Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge : 25 ans elle a passé la barre c'est bon. le fameux quart de siècle
statut civil : célibataire
occupation : Doctorante en Anthropologie, en pleine thèse sur les sociétés aborigènes d'Australie et d'ailleurs + assistante de professeur à l'Université de Brisbane + serveuse
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : violence animale, violence sur les enfants
warning : maladie chronique
disponibilités : OUVERT
LIEN - rp w/ Eli LIEN - rp w/ Eliseo LIEN - rp w/ Maverick LIEN - rp w/ Kaleb URL + w/ Renfield
tw - handicap, blessures La genouillère qui lui enserrait le genou n'était pas la plus désagréable de sa collection mais Pénélope n'était pas à l'aise avec malgré tout. Elle aurait pu la retirer et laisser sa jambe reposer sur un coussin dans son lit pendant qu'elle lisait mais un mardi soir, il n'y avait rien de plus déprimant pour la blonde que de rester enfermée. Aussi avait elle pris une béquille avec elle pour aller à la supérette du coin et s'acheter sa boisson préférée ainsi que des fruits secs pour poser près d'elle en travaillant sur sa thèse. Quitte à devoir rester à la maison pour ne pas trop en faire avec sa jambe, elle comptait être là dans de bonnes conditions. L'aller retour ne demanda pas énormément d'effort mais une fois de retour, la blonde se laissa tomber sur une chaise dans la cuisine comme épuisée. Sa main engourdie à cause de la béquille était pressée contre son cœur et son menton baissé allait toucher sa poitrine. Son corps lui semblait si lourd qu'elle ne savait pas trop quoi faire. Se relever ? Aller faire à manger ? retirer sa genouillère et espérer que quelques pas ne la tueraient pas ? En soi elle n'était pas vraiment blessée. Pénélope avait juste mal chuté quelques jours auparavant et à présent elle arborait un énorme hématome rouge et violet sur le côté du genou droit. Une vision peu agréable mais qu'elle préférait amplement aux plaies ouvertes. Les bleus étaient douloureux mais au moins elle voyait leur évolution. Pénélope se reprie après une minute sur sa chaise et le silence de l'appartement la frappa. Ses colocataires étaient rarement tous absents en même temps. D'un autre côté il n'était pas si tard, certains devaient sûrement être encore au travail ou à finir les cours. Ses yeux se posèrent sur l'écran de son téléphone qui s'illumina dans sa poche. Elle sortit l'appareil avec une notification de Eliseo. Il était en chemin pour revenir à première vue. La blonde inspira et avec un sourire écrivit un petit message à son colocataire pour lui proposer de commander des pizzas à son arrivée pour regarder un film. La perspective de passer la soirée devant un film réconfortant lui allait mieux que de s'enfermer dans sa chambre seule, jambe sur un coussin et documents d'études étalés sur le lit. Elle se releva, l'humeur allégée à l'idée de passer du temps avec un de ses plus vieux amis un peu seul à seule pour une fois. En attendant son retour, la blonde se changea et retira sa genouillère, optant pour un strap bien placé pour retenir sa rotule fragilisée. Si elle restait tranquille ça devrait aller. La couleur bleu néon clashait complètement avec sa peau très claire mais cela la faisait plus sourire qu'autre chose. Elle opta pour un short et un grand tshirt "I Stockholm" offert par sa grande sœur comme une blague sur le fait que Pénélope était née en Suède sans pourtant se rappeler du pays. Ses gestes étaient lents et calculés pour minimiser les risques de rechuter. Età peine eut-elle posée ses fesses sur le canapé, un livre sous le bras pour attendre son colocataire qu'elle entendit la porte s'ouvrir et dit joyeusement « un timing parfait Eli ! buonasera !»
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Dernière édition par Penelope Stewart le Lun 9 Oct - 11:23, édité 1 fois
Eliseo Vazquez
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ADMIN ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
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rps : 45
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : michael cimino (eyesome@avatar, song cry@bann)
âge : il est âgé de vingt-quatre ans, encore dans la fleur de l'âge, toute sa vie devant lui.
statut civil : il est célibataire, rupture récente avec gisela, quand le copain de cette dernière a débarqué à l'improviste.
occupation : sage-femme, depuis peu. peu conventionnel pour un homme, mais il s'en moque, il aime son métier et est plutôt content de chambouler un peu les clichés.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : torture animale, inceste. (+ pas particulièrement sensible, mais je ne joue pas les rp "sexe").
Il avait passé sa journée à l’hôpital, Eliseo. C’était épuisant, mais il aimait ce qu’il faisait. Adorait passer du temps avec les futurs parents, ceux qui venaient juste de le devenir, et les bébés. Il était fier de ce qu’il faisait le brun. Il ne savait pas si lui-même deviendrait père un jour, il devait bien admettre qu’il ne s’était jamais vraiment posé la question. Il aurait sans doute dû le faire après avoir appris la grossesse de Gisela, mais il avait l’impression que, quoi qu’il arrive, il ne serait jamais vraiment concerné par cette histoire. Il était l’amant ou le bouche-trou, il ne savait plus trop comment il devait voir les choses. Mais c’était Adrian, son petit ami, elle le lui avait bien fait comprendre, la brune. Alors la grossesse de Gisela ne le concernait absolument pas, peu importait qu’il y ait joué un rôle ou non. Autant qu’il se concentre sur les grossesses des femmes qu’il suivait. C’était son job et elles avaient besoin de lui. Gisela, c’était différent. Il ne savait pas ce dont elle avait besoin et il n’avait même pas envie de savoir, ça n’en valait pas la peine. Il aimerait pouvoir se contenter de l’ignorer, difficile, puisqu’elle vivait sous le même toit que lui.
Il avait fini par quitter le boulot, il ne savait pas trop qui serait présent quand il rentrerait à l’appartement, mais c’était Penelope à qui il avait envoyé un message. De mémoire, Sehun avait prévenu qu’il rentrerait tard, quant à Gisela et Adrian, il ne voulait même pas leur parler, alors ça limitait la liste des personnes à prévenir. Elle proposa qu’ils se commandent de pizza quand il serait rentré. Un sourire se dessina sur ses lèvres, alors qu’il répondit à son message, adhérant complètement à son plan. Il laissa tomber son téléphone sur le siège passager de sa voiture avant de démarrer pour faire la route jusqu’à l’appartement. Voiture garée sur le parking, il récupéra ses affaires avant de rentrer dans le bâtiment, puis dans l’ascenseur et enfin, dans l’appartement. « Hey. Mon timing est toujours parfait » Il répondit, après avoir entendu la voix de Penelope. Il fit un arrêt dans sa chambre pour y déposer ses affaires et en profita pour troquer sa blouse de travail contre un jogging et un tee-shirt, tout ce qu’il y avait de plus simple. Et puis, il rejoignit le salon pour se laisser tomber dans le canapé aux côtés de sa colocataire. « Alors, t’as passé une bonne journée ? » Il demanda à la blonde, sourire aux lèvres. Il espérait que sa journée ait été bonne, qu’elle ait bien avancé dans sa thèse, mais sans en faire trop, ça pouvait être épuisant de trop bosser d’un coup sur ce genre de choses. Il espérait aussi qu’elle ne se soit pas fait mal au cours de la journée. Il connaissait ses problèmes de santé et espérait toujours que tout se passe bien pour elle. Dans le pire des cas au moins, elle savait qu’elle pouvait compter sur lui, après tout, il avait un diplôme d’infirmier en plus de celui de sage-femme ; ça pouvait toujours aider.
Poppy Myers
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tw - handicap, blessures Le choix de la colocation avait été un mélange de rationalité et de fervent désir d'indépendance que Poppy n'avait jamais caché à sa famille. Bien qu'elle était la plus jeune des Myers, elle n'était pas trop couvée et n'avait pas eu besoin de se battre pour qu'on comprenne son choix. Bien sûr, avec ça elle avait dû prendre un job de serveuse et bossait à l'université en plus de sa thèse afin de pouvoir se payer le luxe de ne plus être dans la maison familiale, mais ça lui allait. Son rythme était correct et surtout lui donnait l'impression d'être vivante, capable, autonome... quelque chose de précieux quand on a passé une partie de sa vie à se demander si on pourra vivre aussi vivement et inconsciemment que beaucoup de jeunes de son âge. Ses soucis de santé la limitaient mais elle ne voulait pas vivre comme si elle était complètement handicapée par ceux-ci. Sa résilience était importante pour elle. Nécessaire presque. Pour le moral surtout. Et vivre avec le petit groupe d'amis depuis quelques années l'aidait beaucoup à garder en tête qu'elle était capable de vivre normalement. Avec des adaptations mais sans être complètement arrêtée par la maladie. Et Eliseo comme le reste du groupe l'aidait beaucoup dans ces accommodations. Avoir son ami de longue date - infirmier de formation en plus - tout près était un soulagement pour la blonde. Si bien que quand le brun passa la tête dans l'appartement, Poppy se redressa assez pour le voir entrer et offrit un grand sourire « c'est vrai !» elle rit doucement avant de reposer ses yeux sur son livre, supposant qu'il va prendre son temps de se poser et rentrer tranquillement à la maison. Les fins de journée, des cours ou du travail, méritent toujours un peu d'intimité et de solitude. Juste le temps de faire le passage de la foule d'inconnus que l'on croise dehors, au confort de l'appartement. Quand il réapparaît et vient tomber sur le canapé à ses côtés, un petit rire passe les lèvres de l'étudiante qui ferme son livre sur un marque page carte postale avant de le regarder « ça va. Mon genou m'a laissée un peu de répit et l'après midi j'corrigeais des copies pour un prof de socio, donc ça va j'ai pas crapahuté.» Pas besoin de demander, Poppy sait que Eliseo était autant inquiété par la quantité de travail qu'elle acceptait de prendre que par sa santé. Une des choses qu'elle aimait vraiment chez son ami et appréciait sincèrement. Un merci perpétuel semblait être au bord de ses lèvres en sa présence. Mais par souci de ne pas mettre mal à l'aise son interlocuteur, la blonde se retenait de révêler sa gratitude journalière. « Et toi ? tout s'est bien passé à l'hôpital ? ça va t'as pas fini trop trop tard ce soir.» le souvenir de soirée où il avait eu à rentrer à des horaires plus atypiques la marquaient. Leur rythme de vie à chacun était si différent dans la colocation qu'il était rare aux yeux de Poppy qu'ils se retrouvent tous ensemble. Ce n'était pas une mauvaise chose, cela rendait les moments passés ensemble d'autant plus précieux mais parfois elle regrettait qu'ils soient souvent tous absents ou trop fatigués par leur rythme de vie. Travail, études ou vie sociale... l'existence les rattrapait tous s'ils se laissaient faire. « j'ai pas commandé par contre ! je t'attendais, vu que j'étais pas sûr de ta commande et ta faim.» dit-elle avec un petit sourire tendre avant de montrer son téléphone ouvert sur une application de livraison. La pizza serait un plaisir à partager ou chacun aurait la sienne, dans tous les cas elle était contente de faire ça avec lui.
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Eliseo Vazquez
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Il aimait cette petite colocation, Eliseo. Ça faisait des années qu’il vivait ici, parce que ça avait été plus pratique quand il avait été étudiant et maintenant qu’il travaillait, il n’avait pas forcément envie de bouger, parce qu’il se sentait bien auprès de ses colocataires. Un truc qui avait un peu changé ces derniers mois, parce qu’il y avait eu son aventure avec Gisela et que maintenant, le copain de cette dernière vivait aussi dans la colocation. De quoi instaurer un malaise contre lequel il avait bien du mal à lutter, le brun. Il en était en partie responsable, parce qu’il n’arrivait pas à faire d’efforts pour essayer d’apprécier Adrian et avec Gisela, c’était compliqué aussi. Son indifférence lui faisait du mal. L’impression de n’avoir été qu’un objet pour elle, un divertissement quand elle s’ennuyait, c’était douloureux. Il n’avait pas envie de partir parce qu’il y avait encore Poppy et Sehun, avec qui il aimait passer du temps et il n’avait pas envie de prendre ça, à cause de cette histoire. Il était bien ici et n’avait pas l’intention d’aller voir ailleurs et ce même si ce n’était pas facile avec Gisela. Il avait l’impression que ce serait lui offrir une victoire qu’elle ne méritait pas. Et même sans l’égo, c’était chez lui ici.
Alors, il s’arrangeait souvent pour travailler tard, histoire de passer le moins de temps possible en sa compagnie. Ça lui simplifiait la vie. Il y avait des soirs comme aujourd’hui, où il savait que c’était elle qui allait rentrer tard, alors il en profitait pour prendre sa soirée. Il n’y avait que Poppy et lui, ce soir à l’appartement, alors ce serait forcément sympa comme soirée. De toute façon, à partir du moment où Gisela et Adrian étaient aux abonnés absents, c’était vraiment plus sympa, d’après lui. Il était content de rentrer et de retrouver son amie. Se poser dans le canapé à ses côtés ne lui faisait pas de mal. Maintenant qu’il était installé, il n’était pas certain d’avoir la force de se relever avant un long moment. « Tant mieux, je suis content pour toi. » Pas qu’elle ait eu des copies à corriger, ça, ça devait être pénible quand même. Mais qu’elle ait eu la paix avec son genou, ça n’était une bonne nouvelle. Il savait qu’elle souffrait bien trop souvent à cause de cette maladie, alors quand tout allait bien, il trouvait ça vraiment bien pour elle. « Ouais ça va, c’était intense mais j’avoue que ça fait du bien de rentrer pas trop tard à l’appartement. » Et de savoir qu’il ne risquait pas de croiser Gisela et Adrian. Mais cette remarque, il la garda pour lui. Il évitait de trop parler de ses conflits avec ces deux-là, histoire de ne pas pourrir l’ambiance dans l’appartement. Il ne demandait à personne de prendre parti, alors tant qu’on ne lui reprochait pas son manque d’efforts, il préférait laisser le sujet de côté. « Facile pourtant, ce sera une quatre fromages pour moi. » Il haussa les épaules en souriant, comme si c’était vraiment une évidence. En même temps il aimait le fromage, le brun. « Et toi ? » Il demanda à la blonde par curiosité. Et puis, si le choix qu’elle faisait lui plaisait, il pourrait peut-être essayer de faire un échange de part, qui ne tente rien n’a rien, comme on dit.
Poppy Myers
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tw - handicap, blessures « vive l'appartement vide, propre et calme après une longue journée alors !» elle lui offre un grand sourire en posant la tête sur le dossier du canapé pour l'observer. son sourire est sincère, venant réellement de cette petite place dans son coeur qu'elle réserve pour les amis comme Eliseo qu'elle a dans sa vie depuis si longtemps qu'il lui paraît clair qu'ils sont un peu la famille qu'elle a choisi. bien sûr aucun d'eux ne remplacera jamais sa soeur jumelle ou ses frères, mais il a quelque chose de précieux dans la présence d'une personne qui vous aime, se confie à vous, vit autour de vous et choisit de rester là. pas parce qu'on partage un lien de sang, mais parce qu'on s'apprécie et on se choisit continuellement. une forme d'amour familiale assez délicat et tendre qu'elle chérit tout particulièrement quand elle regarde l'infirmier. « tu as beaucoup de mérite avec tout le travail que tu fais. tu mérites un peu de repos. et une quatre fromage tout de suite chef !» elle regarde son téléphone où l'application de livraison à domicile est en attente de choix. elle sourit malicieusement en sélectionnant une pizza pour lui avant de se choisir une chèvre miel, n'ayant pas envie de faire particulièrement original ce soir. dans son coeur, elle sait qu'une quatre fromage l'aurait aussi rendu heureuse ou une pizza avec du saumon. mais son appétit n'est potentiellement pas suffisant pour manger une pizza entière donc elle préfére clairement prendre quelque chose qui plaira peut être aux absents. « Chèvre miel pour ma part ! aller hop, 25 minutes et on aura notre saint graal» elle valide la commande en sachant qu'elle pourra payer avec les quelques billets qu'elle a dans son sac à main à l'entrée. bien sûr il serait plus simple de payer par carte mais en l'état, elle n'a pas envie d'envoyer Eliseo chercher sa CB et d'un autre côté elle est aussi bien installée pour l'instant. Son genou ne la lance pas et sa position est agréable à tenir. « ah au fait ! je t'ai pas dit mais j'ai été voir le film Barbie !» elle offre un grand sourire à son colocataire qui n'en a sûrement rien à faire mais elle n'a pas envie de rester là à regarder dans le vide pendant une plombe ou lancer le film tout de suite. S'ils le lancent trop vite avant l'arrivée de la pizza, il faudra faire pause et tout mettre en standby avant de pouvoir reprendre le film et ça n'est jamais agréable, quelque soit le film. bien entendu s'il y tient elle saura accepter de faire un break pour leur repas mais autant être bien installé et ne plus avoir à rebouger après. « truc improbable, un gars s'est fait poser un lapin et m'a donné son deuxième billet alors on a regardé le film ensemble ! j'ai beaucoup aimé !» elle se rappelle sa rencontre le renfrogné mais sympathique Eli au cinéma quelques jours auparavant et ne peut que s'amuser de la situation incongru dans laquelle, elle s'est retrouvée. Il n'y avait pas spécialement de raison que ce genre de choses arrivent, même si Poppy est toujours la première à accueillir à bras ouverts des inconnus ou à vouloir papoter avec n'importe qui, elle ne va pas non plus aller chercher les inconnus pour ce genre d'interaction « et toi ? rien de surprenant dans ta vie récemment ?» elle lui sourit, lui ouvrant la porte à la confidence ou juste des anecdotes. c'est ça aussi de rentrer chez soi après une longue journée après tout. pouvoir parler de banalités en en faisant quelque chose de beau et plus grand que soit même.
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Rentrer chez lui, pouvoir se poser dans le canapé en compagnie d’une amie, c’était vraiment agréable. Il aimait ça, Eliseo. C’était bien pour ça qu’il n’avait pas envie de quitter cette colocation, même si, maintenant qu’il travaillait à temps plein, il devrait être en mesure de se trouver un appartement sans avoir nécessairement besoin d’être en colocation. Mais, il n’en avait pas envie le brun. Il était bien ici et puis, la colocation ça lui permettait de mettre de l’argent de côté alors ça n’avait que des avantages. Le seul problème, dans le fond, c’était Gisela et Adrian. Eux deux, il n’avait clairement pas envie de les voir. Ça l’enrageait de les voir ensemble, alors que quelques mois plus tôt, ça avait été lui, aux côtés de Gisela. Ce n’était pas juste de devoir être le témoin de leur histoire, mais bon, il faisait en sorte de ne pas trop les croiser eux et trouvait toujours le moyen de passer un bon moment avec les autres, c’était ce qui comptait le plus. Avec un peu de chance, eux deux, ils allaient finir par se rendre compte que ce serait plus simple d’aller vivre leur amourette en privée. Ça l’arrangeait, en tout cas, Eliseo.
Pour l’heure, ce n’était pas au programme, pas qu’il le sache en tout cas. Tout ce qu’il savait, c’était que pour l’instant, il n’y avait que Poppy à l’appartement et c’était très bien comme ça. Parfait, même d’après lui, la promesse d’une bonne soirée. « Je te le fais pas dire. » Il répondit à la remarque de la blonde en rigolant. Ça faisait vraiment du bien de pouvoir se poser comme ça, après une longue journée passée au boulot. « C’est vrai que c’est le minimum comme récompense, une pizza quatre fromages, j’aide à mettre des bébés au monde, quand même. » Il rigola de nouveau. Il était fier de son métier, Eliseo, ça lui plaisait énormément, mais il n’était pas du genre à se la péter ou prétendre avoir plus de mérite qu’un autre. « Très bon choix. » Il fallait croire que leur soirée était sur le thème du fromage. Pas une mauvaise chose, d’après lui. Vingt-cinq minutes avant le saint graal malgré les gargouillis de son estomac, il devrait être capable de tenir jusque là. « Ah et alors, si révolutionnaire qu’on le dit ? » Il questionna, en levant les yeux au ciel. Pas du tout attiré par ce film. Plus on en faisait des caisses autour d’un film, moins il avait envie de le voir Eliseo et là, clairement le marketing était too much. Peut-être qu’il allait se faire traiter de misogyne parce qu’il refusait de voir le film féministe de l’année. Tant pis, c’est pas comme s’il se souciait beaucoup des avis des autres, de toute façon. « Drôle de hasard, le mec était sympa ? » Il ne pouvait pas s’empêcher de se méfier, Eliseo. Des types louches avec des plans tordus pour s’approcher d’une fille, il y en avait beaucoup trop sur cette planète. Poppy n’avait pas l’air d’avoir eu de problème, elle avait même souligné avoir apprécié, alors c’est que tout s'était bien passé et qu’elle était tombée sur un gars généreux et non sur le weirdo du coin. « Non, rien qui change de l’ordinaire dans ma vie. Je m’occupe d’une patiente qui attend des quadruplés, c’est pas tous les jours que ça arrive remarque. » Il haussa les épaules. Globalement, comme il passait la plupart de son temps au travail ces derniers temps, les seules choses un peu folle de sa vie, se passait là-bas. Des quadruplés, c’était pas mal à ses yeux. Pas facile à gérer, aussi bien dans la grossesse qu’après, il se disait que cette dame avait beaucoup de courage.
Poppy Myers
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tw - handicap, blessures La conversation n'a rien de révolutionnaire mais Poppy trouve un vrai plaisir à parler avec Eliseo pour cette raison. Dans leur amitié elle trouve un répit réel. Il n'est pas de ces gens qui demandent énormément d'énergie à fréquenter et en même temps il sait se montrer à l'écoute, ou au moins avec elle, et la petite blonde a toujours eu la sensation qu'ils arrivaient à passer du temps de qualité en présence l'un de l'autre même quand ils n'ont pas grand chose à se raconter. Peut être est-ce cela une bonne amitié. Une amitié qui vous permet de vous reposer plutôt que vous épuiser. Il rigole et Poppy le suit dans ce moment de légèreté en hochant doucement la tête « des naissance aujourd'hui d'ailleurs ?» elle aime le service des naissances à l'hôpital, et ce depuis qu'elle est toute jeune. Quand sa maladie a montré ses premiers signes, les infirmières la laissaient aller voir les bébés pour lui remonter le moral. Quand on a 14 ans et on se casse le bras en tombant sur sa valise, il faut trouver un peu de lumière quelque part. Et les petits bouts, vivant leurs premiers jours dans ce monde, était une lumière agréable. Poppy leur souriait et ressortait toujours de là avec le coeur un peu plus léger. « Merci ! on échangera une part si tu veux » dit-elle quand il parle de sa pizza et la commande passer, ils sautent de sujet en sujet avec simplicité. Après une journée de travail pour lui et une journée de recherches pour elle, Poppy se dit que c'est aussi bien d'avoir ce genre de conversation et acquiesce avec un sourire tendre pour parler du film qu'elle avait vu récemment « révolutionnaire je sais pas mais j'ai beaucoup aimé ! c'était drôle, une petite satire sympa et Margot Robbie est si belle... en vrai je peux comprendre qu'il ait plu. » bien sûr Poppy y était allée avec une sorte de nostalgie des films Barbie de son enfance, et avait pu être un peu déçue de ce côté là parce que le film était plus une critique de la société, du patriarcat mais d'un autre côté, elle n'était pas convaincue que ce soit le film de l'année. Le message lui avait plu mais pas forcément la forme. Elle avait plus d'intérêt pour les films divertissants que pour ceux qui la font trop réfléchir. A tord ou à raison. « ça va ! après on a surtout regardé le film ensemble et il aimait le même popcorn que moi donc que demande le peuple ! » un petit rire passe ses lèvres et Poppy se rappelle qu'au final, elle avait été la plus bavarde des deux au cinéma et qu'Eli s'était montré plutôt docile en sa présence. Quand elle croisait des gens un peu taciturnes ou introvertis, la blonde faisait toujours en sorte de remplir l'espace sans les mettre mal à l'aise mais encore fallait-il que les gens soient sensibles à ses efforts. « on a pris le numéro l'un de l'autre après mais on a pas trop parlé ! il est pas bavard mais gentil comme tout.» dit-elle sincèrement avant de lui demander comment la vie allait de son côté. Un petit o se forme sur ses lèvres quand il évoque des quadruplés. L'image d'une femme entrain d'anxieusement attendre cette naissance sûrement lourde lui passe en tête et Poppy ne peut s'empêcher de s'enquérir de la femme « oh wow ça doit être difficile.. elle est hospitalisée ou tu vas chez elle ? » sa mère n'avait pas les histoires les plus drôles sur la naissance d'elle et Violet, sa jumelle, et elles n'étaient que deux. Donc 4 ? la vie est étrange de choisir de faire subir ça aux femmes.. Mais Poppy ose croire qu'avec le bon accompagnement, notamment celui d'Eliseo, tout ira bien « tu mérites d'autant plus ta pizza ! j'ose à peine imaginer le stress pour elle et la patience pour toi qu'il faudra»
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Eliseo Vazquez
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âge : il est âgé de vingt-quatre ans, encore dans la fleur de l'âge, toute sa vie devant lui.
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occupation : sage-femme, depuis peu. peu conventionnel pour un homme, mais il s'en moque, il aime son métier et est plutôt content de chambouler un peu les clichés.
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Tant qu’il n’y avait pas de traces de Gisela et d’Adrian, l’appartement dans lequel il vivait ressemblait à un petit havre de paix. Il s’y sentait bien, Eliseo. Il regrettait évidemment ce qu’il s’était passé avec Gisela. Se disait qu’il aurait mieux fait de ne jamais s’engouffrer dans cette histoire, parce que ça avait considérablement compliqué les choses pour lui, à l'appartement. Mais, cette histoire mise de côté, il se sentait plutôt bien dans cet appartement. Retrouver Poppy ce soir lui avait redonné le sourire en quelques secondes. Peut-être que ça aurait été différent si Gisela et Adrian avaient été dans le coin, mais puisque ce n’était pas le cas, il n’avait pas le moindre souci à se faire, Eliseo. Pas de mauvaises ondes à l’horizon, c’était la promesse d’une belle soirée. C’était tout ce qu’il voulait, le brun, une belle soirée, où il n’aurait pas à se prendre la tête avec les histoires qui le tracassaient au quotidien. Décidément, les histoires de cœur, c’était bien les pires, quelle idée il avait eu de s’engager dans ce genre de voie. Ces derniers temps, il avait tendance à penser que le mieux, c’était définitivement d’éviter les relations qui durent plus d’une nuit, au risque de s’en brûler les ailes.
Il passait beaucoup de temps à l’hôpital, Eliseo, histoire de fuir Adrian et Gisela, mais ce n’était pas le cas ce soir, alors il comptait bien en profiter pour passer une bonne soirée. Savoir qu’il allait la passer avec Poppy, c’était déjà un bon point. « Ouais, plusieurs même. Tu savais qu’y avait presque mille naissances par jour en Australie ? » Ça faisait beaucoup de bébés en une journée, même si évidemment, c’était réparti sur tout le territoire du pays. Brisbane étant une grande ville, il y avait quand même une concentration dans le coin. Le service maternité de l’hôpital était toujours très actif. Pour ce soir en tout cas, ils allaient devoir se passer de lui, parce que les pizzas étaient commandées et qu’il avait bien l’intention d’en profiter. « Avec grand plaisir. » Il répondit à la proposition de la blonde. Échanger une part pour varier un peu les plaisirs, c’était un deal qui lui convenait parfaitement. Et puis la blonde s’était lancée dans le récit de sa séance de cinéma. Séance plutôt originale, de toute évidence. « Okay, tant mieux si tu as aimé. » Il répondit, sourire aux lèvres. Il était content pour elle, même si de son côté, ce n’était pas le genre de films qui le branchait particulièrement. Le plus intéressant dans cette histoire, de toute façon, ce n’était pas le film, mais bien la rencontre qu’elle avait faite au cinéma. « C’est original comme rencontre, au moins. » Il déclara, dans un haussement d’épaules. Si ce n’était pas un type bizarre, tout allait bien. « Ah ouais, du coup tu lui envoies encore des messages ? » Il n’était pas bavard, d’après les dires de Poppy, mais est-ce qu’elle essayait quand même de maintenir le contact ? C’était curieux comme rencontre, alors c’était intéressant de voir où ça pouvait mener. De son côté, ce qu’il avait de plus fou à raconter concernant sa journée, c’était l’histoire de cette femme, attendant des quadruplés. Un bébé c’était déjà beaucoup, mais alors quatre, c’était vraiment compliqué. « Elle est hospitalisée, elle n’en a plus pour très longtemps et je pense qu’elle a hâte d’être délivrée. » Ce qui était parfaitement compréhensible, elle était coincée à l’hôpital à ne rien pouvoir faire. Aussi bien parce que se déplacer était compliqué, que parce qu’une grossesse multiple comportait toujours plus de risques qu’une grossesse simple. « Indéniablement, je la mérite cette pizza. Elle est plutôt sympa et je l’admire vraiment, alors j’aime bien passer du temps avec elle. » Il répondit en haussant les épaules. Sa patiente était une femme incroyable d’après lui. Elle méritait le respect vu ce qu’elle traversait, d’autant plus qu’elle n’était pas au bout de ses peines, avec quatre bébés. Il avait vraiment beaucoup d’admiration pour les femmes dont il s’occupait, mais pour elle, encore plus.
Poppy Myers
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 25 ans elle a passé la barre c'est bon. le fameux quart de siècle
statut civil : célibataire
occupation : Doctorante en Anthropologie, en pleine thèse sur les sociétés aborigènes d'Australie et d'ailleurs + assistante de professeur à l'Université de Brisbane + serveuse
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : violence animale, violence sur les enfants
warning : maladie chronique
disponibilités : OUVERT
LIEN - rp w/ Eli LIEN - rp w/ Eliseo LIEN - rp w/ Maverick LIEN - rp w/ Kaleb URL + w/ Renfield
tw - handicap, blessures La blonde avait appris à faire avec les emplois du temps très diversifiés de ses colocataires. Comme personne ne vivait au même rythme, elle avait la sensation d'être chanceuse quand ils arrivaient à passer du temps ensemble ainsi. Ces petits moments suspendus étaient essentiels. « 1000 naissances par jour ? wow.. je savais que le chiffre était élevé mais pas autant. incroyable.. ça doit être si beau.» s'émerveille-t-elle en discutant de sa journée à l'hôpital avec son colocataire. Elle ne le voyait pas souvent dans le service qu'elle fréquentait, ayant une équipe plus ou moins attitré à ses afflictions mais quand elle pouvait Poppy aimait passer le voir ne serait-ce qu'une seconde dans le service maternité. Ce n'était qu'un coucou en coup de vent souvent mais ça la faisait sourire. Néanmoins, la rapidité du rythme dans l'enceinte de l'hôpital ne leur laissait jamais le temps de parler et elle n'avait donc que vaguement conscience de tout ce qu'il faisait en journée. Ils continuent de discuter ainsi alors que les pizzas sont commandées et qu'elle évoque sa rencontre avec Eli devant Barbie.« j'admets que c'est pas commun mais ça fait un petit meet cute comme dans les films ! c'est rigolo. et il est gentil en soi donc oui.. juste quelques messages !» aucune arrière pensée ne se cache derrière cette communication continue. Poppy aimait simplement passer du temps avec de nouvelles personnes dès qu'elle en avait l'occasion, trouvant une certaine douceur dans les relations humaines, surtout les nouvelles. « oh heureusement pour elle je suppose.. ça doit être difficile à supporter une grossesse pareille.» commente la blonde en pensant à sa propre jumelle et la difficulté certaine de la grossesse de leur mère. Alors doubler le tir ? elle n'osait penser au poids d'un tel choix de vie. Et en même temps, était-ce vraiment un choix ? ses souvenirs de cours de science étaient mauvais mais ce type de grossesse ne s'annonçait pas toujours tôt et pouvait être une "surprise" pour les parents à un stade avancé. « elle a de la chance d'avoir quelqu'un comme toi pour lui tenir compagnie» le compliment est sincère. Poppy avait passé assez d'années avec Eliseo dans sa vie pour ne pas avoir à exagérer le trait sur cette question. Elle n'aurait jamais choisi de vivre en colocation avec lui et les autres sans ça. Il y avait quelque chose chez le brun qui attendrissait son petit coeur déjà particulièrement chaleureux. « tu dois être content de pouvoir l'aider en plus, vu ce qu'elle traverse.. pour ce genre de grossesse ça se passe comment ? vous déclenchez l'accouchement ?» la blonde pose des questions par simple curiosité mais aussi pour remplir le temps. Leurs pizzas sont en préparation et à part choisir le film du soir, elle estime qu'ils n'ont pas grand chose de plus à faire que partager des petits brides d'informations anecdotiques. Ce n'était pas comme si sa vie était trépidante, en dehors de sa thèse et sa cheville actuellement elle ne faisait pas grand chose. « je me demande si ça sera tous des enfants du même genre aussi.. des vrais quadruplés ça serait incroyable»
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Eliseo Vazquez
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pseudo : sweet poison (anaïs).
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âge : il est âgé de vingt-quatre ans, encore dans la fleur de l'âge, toute sa vie devant lui.
statut civil : il est célibataire, rupture récente avec gisela, quand le copain de cette dernière a débarqué à l'improviste.
occupation : sage-femme, depuis peu. peu conventionnel pour un homme, mais il s'en moque, il aime son métier et est plutôt content de chambouler un peu les clichés.
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Une soirée au calme à l'appartement, ça allait lui faire du bien à Eliseo. Il passait trop de temps à travailler ces derniers temps, le brun. Il avait la volonté de fuir l’appartement ou en tout cas, il avait besoin de fuir certains de ses colocataires. Pas tous, juste Gisela et Adrian. Mais pour les fuir eux, il devait esquiver tout le monde. Ça ne l’enchantait pas plus que ça, parce qu’il aimait passer du temps avec les autres. Il se disait parfois qu’il devrait juste ignorer Gisela et Adrian et passer plus de temps avec Poppy et Sehun. Mais c’était plus facile à dire qu’à faire, dès qu’ils étaient dans le coin, il se sentait si mal qu’il préférait s’éclipser. Mais ce soir c’était différent, il n’avait pas besoin de s’éclipser, puisqu’Adrian et Gisela n’étaient pas présents. Ce soir, il n’y avait que Poppy et lui et ça lui convenait très bien comme ça. Il aimait passer du temps avec elle, alors il sentait qu’enfin, il allait pouvoir passer une bonne soirée à l’appartement.
Il se sentait plus léger que d’habitude, le brun et ça lui faisait du bien. Il était beaucoup trop stressé ces derniers temps, malheureux aussi, à chaque fois qu’il pensait à son histoire avec Gisela. Mais aujourd’hui, ça allait. Ce soir, il se sentait bien, alors autant en profiter. « Ouais, c’est beaucoup. » Il répliqua, dans un léger rire. Ça faisait beaucoup de nouveaux-nés en une journée. « Ça dépend des conditions des grossesses et des naissances. » Il y avait des grossesses non désirées qui rendaient les naissances moins belles, des enfants qui naissaient sous X, des mères qui se retrouvaient seules. Il y avait des accouchements difficiles, parfois des bébés prématurés. Tout un tas de choses qui pouvaient rendre les choses déprimantes. Mais quand tout se passait bien, il s’agissait vraiment de moments merveilleux. Poppy, elle, elle avait connu un moment sympa, au cinéma, apparemment, une rencontre un peu hors du commun qui semblait l’avoir marquée. C’était une bonne rencontre, alors tant mieux. Au moins, c’était rassurant, le monde était finalement peuplé d’un peu moins de gens étranges et creepy qu’il aurait pu le croire. « Ouais, c’est carrément sympa et original comme rencontre. Et puis, si ça peut conduire à une belle amitié, c’est encore mieux ! » Il aurait pu parler de rencontre amoureuse, même, mais il trouvait ça réducteur que les rencontres soient nécessairement liées à l’amour. L’amitié, c’était très bien aussi. Parfois mieux, même. Ces derniers temps, il avait tendance à penser que l’amour, c’était trop douloureux et qu’il valait mieux en rester le plus loin possible. « C’est sûr, j’ose même pas imaginer ce qu’elle doit supporter. » En théorie, il voyait un peu ce qu’elle traversait cette maman. Mais il ne pourrait jamais vraiment se mettre à sa place, peu de gens le pouvaient, de toute évidence et certainement pas un homme. « J’espère qu’elle le pense aussi. » Il lâcha dans un léger rire. Heureusement, il arrivait à laisser ses problèmes de côté quand il était au travail, alors il avait bon espoir que sa compagnie soit assez agréable. « Ouais, c’est hyper intéressant comme situation et c’est vraiment une dame adorable. Elle ne pourra pas aller jusqu’au terme, donc on va le déclencher oui. » C’était souvent le cas dans les grossesses gémellaires, mais carrément inévitable quand il s’agissait de quadruplés. L’important, c’était qu’elle mène cette grossesse aussi longtemps que possible, mais que les bébés viennent au monde avant de potentielles complications. Qu’ils arrivent ni trop tôt, ni trop tard. « Ce seront pas des vrais quadruplés, y a trois filles et un garçon. C’est hyper rare les vrais quadruplés, j’espère que j’aurais l’occasion de voir ça dans ma carrière. » Sa carrière débutait tout juste, alors avec un peu de chance, il verrait ça de ses propres yeux un jour et ce, même si les chances étaient immensément petites.
Poppy Myers
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tw - handicap, blessures Leur conversation tourne autour du travail d'Eliseo à la maternité et Poppy, curieuse de nature, reste attentive et intéressée malgré le fait qu'elle n'y connaît pas grand chose. Il y a quelque chose dans ces conversations qui la réchauffe à l'intérieur, qui la rassure et lui fait du bien. Un sens de normalité et surtout un rappel qu'il existe autre chose que ses cours et sa thèse là dehors. A force de passer des heures dans ses livres et autour, la blonde oubliait parfois la vie extérieure. Le monde se résumait à des données et des hypothèses... et beaucoup de questions sur la nature humaine. Alors parler de bébés et de naissance lui allait bien. Là où il y a de la vie, il y a de l'espoir non ? un sourire tendre marque son visage alors qu'elle écoute son colocataire « c'est quand même fou.. tu vas aider tellement de bébés à naître.» elle sourit doucement en imaginant toutes les mères et enfants qu'il a pu aider avec toutes les années. « oh oui c'est original mais j'aime bien l'idée! se faire des amis en dehors de l'université .. » commente-t-elle quand ils dévient sur le sujet de sa rencontre avec Eli. Elle n'a pas de commentaire particulier à faire donc elle relance la discussion sur les naissances et notamment sur une mère attendant des quadruplés. La conversation la fascine et fait sourire la jeune femme qui est enchantée par l'idée d'autant d'enfants d'un coup et en même temps cela l'effraie. Bien qu'elle soit très loin de se retrouver dans une telle situation, n'ayant de toute façon personne avec qui faire les dits-bébés et surtout avec sa santé, la jeune femme ne pouvait s'empêcher de trouver fascinant l'histoire. « ça serait un magnifique moment dans ta carrière mais vu comment tu le décris ça doit être épuisant pour les mamans..» la blonde sourit doucement puis ajoute « j'adorerai faire une cérémonie traditionnelle ou un mariage avec une des tribus que j'étudie personnellement mais c'est comme toi, rare. enfin différemment, on laisse personne de l'extérieur voir ces choses.» Poppy sourit avec une tendresse certaine à la pensée de ces rites qu'elle étudie dans les livres et espére un jour aider à protéger mais qu'elle ne pourra jamais voir en réalité. Ce n'était pas tant qu'elle ne pouvait essayer de s'intégrer là dedans, certains groupes lui avaient proposé de voir des morceaux mais ce n'était juste pas pareil. Et le respect qu'elle avait pour eux était trop grand pour y aller. « on devrai.. oh !.» son téléphone vibre et la blonde sourit en se redressant pour répondre à l'appel du livreur. Son sourire s'élargit alors qu'elle se lève du canapé en expliquant comment rentrer dans l'immeuble. Quand elle termine, Poppy sourit à Eliseo en allant attraper un gilet pour se couvrir un peu avant d'ouvrir « Le saint Graal est là ! faudrait qu'on choisisse un film quand même !» elle n'a pas vraiment fini d'échanger avec lui que la porte sonne et elle file récupérer le tout en ne s'attardant pas trop à la porte malgré sa tendance à bavasser des heures avec quiconque est prêt à discuter. Quand elle revient vers le salon avec les deux cartons c'est sans avoir perdu le sourire « c'est chaud et ça sent bon ! ohlala j'ai hâte ! je pensais pas que j'avais si faim jusqu'à ce qu'elles arrivent»
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Eliseo Vazquez
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Il était fier de son métier, Eliseo. Il aimait ce qu’il faisait, le fait d’aider les mères dans leurs grossesses, le fait d’aider des bébés à voir le jour, c’était un vrai bonheur pour lui. Il aimait aussi le fait que ce ne soit pas un métier dans lequel il y avait beaucoup d’hommes, faire partie de cette minorité, ça lui donnait l’impression de faire un peu tomber la barrière des genres. Un grain de sable dans le désert, sans aucun doute, mais à son échelle à lui, c’était déjà pas mal. Il était vraiment content de ce qu’il faisait, Eliseo et il ne changerait de métier pour rien au monde. Il était heureux comme ça et être heureux dans son métier, c’était sans doute l’une des choses les plus importantes dans la vie. « J’espère bien, de mon point de vue, c’est le meilleur métier du monde. » Impossible de lui faire voir les choses autrement, même s’il y avait tout un tas de beaux métiers. «C’est sûr, ça change un peu d’univers, c’est cool. » Avoir des amis hors de la fac, c’était une bonne chose, surtout qu’elle y passait beaucoup de temps à la fac Poppy. « C’est clair, ce serait incroyable, mais je plains les femmes qui doivent traverser ce genre de grossesses. » Un bébé, c’était déjà compliqué, mais alors quatre d’un coup, c’était vraiment galère. Le genre de grossesse vraiment épuisante et puis, au-delà de la grossesse en elle-même, la suite devait être éprouvante. Quatre bébé à s’occuper en même temps, l’enfer. D’un point de vue professionnel, c’était intéressant, mais clairement, dans sa vie privée, s’il devait devenir père, il espérait ne pas en avoir quatre d’un coup.
« Tu m’étonnes. Ça doit être tellement chouette de voir ça et d’en apprendre plus sur les coutumes et traditions. » Le monde était riche de cultures différentes et toutes intéressantes. Il trouvait les études de Poppy fascinantes et elle, elle connaissait tellement de choses intéressantes. Il l’admirait pour ça Poppy - entre autres. Elle était un peu comme une encyclopédie des cultures du coin et c’était fascinant ce qu’elle racontait. Rapidement, le gong retentit pour leur annoncer l’arrivée des pizzas. Excellente nouvelle, parce qu’il sentait son estomac gronder depuis un petit moment. Sans doute depuis qu’ils avaient parlé de pizza. « Super, j’ai vraiment la dalle. Une préférence pour le film ? Comédie, horreur, super-héros ? » Il demanda en allumant la télé, alors que Poppy s’était levée pour aller chercher les pizzas. Lui, il s’en moquait un peu du film, l’important c’était de passer un bon moment avec son amie, tant pis si niveau cinéma, la qualité n’était pas au rendez-vous. La blonde ne tarda pas à revenir avec les deux cartons et une excellente odeur de pizza qui lui mettait déjà l’eau à la bouche. « Ah ouais, ça sent tellement bien, ça y est, je meurs de faim aussi. » Il répliqua dans un léger rire, avant de se lever du canapé. « Je vais chercher à boire pour aller avec, tu veux quelque chose ? » Il demanda à Poppy, avant de s’éloigner en direction de la cuisine. Ils avaient bien besoin d’une bonne boisson pour accompagner leur pizza.
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tw - handicap, blessures Grandir en connaissant des gens comme Eliseo qui avait su trouver sa passion, son driver, avait beaucoup aidé Poppy a assumé ses propres choix de carrière parce qu'elle voyait bien qu'il était important de faire quelque chose qui nous plaît. Tous les jobs n'ont pas la capacité de nous donner la même énergie et quand on fait quelque chose qu'on aime la vie est juste différente. Même si le dit métier peut avoir un poids mental ou physique, il rend heureux... sincèrement heureux. Et Poppy adorait ça pour lui comme elle. Qu'ils aient trouvé leur voie. Elle sourit en l'écoutant et commente avec toute la fierté et l'admiration du monde quand il parle des grossesses qu'il accompagne. Le meilleur métier du monde. Elle sourit derechef et hôche la tête. Il a sûrement raison dans une certaine mesure. Leur conversation la fait sourire sincèrement et elle opine du chef en l'observant sur le canapé « Oui ça doit être libérateur quand l'accouchement est passé... j'espère qu'elle a un bon conjoint et des gens pour l'aider. pour la suite. Et pour les enfants aussi !» elle qui était une jumelle, elle avait conscience que sa mère avait eu du mal déjà à gérer deux bébés en même temps, surtout sans un vrai homme pour rester assez longtemps dans le temps pour l'accompagner dans ce changement de vie. Malheureusement, ce n'était pas le meilleur exemple mais Poppy avait foi en l'humanité dans une certaine mesure. N'avait-elle pas choisi sa voie à cause de ça ? Parce qu'elle voyait du beau dans l'humain. « C'est clair que c'est la partie la plus excitante du métier ! apprendre. Mais il faut une part de privé, de mystique presque.. j'aime l'idée qu'il a des choses que je ne saurai jamais ou que je ne pourrais pas expérimenter. ça rend tout ça... plus mystérieux ! c'est fascinant. » son rire est sincère et elle pense ce qu'elle dit. Dans un monde idéal, elle pourrait faire toutes ces choses qu'elle n'apprendra que dans les livres et par le bouche à oreille mais serait-ce aussi intéressant et curieux si c'était si facile d'accès ? pas sûr. Alors la blonde se satisfait des mystères de l'humanité et des difficultés à arriver au bout de ceux-ci. La réflexion a juste le temps de la faire sourire que leur livraison de pizza arrive et Poppy se fait une joie d'aller tout chercher. La chaleur des boites à Pizza et l'odeur l'enivrent et réveillent pour de bon sa faim. Elle rejoint le salon avec le trésor et un grand sourire affamé « tout ce que tu veux ! plutôt de la comédie non ? j'aime avoir un peu peur parfois mais la journée a été longue, c'est mieux un truc qui fait pas réfléchir. » elle laisse les deux pizza sur la table basse, les ouvrant l'une après l'autre avant de regarder l'écran de TV et les services de streaming à leur disposition « j'avais du thé glacé dans le frigo je crois ! tu peux sortir ça ? sinon de l'eau ça devrait aller merci.. j'ouvre Netflix, on peut peut être mettre un film au hasard non ? » elle prend la télécommande pendant qu'il s'en va et commence à chercher si un bouton existerait pour ce genre de commande. ça ou un dessin animé serait parfait, pour se reposer et au pire pouvoir continuer à discuter sans s'en vouloir de ne pas être concentrés sur ce qu'ils sont censés regarder. « Sinon, un film d'animation ? ils ont une sélection Dreamworks, ça peut toujours être léger. »
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Ils faisaient sans doute partie des chanceux, Poppy et lui. Ils travaillaient tous les deux dans un domaine qui les passionnait. De son côté, Eliseo n’avait pas l’impression que se lever le matin pour aller bosser n’était pas un calvaire. Au contraire, il était toujours plutôt content de se rendre à l’hôpital, de retrouver ses patientes et ses collègues. Il aimait son travail et il se disait que c’était déjà une grande réussite dans la vie. Il avait l’impression que c’était le cas aussi pour Poppy et rien que pour ça, il était heureux pour elle, le brun. Elle était épanouie dans ce qu’elle faisait et ça se voyait. Il admirait son courage pour se lancer dans autant d’années d’études. Il devait bien admettre que lui, il aurait aimé devenir médecin, mais que l’idée de passer une dizaine d’années de sa vie aux études, ça ne le tentait pas beaucoup. Surtout, si c’était son père qui devait financer ses études. Il n’aimait pas l’idée de devoir lui demander quoi que ce soit. Il avait déjà fait de son mieux pour financer ses études d’infirmier sage femme, mais même pour ça, il avait eu besoin de son aide, alors médecine, il n’imaginait même pas.
« Ouais c’est sûr. Le conjoint a l’air plutôt investi. Je crois que sans ça, ça doit être ingérable. » Heureusement qu’elle n’était pas seule dans cette épreuve, parce que déjà, accompagnée, ça devait être particulièrement difficile, mais alors, seule, il n’osait même pas imaginer, le brun. « J’imagine, essayer de percer des mystères, c’est cool justement parce qu’on ne peut pas tout élucider. » Sinon, ce serait moins passionnant, non ? Il était vraiment content pour Poppy, puisqu’elle était aussi épanouie dans ce qu’elle faisait. Il fallait bien, pour avoir le courage de se lancer dans un doctorat. Il avait beaucoup de respect et d’admiration pour la blonde, Eliseo. La pizza avait fini par arriver. Bonne nouvelle, parce qu’il commençait à avoir une faim de loup, le brun. Il avait hâte de pouvoir se mettre à table et satisfaire son estomac qui grondait. « Va pour une comédie, ça nous fera du bien, en effet. » Elle avait raison Poppy, lui non plus, il n’avait pas spécialement envie de réfléchir. Plutôt envie de se détendre, avec une bonne pizza en bonne compagnie et un film, peu importait lequel, dans le fond. « Parfait, je ramène ça. » Il lança, depuis la cuisine en attrapant la bouteille de thé glacé dans le frigo, ainsi qu’une bière pour lui. Une bonne bière, d’après lui, c’était aussi un des ingrédients clé d’une soirée de détente. Sans en abuser, évidemment. Pas son genre de toute façon, de se bourrer la gueule. « Un film d’animation, c’est parfait. » Il répondit en revenant dans le salon, déposant les bouteilles sur la table, avant de se poser à nouveau sur le canapé. « Un truc mignon, ça nous fera du bien. » A lui, en tout cas, parce que ces derniers temps, il était sur les nerfs, Eliseo, alors, ouais un petit film d’animation, ça ne pouvait que lui faire du bien. « C’est important de cultiver notre âme d’enfant. » Il ajouta en ricanant. Il y tenait lui, à son âme d’enfant et se disait que ce n’était vraiment pas quelque chose dont on doit avoir honte, bien au contraire.
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tw - handicap, blessures Parler boulot avec Eliseo n'était pas une corvée, et ça ne l'avait jamais vraiment été car Poppy savait qu'ils étaient deux passionnés et surtout deux curieux. Ils aimaient poser des questions l'un à l'autre et s'intéressaient à la vie, notamment professionnelle et universitaire de leur colocataire. Cette complicité, qui aurait pu s'effriter avec les années -elle n'était pas sûr de se rappeler depuis quand ils étaient amis- était quelque chose qui tenait à coeur à la petite blonde qui savait qu'ils seraient toujours ravis d'entendre les histoires de l'un et l'autre quand il s'agissait de leur travail. Un coup de chance qu'ils ont eu ces deux là, de se rencontrer et se retrouver plus tard pour finir en colocation. L'affirmation ancre un sourire sur le visage de Poppy alors qu'elle écoute son coloc parler d'une de ses patientes qui attendait des quadruplets. Entendre dire que le futur père était investi fait un peu chaud au coeur de la jeune femme mais en même temps elle sent aussi une petite douleur dans la poitrine, se rappelant sans le vouloir que son père à elle n'était pas ce genre d'homme. Mais mieux vaut ne pas y penser. La soirée démarrait bien, pas besoin de s'attarder sur des sujets désagréable. « clairement résoudre le mystère est la partie la plus intéressante en plus. Et j'adore l'idée qu'on ne puisse jamais tout savoir !» Poppy continue la conversation joyeusement avant d'aller chercher les pizzas, réalisant qu'elle avait faim alors que le parfum s'échappe des boîtes chaudes. Elle les pose sur la table basse alors que Eliseo part chercher des boissons. La blonde s'atèle à leur chercher un film à regarder quand il revient et propose un combo comédie, animation et mignon qui la fait sourire. Leurs envies matchent et ça fait du bien de savoir qu'ils ne s'écharperont pas sur le sujet du film du soir. Passant les différents films que la plateforme proposait, elle finit par s'arrêter sur Shrek en souriant amusée« je propose de rester sur un classique ? avec les pizza, je pense que c'est la recette parfaite pour une soirée sans prise de tête !» elle le laisse confirmer la proposition de film alors qu'elle regarde son téléphone, réalisant qu'elle n'avait pas eu de nouvelles de leurs autres colocataires de la journée. Gisela notamment avec laquelle elle discutait quand même parfois en pleine journée, surtout avec leur deux emplois du temps assez différents « je t'ai même pas demandé mais tu sais où sont les autres ? j'ai pas vu Gisela depuis hier matin au petit déjeuner». Comme Poppy faisait des heures dans un bar de Brisbane pour compléter son salaire de thésarde, elle n'arrivait pas toujours à croiser toute la coloc tout le temps. D'un côté, c'était aussi bien comme ça, ils n'avaient jamais l'impression d'être toujours dans les pattes les uns des autres, mais il y avait des jours où elle aurait aimé passer du temps avec eux. « On devrait leur laisser une part si jamais ils reviennent en plein film non ?» elle lâche son téléphone pour ouvrir les boîtes à pizza, prête à les entamer rapidement tant elle a faim.
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-- I don't know what I want so don't ask me. 'Cause I'm still trying, to figure it out. Don't know what's down, this road I'm just walking. Trying to see through the rain coming down. Even though I'm not the only one, who feels the way I do. I'm alone.
Eliseo Vazquez
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ADMIN ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
paper rings
messages : 457
rps : 45
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : michael cimino (eyesome@avatar, song cry@bann)
âge : il est âgé de vingt-quatre ans, encore dans la fleur de l'âge, toute sa vie devant lui.
statut civil : il est célibataire, rupture récente avec gisela, quand le copain de cette dernière a débarqué à l'improviste.
occupation : sage-femme, depuis peu. peu conventionnel pour un homme, mais il s'en moque, il aime son métier et est plutôt content de chambouler un peu les clichés.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
trigger : torture animale, inceste. (+ pas particulièrement sensible, mais je ne joue pas les rp "sexe").
Il aimait beaucoup cette vie en colocation, Eliseo. C’était agréable de rentrer chez lui le soir et de pouvoir discuter tranquillement de sa journée avec quelqu’un. C’était un bon moyen de se détendre en bonne compagnie. Peut-être que c’était le genre de sentiment qu’on pouvait retrouver lorsqu’on vivait en couple. Il n’en savait rien, dans le fond, le brun, il n’avait jamais été assez longtemps en couple pour aller jusqu’à cette étape là. Dans tous les cas, lui, il se sentait bien dans cette colocation. Il n’envisageait pas de partir, même s’il avait fini ses études et qu’il avait un job à présent. Même si c’était compliqué avec Gisela ces derniers temps, il n’avait pas envie de s’en aller, le brun. Il se sentait trop bien ici. « J’imagine, chaque nouvelle petite découverte doit être passionnante. » Il ne faisait pas la même chose que Poppy, il en était même loin, mais il pouvait quand même imaginer ce qu’elle pouvait ressentir dès qu’elle parvenait à percer un mystère, aussi petit soit-il. Peut-être la même sensation qu’il ressentait à chaque fois qu’il voyait naître un bébé.
Maintenant qu’ils avaient réceptionné leur pizza, il fallait choisir un film à regarder. Elle avait proposé un dessin animé, il était partant, Eliseo. Un truc sympa et efficace pour ne pas se prendre la tête, c’était exactement ce dont il avait besoin. La blonde avait fini par s’arrêter sur Shrek. Elle avait raison, c’était un classique qui se mariait parfaitement avec la soirée qu’ils avaient prévu. « Je suis tout à fait d’accord avec toi. » Ils avaient vraiment tout ce dont ils avaient besoin pour passer une bonne soirée. Rien que tous les deux, ça lui convenait à lui. Pas qu’il ait quelque chose contre leurs autres colocataires - Gisela et Adrian mis à part. Mais justement, si personne n’était là ce soir, ça voulait dire que Gisela et Adrian n’étaient pas là et lui ça lui allait comme ça. « Non, j’ai pas de nouvelles non plus. » Il haussa les épaules. « Probablement qu’elle passe sa soirée dehors avec son mec. » Et tant mieux, ça lui évitait à lui de les avoir juste devant les yeux. Il ne savait vraiment pas ce qu’elle lui trouvait à ce type. Peut-être que ce n’était que la jalousie qui parlait, mais franchement Adrian était une personne détestable. Chacun ces goûts, sans doute. « On verra selon notre appétit, tu sais ce qu’on dit : les absents ont toujours tort. » Si personne n’était rentré, de toute façon, il y avait peu de chance qu’ils rentrent pour manger, vu l’heure qu’il était. Enfin, de toute façon, Eliseo avait l’intention de savourer son repas et non de l’avaler en un rien de temps, alors si quelqu’un rentrait sans avoir manger, il devrait pouvoir gratter une part. A part si c’était Gisela et Adrian, sans doute, parce qu’eux, il se contenterait de les ignorer, comme il le faisait si bien ces derniers temps. Hors de question de les inviter à se joindre à eux. Il n’avait pas envie que ces deux-là viennent gâcher sa soirée.
Poppy Myers
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 25 ans elle a passé la barre c'est bon. le fameux quart de siècle
statut civil : célibataire
occupation : Doctorante en Anthropologie, en pleine thèse sur les sociétés aborigènes d'Australie et d'ailleurs + assistante de professeur à l'Université de Brisbane + serveuse
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : violence animale, violence sur les enfants
warning : maladie chronique
disponibilités : OUVERT
LIEN - rp w/ Eli LIEN - rp w/ Eliseo LIEN - rp w/ Maverick LIEN - rp w/ Kaleb URL + w/ Renfield
tw - handicap, blessures Passer des moments comme ça, juste entre colocataires avaient quelque chose de doux au final car elle se sentait comme à la maison. Dans une famille qu'elle avait choisi au lieu de celle qu'elle "subissait". Bien sûr, une fois adulte, les relations avec ses frères, sa soeur, et même sa mère s'étaient améliorées et il ne lui était plus aussi difficile d'être à la maison. Mais il y avait quelque chose de différent ici. Entre ces quatre murs qu'elle partageait avec ses amis. Elle discute et rit avec Eliseo alors qu'ils parlent de leur journée de travail, attendant sagement les pizzas qui viendraient clôre cette longue journée. Quand le livreur arrive, Poppy va ouvrir avec le pas léger, oubliant un peu la douleur dans son genou pour l'instant. Elle a de la mobilité c'est l'essentiel. La tension lancinante n'est pas importante. Les pizza récupérées, elle les pose dans le salon, chaudes et fumantes avant qu'ils se mettent à chercher un film et quand Shrek semble leur plaire à tous les deux, l'étudiante se lance en quête du film sur les plateformes de streaming. « ah oui sûrement ! mon dieu j'ai tellement oublié ce que ça fait d'être en couple et découcher comme ça pour la nuit !» elle en fait une plaisanterie, elle mimant dramatiquement qu'elle est très affectée par l'information. Ce qui est faux, Poppy était loin de se languir de retomber amoureuse ou autre. Et puis elle aimait bien son lit. Découcher n'était pas trop dans ses plans « oui t'as raison, ils avaient qu'à être là ! j'aime bien cette expression. Surtout si j'garde plus de pizzas pour moi ! » elle rit en trouvant le film, qu'elle lance avant de mettre pause au tout début pour qu'ils puissent s'installer « aller c'est parti ! je sais plus c'est quand la dernière fois que j'ai regardé ce truc ! il y a eu quoi 3 films ? 4 ? » elle se prend une part, qu'elle découpe plus ou moins bien. « dis moi quand t'es ready ! »
« //?»
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Eliseo Vazquez
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âge : il est âgé de vingt-quatre ans, encore dans la fleur de l'âge, toute sa vie devant lui.
statut civil : il est célibataire, rupture récente avec gisela, quand le copain de cette dernière a débarqué à l'improviste.
occupation : sage-femme, depuis peu. peu conventionnel pour un homme, mais il s'en moque, il aime son métier et est plutôt content de chambouler un peu les clichés.
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C’était une chouette soirée qui s’annonçait. Eliseo était vraiment content de la passer en compagnie de Poppy. C’était une personne avec qui il appréciait passer du temps. Une personne qu’il était ravi de compter parmi ses amis. Ils avaient parlé un peu de leur travail respectif et s’il aimait parler du sien parce qu’il le rendait toujours très fier, il adorait aussi entendre parler de celui de Poppy. Il l’admirait pour être allée si loin dans les études - lui qui avait choisi de les quitter le plus vite possible - et pour toute la passion qu’il pouvait facilement lire sur son visage à chaque fois qu’elle parlait de ses recherches. A ses yeux, Poppy elle était un peu l’incarnation de la personne ayant trouvé sa voie. Elle était toujours si souriante et enthousiaste quand elle parlait de son travail. Un vrai petit rayon de soleil et une source d'inspiration. Poppy était vraiment une personne incroyable et il se disait qu'il avait de la chance de l'avoir dans sa vie. Elle était de ces amitiés si précieuses qu’on n’imagine plus la vie sans elles.
Soirée pizza et film d’animation, franchement, on pouvait difficilement trouver mieux comme plan pour une soirée réussie. Les pizzas étaient arrivées et l’odeur qui se répandait dans l’appartement suffisait à lui mettre l’eau à la bouche. « Tu sais quoi ? Je crois que c’est beaucoup mieux d’être célibataire et de pouvoir profiter d’une pizza tranquillement à l’appartement. » Il répondit, dans un haussement d’épaules. Ils étaient les grands gagnants de cette soirée en ayant comme seule préoccupation le choix d’un film. Les histoires de couple, c’était beaucoup trop compliqué à gérer. Alors, pour l’instant, il avait bien l’intention de rester célibataire. « On se prend tellement moins la tête comme ça. » Il lâcha, dans un léger soupir. Lui, il avait été plus ou moins en couple avec Gisela, avant qu’Adrian ne débarque et forcément, il s’était lancé dans un truc hyper compliqué. Il avait été l’amant de la brune, alors que son copain était encore chez eux, loin de l’Australie. Un bordel sans nom, duquel il essayait tant bien que mal de sortir à présent. « Cette expression est toujours à notre avantage. » Il répondit en ricanant. Elle avait raison, ça leur faisait plus de pizza et c’était très bien ainsi. Pas qu’il ne soit pas partageur, mais il avait faim et il comptait bien profiter de sa pizza. « Ça fait une éternité aussi. Je dirais qu’y en a eu 4, mais je suis plus très sûr. » Il commenta, en haussant les épaules. Il se souvenait bien des deux premiers, les autres étaient plus flous dans sa tête, impossible de dire si les souvenirs épars qu’il avait composaient un ou deux films. « Ils parlent pas de faire une suite ? » Il demanda en coupant une part dans sa pizza. Il avait entendu des rumeurs là-dessus, maintenant, il n’avait pas vérifié la véracité de ce qu’il avait pu entendre ou lire, ici et là. « Je suis prêt. » Il lâcha, sourire aux lèvres avant de croquer dans sa part de pizza.
Poppy Myers
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intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
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Poppy ne comptait plus vraiment le nombre d'années depuis lesquelles elle connaissait Eliseo mais se retrouver à vivre et à passer du temps avec lui était bénéfique, c'est tout ce qui comptait. Chaque fois qu'ils avaient l'occasion de papoter, son amitié avec lui semblait se renforcer parce qu'elle réalisait à quel point elle était heureuse de le connaître mais aussi admirative de la vie qu'il avait construit pour lui même. Okay d'ici quelques années il faudrait qu'ils prennent sûrement leur propre chemin, la colocation ne pouvant pas forcément être le meilleur modèle pour des adultes, mais actuellement ils avaient encore le temps pour ça. Tout comme ils avaient le temps avant de réfléchir à se remettre en couple ou à vouloir de nouveau quelqu'un dans leur vie. Poppy sourit à la remarque de son coloc, hochant la tête, totalement d'accord « oh oui ! vive la tranquillité » chantonne-t-elle en commençant à s'installer confortablement pour pouvoir manger tout en regardant le film. C'était un peu de logistique mais après ça elle avait pour projet de ne plus bouger d'un pouce ! « toujours, c'est ça qui est cool » elle rit en finissant de caler un plaid sur elle et se serre en part de pizza une fois qu'elle a trouvé les fameux films qu'ils avaient décidé de lancer ce soir. Bien que fan de film d'animation dans son temps libre il lui est impossible de se rappeler exactement combien de shrek était sorti « oh ça me parle.. je suis pas très réseaux sociaux donc je sais plus où j'ai vu ça mais maintenant que tu le dis » elle hoche la tête, se notant mentalement de vérifier l'information dans le futur, au moins après avoir fini celui là. Elle attrape une part, bien sécurisée avec un sopalin et presse Play sur le 1er film de la Saga, estimant que quitte à regarder, autant commencer au début. Elle lève sa pizza vers Eliseo en riant « à la pizza, à shrek et aux colocs célibataires » avant de se concentrer sur ce que raconte la télévision, la musique la rendant directement nostalgique « wow.. ça m'donne presque envie d'écrire à mon frère ce truc ! vraiment toute mon enfance.. Je me demande depuis quand il a pas regardé un dessin animé comme ça » en grandissant elle avait eu sa dose de hauts et de bas mais elle savait une chose, c'est que les films d'animation, une fois de temps en temps, dans un moment de bonne humeur de leur mère, étaient parmi ses moments préférés. Un moment de calme, de paix et de cohésion surtout. Ils étaient tous les 4 ensemble et tout semblait pouvoir un jour bien se passer. « t'as un personnage préféré ?.. tu veux peut être que je me taise ? » elle rit doucement avant de prendre une bouchée de sa pizza, trop heureuse de la chaleur de celle ci.
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Eliseo Vazquez
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âge : il est âgé de vingt-quatre ans, encore dans la fleur de l'âge, toute sa vie devant lui.
statut civil : il est célibataire, rupture récente avec gisela, quand le copain de cette dernière a débarqué à l'improviste.
occupation : sage-femme, depuis peu. peu conventionnel pour un homme, mais il s'en moque, il aime son métier et est plutôt content de chambouler un peu les clichés.
intervention pnj : Oui
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Sa dernière relation s’était mal terminée. Il était tombé amoureux de Gisela alors que leur histoire avait toujours été vaine. Il avait toujours su qu’elle avait quelqu’un dans sa vie et que d’une certaine façon, lui, il n’avait été qu’un bouche-trou. Le type qui avait été là, disponible quand elle avait commencé à se sentir trop seule, à cause de la distance entre elle et son compagnon. Evidemment, quand Adrian l’avait rejoint à Brisbane, elle était retombée dans ses bras et lui, il était passé à la trappe. Il était frustré le brun, que cette histoire se termine ainsi. Alors, maintenant, il se disait qu’il était mieux seul. Au moins, en étant célibataire, il n’avait pas d’histoires compliquées à gérer. Il ne risquait pas de se faire de nouveau mal au cœur. Il avait déjà assez donné ces derniers temps, alors pas question de recommencer. Il se disait qu’il pourrait se contenter des histoires sans lendemain, celles qui ne demandent aucun engagement. Ça pourrait bien être un bon plan, si seulement il n’était pas du genre beaucoup trop niais, s’attachant aux autres trop rapidement. Après tout, c’était ça qui avait causé sa perte dans son histoire avec Gisela, il s’était attaché trop vite.
Mais ce soir, Gisela n’était pas là . Ce soir, il n’avait pas besoin de se prendre la tête avec toutes ces histoires. Il était avec Poppy et leur programme pour la soirée était plutôt cool, alors il n’avait aucune raison de se plaindre et surtout, il ne voulait pas laisser Gisela ruiner encore quelque chose dans sa vie, alors qu’elle n’était même pas présente. Alors oui, vive le célibat et comme le disait Poppy : vive la tranquillité. Remarque qui d’ailleurs, le fit rire, Eliseo, même si clairement, il était d’accord avec lui. Il était bien content d’avoir la paix ce soir et de pouvoir passer une soirée tranquille avec une amie. « C’est clair. » Il répondit, quant à cette expression qu’il était si facile de tourner à leur avantage. Tant pis pour ceux qui n’étaient pas là ce soir, eux ils avaient une bonne pizza et un bon film qui les attendaient. « J’espère que ça en vaudra la peine, parfois les suites laissent à désirer. » Une suite, ça passait, mais plus ils en faisaient, plus ça avait tendance à détruire l'œuvre de base. Il lâcha un rire suite au toast porté par sa colocataire, mais imita son geste. « Magnifique toast. » La pizza, shrek et les colocataires célibataires, en effet, c’était un joli toast. « Est-ce qu’on arrête vraiment d’en regarder en grandissant ? » Il haussa les épaules, Eliseo, il ne connaissait pas le frère de Poppy, mais il avait tendance à se dire que s’il avait aimé ce genre de films dans son enfance, il devait toujours aimer. Un bol de nostalgie, ça faisait toujours du bien. « Il est pas dans le premier, mais le chat potté, évidemment. Et toi ? » Discuter ne le dérangeait pas, au contraire. Ils connaissaient tous les deux le film, alors le plus intéressant au final, c’était de partager son avis avec l’autre.