regarder les couleurs qu’il lui reste et jouer en conséquent. Seulement, elle s’y prend trop tard, puisque voilà qu’en deux coups, Arman finit et remporte la partie.
- Quoi ?! proteste-t-elle en faisant de gros yeux alors qu'un rire s'en suit dans la foulée. T’as triché ? ose-t-elle-même demander, faussement suspicieuse, alors que ses yeux se plissent légèrement. Très bien, très bien… on n’a pas de vérification caméra, de toute façon… Je t’écoute, finit-elle par concéder, prête à devoir composer avec le gage qui l’attend.
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Arman DeLeon
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statut civil : Il fréquente Delilah depuis la St. Valentin. Il n'y a pas vraiment de mot pour décrire cette relation, si ce n'est qu'elle est saine, douce et fait un bien fou au jeune homme.
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La douceur de cette soirée me faisait un bien fou. Je n’étais pas une personne particulièrement stressée dans la vie —encore moins après avoir réussi à vendre toutes mes œuvres— mais le fait de me sentir encore mieux avec Delilah me poussait doucement à comprendre que je ressentais quelque chose pour elle. Quelque chose de probablement plus fort que je ne pouvais l’imaginer. Tout ce ne partait que d’un questionnaire sur une application, une histoire de dingue quand on y pense. Pourtant, j’étais là, devant cette femme magnifique, intelligente compétitrice et particulièrement charismatique.
Le feu dans son regard m’embrasait avec une vitesse record. Un rien venant d’elle faisait vibrer l’entièreté de mon corps, et le simple fait qu’elle puisse en jouer pouvait me rendre dingue —et dans le meilleur des termes. Mon adversaire avait beau tenté de me perturber avec ces petites phrases, je restais concentré… Pas pour gagner, mais par pur plaisir de la voir aussi compétitrice, ça avait quelque chose de particulièrement sexy. Certains hommes se sentiraient blessés dans leur orgueil masculin, mais moi, j’adorais quand nous nous combattions de cette façon : toujours avec respect, malice et tendresse.
—Fais pas trop la maline, tu vas voir que le karma va attraper ton col, toi ! répondis-je après sa énième tentative de me faire croire que notre repas allait brûler. Je suis un excellent perdant et cuisiner, madame, je ne perds jamais mon repas, dis donc !
Puis en piochant une nouvelle carte, la partie bascula. Mon visage resta sur cette expression malicieuse, alors que ma cavalière, elle continuait désespérément de me perturber. En quelques tours, la tendance s’inversa complètement, m’offrant ma plus belle —et surtout unique— victoire. Me levant lentement, je remontais le col de ma chemise ouverte, croisant les bras avec une expression grandissante de victoire.
—Bah alors madame, on a perduuuuuuuu ? BOOM. Le cuistot l’emporte un contre six ! Enfin, la balle de match quoi, m’écriais-je en dansant devant une Delilah bien dépitée —mais tout de même amusée par la situation.
Je profitais de cette conclusion pour sortir notre repas du four, tout en écoutant les protestations de ma petite amie, non sans me faire beaucoup rire. Le plat devait un peu refroidir, je le laissais donc sur la grille prévue à cet effet avant de me rapprocher d’elle. Un baiser sur ses lèvres, un sourire sur les miennes, je lui murmurai ses mots : Félicitations pour tes six précédentes victoires. Un nouveau baiser, avant de reprendre place devant elle.
—Et pour ça, je te propose un deal : tu as ton gage, et j’en ai un. J’utilise ma victoire pour en avoir un autre mais pour que tu ai un gage aussi, ça te va comme deal ? ça serait logique. J’ai peut-être gagné la balle de match, mais tu as gagné six fois d’affilés, et ça, je pense que ça mérite aussi de me donner un gage. Et… Peut-être aussi que je trouve ça fun dans ce sens aussi là.
Je me levais pour commencer à dresser les assiettes, et continuait à parler tout en m’occupant de notre dîner.
—Pendant que tu y songes, à mon gage… Si tu l’acceptes, car j’ai besoin de ton consentement, c’est que, j’aimerai un jour que tu poses pour moi. Que je puisse réaliser une toile de toi, figer ta beauté nue avec mes pinceaux. Mais, comme ce n’est pas quelque chose facile, c’est pourquoi tu as totalement le droit de refuser. C’est ton corps, ton image, ta vie, je ne ferai rien sans ton consentement à 110%. Tu es une femme magnifique et ça serait un honneur de pouvoir réaliser ceci avec toi. Après, tu es magnifique, mais tu n'es pas que ça à mes yeux. Non, clairement pas. Je ne veux pas que tu penses que je ne te vois qu'à travers ta beauté. Tu es espiègle, joueuse, intelligente, hilarante, mature, douée, vive et c'est tout ça qui fait que j'aime autant ta compagnie.
Je déposais son assiette, puis la mienne avant de sourire. Un nouveau baiser sur son front. —Tu n’es pas obligée non plus d’accepter ce soir. Dit comme ça, ça ne sonne peut-être plus vraiment comme un gage, mais je m’en fous. Ce qui m’intéresse c’est que, su tu acceptes, tu sois heureuse de faire partie d’un tel projet.
Je haussais les yeux, avec un sourire trahissant ma certaine timidité.
—Voili, voilou, bon appétit, soufflais-je alors que mes joues s’empourpraient encore plus.
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My happy heart goes right up to the sky (Arman & Delilah)