Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge : 25 ans elle a passé la barre c'est bon. le fameux quart de siècle
statut civil : célibataire
occupation : Doctorante en Anthropologie, en pleine thèse sur les sociétés aborigènes d'Australie et d'ailleurs + assistante de professeur à l'Université de Brisbane + serveuse
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : violence animale, violence sur les enfants
warning : maladie chronique
disponibilités : OUVERT
LIEN - rp w/ Eli LIEN - rp w/ Eliseo LIEN - rp w/ Maverick LIEN - rp w/ Kaleb URL + w/ Renfield
Son genou était toujours douloureux mais Poppy portait sa genouillère et avait d'autres soucis à gérer. La blessure n'avait qu'une semaine et la radio qu'elle avait passé n'avait pas décelée de cassure et l'échographie aucune déchirure. Mais ses mouvements étaient encore lents et pénibles, et mentalement la doctorante avait la sensation que rien n'allait. Elle s'était réveillée couverte de sueurs froides deux nuits auparavant et ne savait pas comment encaisser le fait d'être encore une fois blessée pour un rien. Tombée comme ça et avoir si mal… c'était injuste. Poppy ne trouvait aucun autre mot pour définir la situation. Aussi voyait elle son rendez vous avec le Dr Perkins comme une bénédiction et une malédiction à la fois.
Le praticien la suivait depuis tant d'années qu'aujourd'hui la jeune femme était à l'aise avec lui et savait se reposer sur son avis professionnel et personnel. Elle ne se cachait plus derrière le pseudo sourire fort et courageux d'une adolescente délaissée par ses parents qui doit faire face au poids d'une maladie handicapante et fatigante. Poppy pouvait lui dire ses peines et ses angoisses mais aussi ses joies et ses réussites. Célébrer les victoires face à la maladie tout comme face à la vie en général. Il avait été un des premiers à qui elle avait annoncé avoir eu son diplôme. Pas son père, ni sa mère. Pas même ses meilleurs amis. Non. Pour elle, le psychiatre avait été un élément trop importante de sa réussite, de son cheminement, pour qu'elle ne lui dise pas quasiment en premier. Le seul sujet ce jour là était qu'elle ne voulait pas qu'il la voit si mal. Surtout pas pour une chute aussi bête.
Alors Poppy avait hésité à ne pas prendre de béquilles pour son rendez vous, à laisser derrière elle son support et serrer les dents, faire bonne figure. Mais à la dernière minute, sur le point de quitter l'appartement, elle avait changé d'avis. La blonde savait reconnaître quand elle était irraisonnable et savait que Maverick ne voudrait pas la voir souffrir. Une fois arrivée face à lui, elle avait failli pleurer et une fois la situation expliquée, il lui soudain semblé que peut être la situation n'était pas si futile. Que tout le monde tombe mais qu'elle, elle n'a juste pas un corps aussi résistant. Et ce n'était pas sa faute.. le rendez vous touchait à sa fin et leur conversation l'avait assez aidé pour qu'elle laisse quelques larmes coulées, essuyant le bord de ses yeux en regardant le médecin qui était devenu plus que juste cela avec les années. Il était une personne devant qui Poppy acceptait d'être vulnérable mais aussi qu'elle voulait tellement satisfaire, qu'il soit fière d'elle, qu'elle se devait de faire face « merci pour aujourd'hui, vraiment... c'est trop fatiguant des fois...» elle lui offrit un grand sourire « mais ça va aller ! en plus j'ai d'autres trucs qui se passent bien à côté, donc on y croit !.»
Spoiler:
Code:
« <font color="#ba842c">ocre</font>»
_________________
-- I don't know what I want so don't ask me. 'Cause I'm still trying, to figure it out. Don't know what's down, this road I'm just walking. Trying to see through the rain coming down. Even though I'm not the only one, who feels the way I do. I'm alone.
Dernière édition par Poppy Myers le Ven 2 Aoû - 9:27, édité 3 fois
Maverick Perkins
----------------------------------
ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 1897
rps : 54
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : michiel huisman (skeyde@av).
pronom irl : elle.
multicomptes : johann (taz skylar), arshan (dev patel), senàn (kit harington), moisés (david castañeda), harlan (joe keery), hasan (avan jogia), joel (tom blyth), eliseo (michael cimino), syed (rahul kohli).
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
âge : quarante-deux ans, la crise de la quarantaine qui ne devrait pas tarder.
statut civil : veuf, alliance encore au doigt, la page est difficile à tourner.
occupation : psychiatre, il a ouvert son propre cabinet il y a quelques années.
adresse : il habite dans une maison à southbanks & west end, autrefois avec sa fille, seul maintenant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : abandon, mort d'enfant, deuil, suicide.
disponibilités : disponible ■■■□□ rps en cours
■ uc.
Il y avait des patients avec qui les liens qui se tissaient étaient plus forts que d’autres. C’était normal quand on se retrouvait en face d’un être humain. Peut-être même inévitable. Tant qu’il ne sortait pas des clous imposés par son métier, il se disait que c’était normal de s’attacher aux personnes en face de lui. C’était le cas avec Poppy. Parce qu’il la connaissait depuis des années, qu’il l’écoutait depuis des années et faisait tout ce qui était en son pouvoir pour lui venir en aide. Il l’avait connue quand elle n’était qu’une gamine et la voilà qui était devenue une jeune femme. Elle avait le même âge que sa fille, alors sans doute que ça jouait un peu sur l’affection qu’il avait pour elle. Il avait vraiment envie de l’aider, pas qu’il n’ait pas envie d’aider ses autres patients. Mais il la trouvait courageuse et forte et s’il pouvait lui apporter un petit quelque chose en plus, il voulait vraiment le faire, Rick. C’était une battante à ses yeux et elle avait de quoi être fière d’elle. Pour ce que ça valait, lui, il était fier du chemin qu’elle avait pu accomplir. Fier aussi de tous les projets dont elle pouvait lui parler quand elle venait le voir.
Elle était venue aujourd’hui. Pas très en forme au début du rendez-vous, alors il avait fait de son mieux pour la rassurer. Elle avait une maladie qui lui causait quelques faiblesses physiques et évidemment, ce n’était pas facile à vivre. Mais à côté de ça, elle était une femme incroyablement forte. Elle savait contrer ses difficultés et s’adapter et c’était quelque chose qu’il ne fallait pas qu’elle oublie. Le rendez-vous touchait à sa fin, mais il n’avait personne derrière, alors il n’avait aucune raison de se presser ou de la presser elle. « Y a pas de quoi. » Il lui répondit, dans un premier temps, sourire bienveillant sur les lèvres. « Non, ce n’est pas facile tous les jours, mais tu t’en sors comme une championne. » Il ajouta, en haussant les épaules, toujours souriant. Sa maladie lui compliquait la vie, il en avait bien conscience, Maverick, mais il l’avait vue évoluer au fil des années et il trouvait qu’elle s’en sortait vraiment très bien. Elle était elle-même capable de souligner qu’il y avait du positif à côté et ça, d’après lui, ça témoignait d’une grande force d’esprit. « Ah oui, comme quoi ? » Il demanda, curieux d’en apprendre plus et parce qu’il savait que ça lui ferait du bien d’en parler. Après tout, ce n’était pas parce qu’on était dans le bureau d’un psy qu’il ne fallait raconter que des choses négatives. Pour elle comme pour lui, s’attarder un peu sur le positif, ça ne ferait pas de mal. « J’entends trop de choses négatives dans mes journées, partage un peu de ton optimisme. » Il ajouta, en plaisantant. Même si, dans le fond, il y avait un peu de vrai dans ses paroles. Forcément, quand tout allait bien dans le meilleur des mondes, on venait rarement voir un psy. Mais quand y avait du bon dans la vie de ses patients, il était toujours ravi de l’entendre.
Spoiler:
désolée pour l'attente je l'avais retiré de la liste de mes rps et j'ai oublié de le remettre pardooooon
_________________
I get a feeling which I can't escape
I stick to the tried and true. I won't be good enough for you, But what is good enough for you. Wake me up and yell at meThen maybe you don't fall asleep. Maybe we'll unlearn ourselves someday And love each other in an unselfish way.
Poppy Myers
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 25 ans elle a passé la barre c'est bon. le fameux quart de siècle
statut civil : célibataire
occupation : Doctorante en Anthropologie, en pleine thèse sur les sociétés aborigènes d'Australie et d'ailleurs + assistante de professeur à l'Université de Brisbane + serveuse
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : violence animale, violence sur les enfants
warning : maladie chronique
disponibilités : OUVERT
LIEN - rp w/ Eli LIEN - rp w/ Eliseo LIEN - rp w/ Maverick LIEN - rp w/ Kaleb URL + w/ Renfield
Ses rendez vous médicaux et ses rendez vous chez le thérapeute étaient deux choses différentes dans l'esprit de Poppy. Sa maladie n'avait pas du tout le même poids physique et psychologique, et même si parfois elle se demandait si un jour elle se sentirait comme les autres, elle passait une grande majorité de sa vie à ne pas penser à ses impaires physiques. Bien sûr cela en durait jamais bien longtemps car elle avait besoin de faire attention à beaucoup de choses. Mais quand son corps lui laissait du répit et que l'univers ne lui cherchait pas de problème, la petite blonde était largement capable de se laisser aller à penser qu'elle n'avait pas de souci. Et pendant des semaines jusqu'à récemment, elle avait été dans cet état d'esprit. Puis il avait suffit d'une vilaine chute. Son genou était encore violacé, et heureusement les scanners étaient cleans mais cela restait désagréable. Elle favorisait les longues robes en cette période de l'année, histoire de profiter de la météo tout en cachant les marques sur son petit corps -trop de questions qu'elle ne voulait pas avoir à entendre- et puis elle se sentait jolie à défaut de se sentir comme les autres. C'était encore le cas ce jour là, assise devant son psychologue, arborant une longue robe colorée et ses cheveux attachées en queue de cheval alors qu'elle lui parle ses derniers soucis et comment elle se force à relativiser. Reine de l'optimiste aveugle Poppy. Conséquence d'une vie où elle devait choisir entre être optimiste et vivre, ou pessimiste et se laisser écraser par le poids de tout ça. La vie familiale n'était déjà pas simple, elle ne pouvait pas se rajouter ça. Et puis l'homme face à elle l'aidait bien. A sa manière il était une figure masculine d'autorité pour elle, presque paternelle pour elle qui en avait toujours manqué. La principale différence entre elle et sa jumelle était peut être là après tout. Poppy avait, grâce ou à cause, de sa maladie, accès à un homme de l'âge de son père depuis plus d'une décennie pour lui dire que sa vie méritait d'être vécue, qu'elle irait bien, que ses larmes ou sa détresse était justifiée, que sa force était belle à voir... sa soeur n'avait pas ça. Et peut être que son côté rebelle venait de là, là où Poppy était plus calme. Des questions pour une autre fois. « j'ai été sur l'île de North Stradbroke avec les Quandamooka la semaine dernière ! c'est une des tribus que je mets en avant dans ma thèse. Ils ont été super sympa.» elle sort son téléphone, le sourire qu'elle affiche a effacé son expression un peu troublée d'une minute avant. En quelques cliques elle sort les photos d'elle au milieu de la galerie de la tribu avec laquelle elle a passé les derniers jours « on a peint.. des toiles comme ça !» elle montre les dessins traditionnels haut en couleur et sourit toute contente de partager ce moment si spécial pour elle. « ils utilisent des pigments naturels pour dessiner des histoires de leur terre et de leur héritage, c'était incroyable ! et la population est très jeune en plus. Ils organisent plein de choses pour être des portes paroles de la communauté aborigène et montrer que leur culture peut coexister avec la culture occident... je parle trop» elle se tait peu à peu en riant doucement et se tape le front « désolée... ils sont... si... incroyables ! leur culture, leur histoire.. je relativise tout en leur présence.»
Spoiler:
hj : aucun souci
_________________
-- I don't know what I want so don't ask me. 'Cause I'm still trying, to figure it out. Don't know what's down, this road I'm just walking. Trying to see through the rain coming down. Even though I'm not the only one, who feels the way I do. I'm alone.
Dernière édition par Poppy Myers le Ven 2 Aoû - 9:27, édité 1 fois
Maverick Perkins
----------------------------------
ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 1897
rps : 54
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : michiel huisman (skeyde@av).
pronom irl : elle.
multicomptes : johann (taz skylar), arshan (dev patel), senàn (kit harington), moisés (david castañeda), harlan (joe keery), hasan (avan jogia), joel (tom blyth), eliseo (michael cimino), syed (rahul kohli).
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
âge : quarante-deux ans, la crise de la quarantaine qui ne devrait pas tarder.
statut civil : veuf, alliance encore au doigt, la page est difficile à tourner.
occupation : psychiatre, il a ouvert son propre cabinet il y a quelques années.
adresse : il habite dans une maison à southbanks & west end, autrefois avec sa fille, seul maintenant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : abandon, mort d'enfant, deuil, suicide.
disponibilités : disponible ■■■□□ rps en cours
■ uc.
Poppy était une jeune femme qu’il admirait, Rick. Elle était encore jeune et n’avait pas eu la vie facile. Elle souffrait d’une maladie qui compliquait d’autant plus les choses pour elle. Mais elle ne baissait pas les bras. Cette maladie pouvait facilement lui donner des allures de jeune femme fragile, qu’un rien pouvait briser. Mais ce n’était pas le cas. Elle ne se laissait pas définir par ça et s’il y avait bien une chose qu’elle n’était pas, c’était une femme fragile. Il ne l’avait jamais vue comme telle, Rick. C’était une jeune femme pleine de courage, qui abordait souvent un sourire communicatif. Bien-sûr, elle était humaine et il lui arrivait de se sentir mal et c’était parfaitement normal. C’était pour ça qu’il était là, après tout. Il ne pouvait pas l’aider avec les maux qui traversaient son corps, ce n’était pas son domaine à lui. Mais il pouvait l’aider avec le reste. L’aider à retrouver ce sourire qui rendait son visage si resplendissant. L’aider à garder confiance en elle, même les jours où c’était difficile. L’aider à retrouver son optimisme, quand ce dernier se faisait discret. Il faisait de son mieux pour lui venir en aide Rick et peut-être que sans le savoir, elle l’aidait aussi à sa façon.
Elle avait cette force en elle dont il aimerait bien être capable de s’inspirer, Rick. Même quand il y avait des choses qui n’allaient pas, comme ça avait pu être le cas aujourd’hui, elle réussissait à apporter une note positive dans sa journée. Ce serait le cas encore aujourd’hui, parce qu’il avait encore du temps devant lui et n’attendait aucun patient pour le moment, alors il avait juste envie d’écouter ses récits. Elle évoqua une tribu avec qui elle avait passé du temps pour sa thèse, le tout avec des photos sur lesquelles il se pencha et qui semblaient magnifiques. « Waw, c’est impressionnant. » Il commenta en écoutant son récit et en continuant de regarder ce qu’elle lui montrait. « Non, c’est vraiment ce que tu racontes. » Il devait bien admettre qu’il faisait partie de ces types vivant avec sa culture occidentale, sans trop chercher à en apprendre plus sur les autres et, de son point de vue, c’était clairement un tort de sa part. Le reste du monde était passionnant, pourquoi ne toujours s’intéresser qu’à soi-même et à sa petite bulle ? Poppy faisait partie de ces personnes curieuses qui s’intéressaient au reste du monde et c’était tout à son honneur. « Ils ont l’air incroyables, en effet. » Il répliqua, un sourire, aux lèvres. Il trouvait vraiment ça très intéressant. « Cette île à l’air magnifique. » De quoi lui donner envie de partir quelques jours, ne serait-ce que pour y faire une longue randonnée. « Ils sont pas trop dérangés par le tourisme ? » Il pouvait bien imaginer que le tourisme dans un lieu pareil devait prendre une certaine place et qui dit tourisme dit moyen de se faire de l’argent et évidemment, s’il fait ignorer - voire même dégager - les peuples locaux pour générer plus d’argent, ça ne posait aucun problème pour les politiques. L’argent avant tout, tant pis pour le reste. Une façon de concevoir le monde qu’il trouvait immonde et qui allait finir par causer la perte de l’espèce humaine, sans aucun doute. « Tu en es où de ta thèse ? J’espère pouvoir la lire quand elle sera terminée. » Pas qu’il ait le moindre avis professionnel à donner dessus. Il était psychiatre, pas anthropologue, mais il était certain que la psychiatrie et la psychologie avait beaucoup à apprendre de l'anthropologie. Il était vraiment curieux de lire le travail de la blonde, d’en apprendre plus sur ce qu’elle faisait et sur les peuples qu’elle pouvait étudier, parce que tout ça avait l’air vraiment passionnant.
_________________
I get a feeling which I can't escape
I stick to the tried and true. I won't be good enough for you, But what is good enough for you. Wake me up and yell at meThen maybe you don't fall asleep. Maybe we'll unlearn ourselves someday And love each other in an unselfish way.
Poppy Myers
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 25 ans elle a passé la barre c'est bon. le fameux quart de siècle
statut civil : célibataire
occupation : Doctorante en Anthropologie, en pleine thèse sur les sociétés aborigènes d'Australie et d'ailleurs + assistante de professeur à l'Université de Brisbane + serveuse
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : violence animale, violence sur les enfants
warning : maladie chronique
disponibilités : OUVERT
LIEN - rp w/ Eli LIEN - rp w/ Eliseo LIEN - rp w/ Maverick LIEN - rp w/ Kaleb URL + w/ Renfield
Grandir sans plus de figure paternel que ses frères avaient mené Poppy dans des situations comme celle qu'elle vivait au côté de son psychiatre. Son opinion, son regarde, ses réactions, sa validation avait un effet extrêmement important sur elle. Elle voyait dans les yeux de Maverick de la sincérité mais aussi un tel pouvoir sur elle qu'elle n'oserait sûrement jamais lui admettre combien ces séances, ces moments où elle pouvait être.. elle même ? dans tout ce qu'elle avait de véritablement fragile dans son coeur et pas juste son corps, étaient essentiels pour elle. La petite blonde se reposait beaucoup sur leur dynamique pour tenir le coup au quotidien. 11 ans de thérapie et on ne pouvait pas s'étonner de combien cette relation pouvait être importante de toute façon. Là où sa soeur avait réussi à trouver un moyen de vivre sans se poser de questions sur pourquoi elle nécessitait ce genre de validation, Poppy la recherchait partout. Dans ses professeurs, ses coups de coeur, les livres qu'elle lisait et les hommes à qui elle donnait la place d'être des références pour elle. La blonde s'en rendait d'autant plus compte en racontant son temps avec les Quandamooka à coup d'histoire et de photos qu'elle attendait toutes ses réactions avec une impatience non feinte. Elle le regarde regarder les photos et un sourire extatique éclair son visage alors qu'elle partage de nouveaux détails sur le sujet « l'île est un bijou vraiment ! qu'il s'agisse de biodiversité ou de culture ! ils s'en occupent très très bien.» le temps qu'elle avait passé avec eux était certes concentré sur la compréhension de leur dynamique social et la place de l'art et la culture dans leur société, mais elle avait pu aussi les voir vivre, interagir. Il y avait quelque chose de magnifique dans leur façon d'être simplement à leur rythme, dans un monde qui pouvait essayer de nous faire croire qu'il fallait tous vivre comme les occidentaux, de manière uniformisée, au final des microcosmes comme le leur persistait. « non ça va ! l'état leur a donné une sorte de souveraineté sur l'île donc ils n'acceptent pas n'importe qui n'importe comment et ils maîtrisent la présence et tout.» elle s'extasie sur le sujet s'approche un peu plus dans son siège pour montrer plus clairement son téléphone en souriant « bon après c'est un des rares territoires de la région qui a droit à tout ça mais c'est une super avancée pour la lutte pour la protection des cultures aborigènes !» malgré l'étendu quasi nationale de son sujet de thèse au final, elle avait décidé de ne travailler que sur la région du Queensland où se trouvait Brisbane et une partie d'elle même savait qu'il y avait un air de militantisme à ses recherches. Mais Poppy n'avait jamais vraiment pris part active au moindre mouvement de libération, de sauvegarde ou d'émancipation de population aborigène. Son travail était plus de l'ordre de donner de la place à une table où on devait ajouter une chaise de plus. Pas qu'on retire quoique ce soit à qui que ce soit. « oh la la ! j'ai à peine entamé la première partie. on en est loin.» elle rit doucement et se redresse pour ranger son téléphone avant de se passer une main dans les cheveux, toute en sourire et tendresse face à l'homme qui lui a toujours donné l'impression qu'elle était plus que sa maladie et les affres de celle-ci. Il n'était peut être pas son père mais il avait au moins le poids d'une figure masculine importante et elle lui donnerait sa thèse à lire avec l'impatience d'un enfant qui offre un dessin à son père et veut un sourire, un compliment, une remarque positive. n'importe quoi pour se sentir vu, valorisé, aimé. « j'en ai pour un petit moment de toute façon... mais je vais valider un de mes premiers articles "scientifiques" bientôt ! on se fera publier avec le professeur qui bosse dessus avec moi, ça j'peux te l'envoyer.» elle tape dans ses mains et Poppy offre toute sa joie en un sourire large et franc. Quand elle était venue ce jour là c'était avec un poids si important sur le coeur qu'elle se demandait si la séance aurait la capacité de l'amoindrir, juste assez pour continuer sa vie. Mais finalement c'était le thérapeute qui l'aidait plus que la thérapie en elle même et Poppy sait qu'elle devra lui montrer l'étendu de sa gratitude un jour « je me disais ! il y a des clients après moi ? il fait beau, on devrait peut être aller marcher un peu. j'avoue que j'ai pas pu prendre un seul café de la journée avec les cours et tout.. ça serait pas de refus !»
_________________
-- I don't know what I want so don't ask me. 'Cause I'm still trying, to figure it out. Don't know what's down, this road I'm just walking. Trying to see through the rain coming down. Even though I'm not the only one, who feels the way I do. I'm alone.
Dernière édition par Poppy Myers le Ven 2 Aoû - 9:27, édité 1 fois
Maverick Perkins
----------------------------------
ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 1897
rps : 54
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : michiel huisman (skeyde@av).
pronom irl : elle.
multicomptes : johann (taz skylar), arshan (dev patel), senàn (kit harington), moisés (david castañeda), harlan (joe keery), hasan (avan jogia), joel (tom blyth), eliseo (michael cimino), syed (rahul kohli).
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
âge : quarante-deux ans, la crise de la quarantaine qui ne devrait pas tarder.
statut civil : veuf, alliance encore au doigt, la page est difficile à tourner.
occupation : psychiatre, il a ouvert son propre cabinet il y a quelques années.
adresse : il habite dans une maison à southbanks & west end, autrefois avec sa fille, seul maintenant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : abandon, mort d'enfant, deuil, suicide.
disponibilités : disponible ■■■□□ rps en cours
■ uc.
Il était curieux Maverick. Du genre à s’intéresser au monde qui l’entourait, mais il devait bien admettre qu’il n’avait que très peu d’informations sur l’île dont lui parlait Poppy. Il en avait bien vu les magnifiques paysages quelques fois, peut-être dans un livre ou dans une émission de télévision, il ne savait plus vraiment, le brun. En tout cas, cette île lui évoquait un coin vraiment magnifique, le genre d’endroit qui vendait du rêve. Lui qui adorait les longues randonnées, à être entouré de somptueux paysages, il aurait sans doute dû s’y intéresser davantage. Il pouvait passer des heures à simplement observer de beaux paysages, Rick. L’Australie était un pays qui en comptait de nombreux. Pas le pays le plus sûr du monde, mais un pays magnifique. Il savait bien qu’il fallait se méfier de la faune et de la flore quand on partait en randonnée. Mais ce n’était pas le danger qu'il retenait le plus, Rick, c’était bien la beauté de tout ce qu’il pouvait observer à chaque fois qu’il partait. Alors forcément, il était passionné par ce que Poppy lui racontait. Elle avait l’air si enthousiaste par son récit, en plus, ça lui faisait plaisir de la voir comme ça.
« Ça a l’air vraiment incroyable. » Il répondit à la jeune femme, fasciné par ses propos. Il s’agissait vraiment du genre d’endroit qu’il aimerait voir, Maverick. Alors, sa curiosité le poussait à poser des questions, histoire d’en savoir un peu plus sur cet endroit qui avait l’air magique. « Tant mieux, il ne faudrait pas qu’on vienne tout détruire. Tu crois qu’ils voudraient bien de moi pour une randonnée ? J’aime bien tenter de nouveaux endroits. » Et Poppy lui vendrait plutôt bien l’endroit. Si c’était réglementé, peut-être qu’il ne pourrait pas y avoir accès, cela-dit. Ce qu’il comprendrait, bien évidemment. « C’est vraiment une bonne chose en effet, j’espère que c’est quelque chose qui va se répandre ailleurs. » Ce serait une bonne chose, aussi bien pour les différents peuples que pour la planète. Avec un peu de chance, les projets comme ceux de Poppy feraient avancer tout ça. Fameuse thèse qu’elle avait commencé à rédiger, mais qui, apparemment était loin d’être finie. C’était beaucoup de boulot, une thèse. Il en savait quelque chose, il avait dû en rédiger une, des années plus tôt, pour obtenir son titre de docteur en psychiatrie. Ça remontait à une bonne dizaine d’années maintenant, pas de quoi le rajeunir. « Ça prend un temps fou en même temps, une thèse. » Il répliqua, dans un léger soupir, en souvenir de son propre parcours. « C’est formidable aussi ça. Ça me ferait très plaisir de lire. » Il répondit à la jeune femme, avec sincérité. Publier un premier article, c’était une grande fierté. Là encore, il en savait quelque chose. Il en avait déjà publié des articles, puis écrit un livre. Petite renommée dans le cercle très privé de la psychiatrie, rien qui ne le mette sur le devant de la scène, mais il y avait de quoi être fier quand même. « Non, je suis libre pour un moment. » Il répliqua, suite à la demande de la blonde. Agenda plutôt épuré pour la journée, ce n’était pas plus mal, un peu de repos faisait toujours du bien. « Et je ne dis jamais non pour un café. » Il répliqua en se levant de son fauteuil. Il faisait beau en plus, alors autant en profiter pour sortir un peu.
_________________
I get a feeling which I can't escape
I stick to the tried and true. I won't be good enough for you, But what is good enough for you. Wake me up and yell at meThen maybe you don't fall asleep. Maybe we'll unlearn ourselves someday And love each other in an unselfish way.
Poppy Myers
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 25 ans elle a passé la barre c'est bon. le fameux quart de siècle
statut civil : célibataire
occupation : Doctorante en Anthropologie, en pleine thèse sur les sociétés aborigènes d'Australie et d'ailleurs + assistante de professeur à l'Université de Brisbane + serveuse
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : violence animale, violence sur les enfants
warning : maladie chronique
disponibilités : OUVERT
LIEN - rp w/ Eli LIEN - rp w/ Eliseo LIEN - rp w/ Maverick LIEN - rp w/ Kaleb URL + w/ Renfield
La conversation a quelque chose d'exaltant après les difficiles minutes précédentes où elle avait dû parler de sa maladie et le poids que celle ci avait sur son existence. Toujours souriante mais dans la retenue par peur de ne pas être capable de suivre le rythme, Poppy avait grandi dans un cadre familiale et émotionnel qui n'était pas toujours optimal pour bien vivre ses difficultés médicales. Bien sûr, il y avait toujours ce paradoxe entre ne pas vouloir être vu comme sa maladie et vouloir être vu comme ayant une maladie. Un équilibre difficile qu'elle avait du mal à parfois faire comprendre à sa propre mère. Mais dans ce bureau, dans cette relation avec Maverick, Poppy sait qu'elle peut trouver du répit mais surtout de la lumière. Il l'aide à garder le sourire qu'il le sache ou pas. « Oh mais bien sûr ! je peux leur écrire et demander qui pourrait organiser tout ça ! c'est si proche de la ville en plus, ça serait dommage de ne pas en profiter.» La blonde offre un grand sourire et hoche la tête, approuvant avant bonheur chacune des paroles du thérapeute, ravie de le voir aussi intéressé qu'elle par ces lieux et ce qu'ils ont à offrir. Bien sûr, elle sait que tout le monde n'est pas intéressé par l'histoire des cultures, civilisation ou même les sociétés comme elle mais quand elle tombe sur quelqu'un capable de profiter de cela, quelque chose se réchauffe dans son coeur. « oui c'est un peu le seul souci avec la thèse, mais honnêtement je le vis bien ! au final j'ai le temps pour mes recherches et j'ai tant à écrire, mieux vaut que ça s'étale sur des années !» quand elle avait expliqué à sa mère qu'elle comptait faire une thèse, Poppy avait dû mettre en avant bien des stratagèmes pour expliquer que tout cela était une bonne idée. Non seulement son travail aurait un impact politique mais même sur le système social de la ville de Brisbane. Elle était financée par l'Université mais aussi des acteurs publiques, il y avait un vrai sujet sur l'implication de ces populations dans la région. Ce n'était pas juste des années d'études en plus... qui plus est, elle était payée pour ses recherches et pourrait faire quelque chose qu'elle aime. La mère Myers n'avait pas été d'un grand support mais au moins elle n'avait pas essayé de la dissuader. « ça me fait bizarre quand même.» elle rit doucement et Poppy passe une main dans ses cheveux en soufflant, un grand sourire sur les lèvres et l'expression amusé « Me dire que des gens.. des gens proches de moi ! vont lire ce que j'aurai écrit ! moi !» la blonde secoue la tête et soupire avant de changer de sujet, ou plutôt offrir une suite à leur conversation dans des conditions plus agréables. L'été commençait à faire son petit effet sur la ville de Brisbane et elle avait envie d'en profiter en cette fi nde journée avant d'avoir à retourner à ses lèvres. L'approbation de Maverick la fit sourire d'autant plus et elle se leva doucement. Bien qu'heureuse elle n'avait pas envie de risquer de se faire mal bêtement à peine remise de son genou. Il suffisait d'un faux mouvement, et elle se faisait une cheville. Un coin de table trop proche, un lacet mal fait ... tout était possible. Autant être précautionneuse. « Je crois que j'ai aperçu un café qui fait des choses à emporter à chaque pas. Je n'ai jamais été, ça peut nous faire la balade» elle commença à récupérer sac et gilet, avant de lever un regard plein de douceur vers le psychiatre qui était plus qu'un simple praticien pour elle, presque une figure paternelle sous certains angles. « j'y pense aussi mais en terme de randonnée, en mars je vais dans un parc national faire de la recherche quelques jours ! je pourrais ramener des prospectus du site si jamais. C'est à quelques heures de route d'ici mais ça a l'air incroyable ! j'ai hâte. En pleine forêt. Un ami m'accompagne.»
_________________
-- I don't know what I want so don't ask me. 'Cause I'm still trying, to figure it out. Don't know what's down, this road I'm just walking. Trying to see through the rain coming down. Even though I'm not the only one, who feels the way I do. I'm alone.
Dernière édition par Poppy Myers le Ven 2 Aoû - 9:28, édité 1 fois
Maverick Perkins
----------------------------------
ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 1897
rps : 54
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : michiel huisman (skeyde@av).
pronom irl : elle.
multicomptes : johann (taz skylar), arshan (dev patel), senàn (kit harington), moisés (david castañeda), harlan (joe keery), hasan (avan jogia), joel (tom blyth), eliseo (michael cimino), syed (rahul kohli).
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
âge : quarante-deux ans, la crise de la quarantaine qui ne devrait pas tarder.
statut civil : veuf, alliance encore au doigt, la page est difficile à tourner.
occupation : psychiatre, il a ouvert son propre cabinet il y a quelques années.
adresse : il habite dans une maison à southbanks & west end, autrefois avec sa fille, seul maintenant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : abandon, mort d'enfant, deuil, suicide.
disponibilités : disponible ■■■□□ rps en cours
■ uc.
Il était content de pouvoir discuter comme ça avec Poppy, le brun. Il aimait leurs discussions. Il appréciait beaucoup cette jeune fille, Maverick. Il la connaissait depuis des années maintenant, il l’avait vu grandir et devenir la femme qu’elle était à présent. Il avait toujours eu beaucoup d’admiration pour elle et cette force dont elle faisait preuve, malgré cette maladie avec laquelle elle était bien obligée de vivre. Il était toujours ravi de la voir débarquer dans son cabinet, même si parfois elle n’avait parfois elle n’était pas aussi motivée et optimiste qu’elle pouvait l’être en cet instant. Il était là pour l’aider, après tout. C’était son job et s’il pouvait faire une petite différence dans le quotidien de la blonde, alors il était content, Rick. Elle méritait d’être heureuse et d’avoir une belle vie, malgré cette maladie. Alors il trouvait ça vraiment chouette, tous les projets qu’elle pouvait faire. Elle avait cette volonté de ne pas se laisser abattre, de ne pas laisser la maladie lui dicter sa vie et c’était tout à son honneur. Elle parlait de son voyage et de ce qu’elle avait découvert avec tellement d'enthousiasme que ça faisait chaud au cœur. Il avait envie d’en savoir plus Rick, parce qu’il était curieux, intéressé par ce qu’elle racontait, mais aussi parce qu’il aimait la voir ainsi rayonnante.
Il avait même demandé s’il y avait moyen de faire une randonnée dans cet endroit dont elle parlait. Il avait déjà vu des photos, les paysages avaient l’air incroyables et puis Poppy vendait tellement bien les lieux, que ça donnait envie d’aller les découvrir. « Ce serait vraiment chouette. Les paysages ont l’air magnifiques. » C’était ce qu’il cherchait lui, lors de ses randonnées. Pouvoir se poser et observer de beaux paysages. Apprécier la nature et se déconnecter du monde. D’après lui, ça faisait un bien fou. Pas pour rien qu’il en faisait régulièrement. « T’as raison, c’est long et fastidieux, mais quand on travaille sur un sujet qui nous plait, on se moque bien d’y passer des années. » Il parlait d’expérience, le brun. Il en avait passé du temps sur sa propre thèse, quand il avait été plus jeune, mais il gardait de bons souvenirs de cette expérience, même si ça remontait à loin, à présent. Il lâcha un petit rire à la remarque de la blonde. « Si ça peut te rassurer, je pense que ma mère a dû acheter mes livres pour le faire plaisir, mais qu’elle ne les a jamais ouverts. Plus on se spécialise sur un domaine, plus on s’adresse uniquement aux personnes également spécialisées dans ce domaine. » C’était une théorie qu’il avait surtout concernant la psychiatrie, puisque c’était son domaine à lui. Mais il était certain que ça devait être le cas de tout, surtout quand on passait le cap du doctorat. Il y avait bien des gens curieux, s’intéressant à tout, mais quand même, il y avait des sujets pour lesquels il fallait vraiment se passionner pour avoir envie de lire dessus. En tout cas lui, même s’il n’y connaissait pas grand-chose en anthropologie, quoi qu’il y avait, d’après lui, des racines communes avec la psychologie, il avait bien envie de lire le travail de Poppy. Mais pour l’heure, maintenant qu’elle lui avait parlé de café, il était surtout très motivé à quitter son bureau pour aller profiter d’une boisson, dehors. « Parfait, je te suis alors. » L’occasion parfaite de découvrir un nouveau truc dans le coin, lui qui avait un peu trop ses habitudes et allait chercher son café au même endroit, tous les jours. « Avec plaisir. J’vais t’engager pour préparer mes randonnées, tu as l’air de visiter plein de coins sympas. » Il répliqua dans un léger ricanement. Lui, il ne disait jamais non à de nouvelles idées de destination. « C’est bien que tu bouges beaucoup comme ça. » Il ajouta, le sourire aux lèvres. Encore une preuve qu’elle ne se laissait pas abattre par la maladie et c’était vraiment une bonne chose.
_________________
I get a feeling which I can't escape
I stick to the tried and true. I won't be good enough for you, But what is good enough for you. Wake me up and yell at meThen maybe you don't fall asleep. Maybe we'll unlearn ourselves someday And love each other in an unselfish way.
Poppy Myers
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 25 ans elle a passé la barre c'est bon. le fameux quart de siècle
statut civil : célibataire
occupation : Doctorante en Anthropologie, en pleine thèse sur les sociétés aborigènes d'Australie et d'ailleurs + assistante de professeur à l'Université de Brisbane + serveuse
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : violence animale, violence sur les enfants
warning : maladie chronique
disponibilités : OUVERT
LIEN - rp w/ Eli LIEN - rp w/ Eliseo LIEN - rp w/ Maverick LIEN - rp w/ Kaleb URL + w/ Renfield
La relation que la petite blonde avait développé avec son psychiatre était de loin l'une des plus importantes pour elle pour le réconfort et la validation qu'il lui offrait. Grandir en ayant un homme comme Maverick comme point d'ancrage dans les moments où elle ne savait pas trop où sa vie allait, lui avait fait du bien. L'avait aidé sans commune mesure. Aussi leur conversation l'enchantait et quand il accepta de sortir marcher un peu et prendre café alors que leur échange avait dérivé de son état mental à des sujets plus agréables comme le camping ou sa thèse, Poppy offre un grand sourire. Elle conclue tout de même leur propos avec un « Quoi que je rédige et où que j'aille je vous passerai les références de toute façon ! juste pour la curiosité !» et se redresse en attrapant le gilet qu'elle avait posé sur le canapé alors qu'ils discutent de ses livres et de leur sortie à l'air frais « après au moins elle a le mérite de vous soutenir ! ma mère.. je ne suis même pas sûr qu'elle ne mettrait pas ma thèse dans un carton caché au grenier si je lui filais une copie une fois terminée !» elle rit doucement même si quelque chose en elle se serre à la pensée de Martha Myers et son intérêt assez faible pour la vie de ses enfants. Poppy avait appris à ne pas le prendre personnellement mais ça ne rendait pas la chose plus agréable « et puis moi j'ai lu certains de vos livres alors que je n'y connais pas grand chose ! la curiosité peut être un bon driver non ?» un petit rire lui échappe alors qu'ils s'attèlent à quitter le cabinet où elle avait si souvent été pour partager ses peines, ses craintes mais surtout son besoin de rester ancré dans le présent. Bien qu'elle ait eu un caractère suffisant pour ne pas flancher face à la maladie, Poppy n'était pas totalement sereine face aux limites de son corps. Chaque fois qu'elle avait une période d'accalmie, une certaine anxiété ne pouvait s'empêcher de naître dans un coin de son coeur, rendant ses rendez vous avec le thérapeute d'autant plus nécessaire. « ça serait avec plaisir ! après beaucoup de sites où je vais sont protégés mais je peux trouver quelques exceptions sympas ! » ses escapades étaient aussi importantes pour sa santé mentale que la présence de Maverick. Elle y voyait l'opportunité de garder son corps en mouvement tout en étant assez sage pour n'aller que dans des endroits où elle pourrait gérer si quelque chose lui arrivait. Comme l'été précédent quand elle s'était cassée un os de la main en se rattrapant trop maladroitement sur une pierre. Sachant que la randonnée en question pouvait être escarpée, elle avait emmené de quoi immobiliser sa main en cas de suspicion de blessures. La radio deux jours plus tard avait confirmé ses craintes mais au moins elle avait évité le pire en ne se préparant pas. « vous aussi vous avez l'air actif ! c'est bon pour le corps et la tête. » Poppy met ses mains dans ses poches en regardant le thérapeute et sourit doucement « tout droit par là, on doit avoir.. 2-3 minutes à marcher si ça vous va ?!»
Spoiler:
Code:
« <font color="#ba842c">ocre</font>»
_________________
-- I don't know what I want so don't ask me. 'Cause I'm still trying, to figure it out. Don't know what's down, this road I'm just walking. Trying to see through the rain coming down. Even though I'm not the only one, who feels the way I do. I'm alone.
Dernière édition par Poppy Myers le Ven 2 Aoû - 9:28, édité 1 fois
Maverick Perkins
----------------------------------
ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 1897
rps : 54
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : michiel huisman (skeyde@av).
pronom irl : elle.
multicomptes : johann (taz skylar), arshan (dev patel), senàn (kit harington), moisés (david castañeda), harlan (joe keery), hasan (avan jogia), joel (tom blyth), eliseo (michael cimino), syed (rahul kohli).
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
âge : quarante-deux ans, la crise de la quarantaine qui ne devrait pas tarder.
statut civil : veuf, alliance encore au doigt, la page est difficile à tourner.
occupation : psychiatre, il a ouvert son propre cabinet il y a quelques années.
adresse : il habite dans une maison à southbanks & west end, autrefois avec sa fille, seul maintenant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : abandon, mort d'enfant, deuil, suicide.
disponibilités : disponible ■■■□□ rps en cours
■ uc.
La psychiatrie et l’anthropologie, ce n’était pas des domaines complètement éloignés. Ce n’était pas la même branche, mais le sujet d’étude était sensiblement le même : l’être humain. Que ce soit dans ses relations au monde, dans sa façon d’exister avec ses pairs ou de façon plus individuelle. Chacune des deux disciplines pouvait aisément tirer des leçons de l’autre. C’était bien pour ça qu’il trouvait très intéressant tout ce que Poppy pouvait avoir à lui raconter. Il était curieux le brun, toujours désireux d’en apprendre plus et toujours ravi d’écouter la blonde parler avec autant d'enthousiasme. Il adorait la voir ainsi, Rick, joyeuse et motivée par ce qu’elle racontait. C’était évidemment moins déprimant que lorsqu’ils étaient en train de parler de ses problèmes de santé. Il avait l’habitude, les discussions sur les problèmes de ses patients, c’était son quotidien à Rick. C’était pour ça qu’il était là, après tout. Écouter les problèmes et essayer d’aider à les accepter, guider ses patients vers une résolution. Mais ça faisait du bien, de temps en temps, d’avoir des discussions plus positives et c’était exactement ce qu’ils étaient en train de partager avec Poppy. C’était un peu comme un petit rayon de soleil dans sa journée.
Le sourire qu’il avait aux lèvres ne le quittait pas. « Merci, c’est gentil de penser à moi. » Il répliqua, suite à la remarque de la blonde. Merci à elle d’épancher un peu sa curiosité. Il avait toujours hâte d’en savoir un peu plus sur ses recherches et de pouvoir découvrir au moins grâce à ses récits, tous les lieux magnifiques qu’elle pouvait visiter. « Si elle la met pas à la poubelle, c’est déjà un bon début. » Il répondit, dans un léger rire. Sa mère, elle avait bien ses livres dans sa bibliothèque, mais il doutait qu’elle les ai lus. C’était juste histoire de dire qu’elle les avait - et en plus ils étaient dédicacés, évidemment. Mais il ne lui en voulait pas, si elle ne les ouvrait pas. C’était comme si on lui passait un livre sur la physique quantique, après tout, ça ferait joli dans sa bibliothèque, mais il n’était pas certain qu’il y comprendrait quand-chose. Chacun son domaine de prédilection, après tout. Il arqua un sourcil, un peu étonné, bien que ravi de ce qu’elle lui disait. Loin d’imaginer qu’elle ait pu s’intéresser à ses livres. « Vraiment ? Je suis content d’apprendre ça. On dit que la curiosité est un vilain défaut, je ne suis pas toujours d’accord avec ça. » Il répliqua, dans un haussement d’épaules, parfois, être curieux avait du bon aussi. C’était le fait d’être intrusif et de se mêler de ce qui ne nous regarde pas, qui était un vilain défaut. Il attrapa sa veste et l’enfila, Rick, prêt à quitter le cabinet pour aller prendre l’air. « Si tu as, je prends. » Il répliqua, alors qu’elle lui disait que même si elle allait sur beaucoup de sites protégés, elle pouvait lui trouver des exceptions. Il était toujours ravi à l’idée de se balader un peu partout Rick. Découvrir de nouveaux lieux de randonnées, ça lui ferait plaisir. Ils étaient sortis à présent, il avait fermé le cabinet derrière lui. Pause bien méritée, d’après lui. « Ouais, j’aime pas rester trop longtemps à rien faire. Tant que j’peux encore me lancer dans de longues randonnées, autant en profiter. » Il ne se considérait pas comme vieux, Maverick. Il avait dépassé les quarante ans, mais il était encore en forme alors, autant en profiter. « Ça me va parfaitement. » Il répondit à l’adresse de la blonde. S’il faisait de longues randonnées, ce n’était pas quelques minutes de marche qui allaient l’arrêter. Il se retient bien de lui renvoyer la question, préférant la laisser évoluer, sans s’inquiéter pour elle, la renvoyer à sa maladie ne l’aiderait certainement pas.
_________________
I get a feeling which I can't escape
I stick to the tried and true. I won't be good enough for you, But what is good enough for you. Wake me up and yell at meThen maybe you don't fall asleep. Maybe we'll unlearn ourselves someday And love each other in an unselfish way.
Poppy Myers
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 25 ans elle a passé la barre c'est bon. le fameux quart de siècle
statut civil : célibataire
occupation : Doctorante en Anthropologie, en pleine thèse sur les sociétés aborigènes d'Australie et d'ailleurs + assistante de professeur à l'Université de Brisbane + serveuse
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : violence animale, violence sur les enfants
warning : maladie chronique
disponibilités : OUVERT
LIEN - rp w/ Eli LIEN - rp w/ Eliseo LIEN - rp w/ Maverick LIEN - rp w/ Kaleb URL + w/ Renfield
La conversation avance et Poppy discute avec son thérapeute le plus naturellement du monde. Mélange de professionnalisme et de familiarité entre eux qui lui a toujours fait chaud au coeur. Bien sûr le temps passé ensemble aidait à être capable d'échanger ainsi mais c'était plus que ça. Poppy trouvait la présence, la voix et l'attitude de Maverick suffisamment relaxante pour se laisser aller à parler avec lui de tout et de rien, mais aussi des choses plus sérieuses. Que ce soit sa santé, ses études ou la vie en général, elle sentait qu'il était intéressé et cela aidait beaucoup. Elle sourit doucement en se préparant à sortir « oui voilà.. je le prends ainsi. Je préfère qu'elle finisse dans vos mains de toute façon.» Renfilant sa veste, la blonde admet avoir lu les livres de son thérapeute et sourit avec un haussement d'épaules quand il semble étonné. Bien sûr, elle n'avait pas tout compris, loin de là. Mais Poppy croyait dur comme fer qu'il fallait passer par ce type de moment d'inconfort pour apprendre et qu'étudier des sujets qui lui étaient non-familiers lui permettraient de grandir intellectuellement. Forcer son cerveau à comprendre "l'incompréhensible". « oui... il manque une notion de dangerosité dans le proverbe» elle rit doucement et Poppy en le suivant pour l'accompagner hors du cabinet. Son sourire est ineffaçable alors qu'ils s'apprêtent à sortir. Maverick a su, en un rendez vous, effacer bien des peines qui pesaient sur le coeur de la blonde et elle se sent bien plus légère à présent en discutant avec lui « rester actif c'est tout aussi bien après tout.. vous avez des randonnées préférées dans le coin ? je me concentre tellement sur mon sujet d'études que je ne me fais ces sorties que pour ça, mais il doit y avoir des endroits beaux autour de la ville » elle le suit en dehors du bâtiment puis prend le lead jusqu'au café qu'elle avait aperçu en chemin. Bien entendu il y avait plein d'endroits bons en ville mais un peu de marche, d'air et de nouveauté n'avait jamais fait de mal à personne. Poppy ne pouvait donc pas rechigner devant cette option agréable et puis cela permettait de garder la conversation active « je me demandais sinon.. je vous ai déjà demandé pourquoi avoir choisi ce métier ? parmi toutes les options qu'offrent la vie... » aucun jugement, la question est posée simplement pour faire la conversation alors qu'elle remonte les rues de Brisbane aux côtés de l'homme bien plus grand qu'elle. Elle passe ses mains dans ses cheveux et regarde autour d'elle alors que tout semble revivre avec l'été australien. La châleur n'est pas étouffante mais Brisbane est en vie et même si Poppy boitille un peu à cause de sa dernière blessure au genou, son humeur est douce « je me dis juste qu'il faut aimer.. aider mais surtout écouter pour ça. ce genre de métier ! »
Spoiler:
Code:
« <font color="#ba842c">ocre</font> »
_________________
-- I don't know what I want so don't ask me. 'Cause I'm still trying, to figure it out. Don't know what's down, this road I'm just walking. Trying to see through the rain coming down. Even though I'm not the only one, who feels the way I do. I'm alone.
Dernière édition par Poppy Myers le Ven 2 Aoû - 9:28, édité 1 fois
Maverick Perkins
----------------------------------
ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 1897
rps : 54
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : michiel huisman (skeyde@av).
pronom irl : elle.
multicomptes : johann (taz skylar), arshan (dev patel), senàn (kit harington), moisés (david castañeda), harlan (joe keery), hasan (avan jogia), joel (tom blyth), eliseo (michael cimino), syed (rahul kohli).
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
âge : quarante-deux ans, la crise de la quarantaine qui ne devrait pas tarder.
statut civil : veuf, alliance encore au doigt, la page est difficile à tourner.
occupation : psychiatre, il a ouvert son propre cabinet il y a quelques années.
adresse : il habite dans une maison à southbanks & west end, autrefois avec sa fille, seul maintenant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : abandon, mort d'enfant, deuil, suicide.
disponibilités : disponible ■■■□□ rps en cours
■ uc.
Les études, plus on avançait dedans, plus ça devenait spécifique. On finissait par devenir un expert dans son domaine et parfois, les gens autour ne suivaient pas forcément. Pas qu’ils soient plus idiots, simplement pas nourris par les mêmes connaissances. Il le voyait bien avec sa propre fille, Rick. Elle avait un talent fou en cuisine, duquel découlait des connaissances que lui, il n’avait pas et si elle devait lui parler de choses bien spécifiques, il pouvait vite être largué, Rick et pourtant, il avait un doctorat, ce qui n’était pas le cas d’Ula. Alors, ce n’était pas une question d’être plus malin qu’un autre, parce qu’on avait fait de longues études, c’était juste qu’il y avait des domaines qu’on maîtrisait plus que d'autres. Alors, sans doute que la mère de Poppy, elle avait ses propres connaissances dans un autre univers que celui de sa fille, ça ne voulait pas dire qu’elle se fichait complètement du travail de sa fille, juste que ça ne lui parlait pas forcément. Chacun son truc. Lui, en tout cas, il serait ravi de lire le travail de Poppy, qui, même s’il n’était pas anthropologue, lui semblait très intéressant et pas complètement détaché de ce qu’il faisait. Ils étudiaient tous les deux l’humain, à des échelles différentes. « Je tâcherai d'en faire bon usage, promis. » Le lire pour de vrai et non le mettre dans un coin de placard pour l’oublier par la suite.
Il laissa échapper échapper un léger rire suite à la remarque de la blonde. « Je suis bien d'accord avec ça, tant qu'on ne fait de mal à personne, on a le droit d’être curieux. » C’était même recommandé, d’après lui. Apprendre de nouvelles choses, s’intéresser à un nouveau domaine, c’était toujours une bonne chose. « Cedar Creek Falls, c’est à une heure de Brisbane, mais c’est vraiment magnifique et on peut se baigner. C’est vraiment un coin que j’adore. » Peut-être que pour certains, c’était juste une cascade et une fois qu’on l’avait vue une fois, c’était bon, pas besoin d’y retourner. Mais lui, c’était vraiment un lieu qu’il appréciait. Il y avait plein de beaux paysages autour de Brisbane et plus généralement en Australie, mais ce point là faisait partie de ses favoris. Avec Poppy, ils étaient sortis du cabinet, en route pour un café à quelques minutes de marche de là. Le bon plan pour se dégourdir un peu les jambes et puis, un bon café, ça ne faisait pas de mal. « J’ai toujours voulu aider les autres, alors la médecine a toujours été un choix évident. » Il haussa les épaules, ça rejoignait ce qu’elle imaginait, Poppy. C’était une volonté d’aider les autres qui l’avait poussé par là. « Plus jeune, je m’imaginais devenir un grand neurochirurgien. Mais je suis devenu père très jeune et ça a été une période avec beaucoup de questions, d’angoisses et de remise en question. J’ai fini par me me dire que parfois, l’aide dont on a besoin, elle sort largement du bloc opératoire et elle est tout aussi nécessaire. » Il haussa les épaules. Il n’avait pas revu ses objectifs à la baisse, parce qu’il avait une fille. Non, il avait quand même fait médecine, il avait quand même plus de dix ans d’études dans les pattes. Il avait juste choisi une spécialité différente de celle dont il rêvait plus jeune. Parce qu’il avait eu une fille et que ça l’avait poussé à se questionner sur d’autres choses, d’autres aspects de la vie et le soutien qu’il avait reçu à ce moment-là, lui avait fait voir d’autres perspectives du monde médical. « Et toi, pourquoi l’anthropologie ? » Il questionna à son tour, curieux de voir ce qui l’avait poussée vers cette filière.
_________________
I get a feeling which I can't escape
I stick to the tried and true. I won't be good enough for you, But what is good enough for you. Wake me up and yell at meThen maybe you don't fall asleep. Maybe we'll unlearn ourselves someday And love each other in an unselfish way.
Poppy Myers
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 25 ans elle a passé la barre c'est bon. le fameux quart de siècle
statut civil : célibataire
occupation : Doctorante en Anthropologie, en pleine thèse sur les sociétés aborigènes d'Australie et d'ailleurs + assistante de professeur à l'Université de Brisbane + serveuse
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : violence animale, violence sur les enfants
warning : maladie chronique
disponibilités : OUVERT
LIEN - rp w/ Eli LIEN - rp w/ Eliseo LIEN - rp w/ Maverick LIEN - rp w/ Kaleb URL + w/ Renfield
Poppy trouvait une certaine force dans ses interactions avec son thérapeute et même les jours où la vie n'était pas tout à fait sympathique avec son corps, la blonde savait qu'elle allait aller bien. Le docteur Perkins s'assurait de lui rappeler qu'elle tiendrait le coup en tout cas. Par ailleurs, la familiarité qui s'était installée entre eux avec les années, l'aidait d'autant plus. Ils ne se voyaient pas avec une régularité réelle après tout, et quand elle venait le voir, Poppy avait besoin du côté rassurant de leur relation. Savoir qu'elle pouvait lui faire sincèrement confiance pour ne pas la juger sur ses hauts et ses bas était bien sûr normal dans une relation psychiatre-patient, mais elle avait eu son lot d'interaction avec le corps médical dans sa vie et ce n'était pas toujours si simple.. La preuve, elle n'irait pas boire un café avec n'importe qui parmi ses médecins. Elle sourit en commençant à marcher au côté de l'homme, amusée par leur différence de taille assez grande. Elle n'avait rien contre son mètre 52, et puis Poppy était petite à côté de tout le monde donc mieux valait en rire qu'en pleurer. Elle l'écoute avec intérêt et réfléchit, tentant de se rappeler si elle avait eu l'occasion de visiter la dite localisation « le nom me parle clairement ! mais je ne me rappelle pas y être allée récemment.» répond elle joyeusement, prenant note mental du lieu. Marcher et se baigner, un bon combo. « ah oui les études de neurochirurgie ont l'air intense dans les séries, je suppose que la réalité est encore plus prenante.. pas pratique avec un enfant. Et je suis d'accord ! vous m'aidez beaucoup» et ce n'était pas faute d'avoir passé du temps au bloc. Certains de ses bobos restaient juste ça, des bobos. Mais parfois la blonde se blessait réellement et la case hôpital devenait une nécessité. Dans ces moments là, l'accompagnement du psy était d'autant plus important parce que par le passé Poppy avait vu son moral fortement atteint par ses problèmes physiques. Sa mère n'était pas d'un grand soutien dans ces moments et la blonde n'aimait pas pesé sur ses frères ou sa soeur, alors elle devait trouver de l'aide ailleurs. Et Maverick était ce soutien infaillible pour elle. « c'est une belle vocation en tout cas» sourit-elle enjouée en le regardant avant de reposer le regard sur la rue et les passants. Il faisait bon et elle savait que cela ne durerait pas éternellement, donc autant en profiter. « oh moi ?» elle le regarde surprise, sûr de lui avoir déjà dit. Mais les années passant ça ne faisait jamais de mal de se rappeler pourquoi elle avait fait ce choix « j'ai toujours trouvé beau de comprendre la nature humaine.. pourquoi il existe tant de langues, de couleurs de peau, d'ethnies, de dialectes.. qu'est-ce qui nous a poussé à nous séparer pour voguer vers d'autres coins de la planète, plutôt que tous rester ensemble à un endroit et faire une tribu géante.» Poppy rit doucement et hausse les épaules en croisant les bras, marchant au rythme de son thérapeute « et puis je trouve qu'en Australie.. encore plus qu'ailleurs peut être, les questions se posent encore plus. Entre les descendants de colons, les descendants de prisonniers abandonnés ici parce qu'il n'y avait plus de places dans les prisons d'Angleterre et les natifs, on a déjà trois origines culturelles très différentes.. comment on arrive à vivre ensemble alors qu'on a des passés si distincts ? qu'est-ce qui nous pousse à se mélanger ou pas. Pourquoi l'Homme avec un grand H aime voyager là où il n'a jamais été mais aussi pourquoi il s'attache tant à la terre de ses ancêtres..» les questions lui échappent sans réfléchir, car au fond elle est intéressée par ses sujets depuis tant d'années qu'elle sait quelles interrogations l'ont poussé vers ce monde, ces recherches, ces études particulières. Et elle ne sait pas encore comment elle utilisera toutes ses connaissances concrètes dans le futur « désolé je m'emporte» elle pose une main sur sa bouche en réalisant qu'elle parle beaucoup trop et un petit rire lui échappe à nouveau « je passe trop de temps à faire des recherches, on se pose plein de questions c'est une mauvaise manie.»
hj:
désolée pour le temps de réponse
_________________
-- I don't know what I want so don't ask me. 'Cause I'm still trying, to figure it out. Don't know what's down, this road I'm just walking. Trying to see through the rain coming down. Even though I'm not the only one, who feels the way I do. I'm alone.
Dernière édition par Poppy Myers le Ven 2 Aoû - 9:29, édité 1 fois
Maverick Perkins
----------------------------------
ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 1897
rps : 54
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : michiel huisman (skeyde@av).
pronom irl : elle.
multicomptes : johann (taz skylar), arshan (dev patel), senàn (kit harington), moisés (david castañeda), harlan (joe keery), hasan (avan jogia), joel (tom blyth), eliseo (michael cimino), syed (rahul kohli).
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
âge : quarante-deux ans, la crise de la quarantaine qui ne devrait pas tarder.
statut civil : veuf, alliance encore au doigt, la page est difficile à tourner.
occupation : psychiatre, il a ouvert son propre cabinet il y a quelques années.
adresse : il habite dans une maison à southbanks & west end, autrefois avec sa fille, seul maintenant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : abandon, mort d'enfant, deuil, suicide.
disponibilités : disponible ■■■□□ rps en cours
■ uc.
Sortir un peu du cabinet pour aller boire un café avec Poppy, ça lui semblait être une bonne idée. Peut-être que ça sortait un peu trop du cadre strictement professionnel, mais il faisait un métier dans lequel le lien avec l’humain était important et puisqu’il la suivait depuis de nombreuses années, c’était normal que ce lien soit un peu plus étroit qu’avec d’autres patients. Il estimait qu’un café, ça n’avait rien de trop excentrique, rien qu’on puisse vraiment lui être reproché. Il faisait beau, il n’avait pas d’autre rendez-vous pour le moment, alors autant en profiter. En plus il aimait passer du temps avec Poppy et il était certain que sortir du cabinet leur ferait du bien à tous les deux. Elle connaissait un endroit dans le coin, alors il avait décidé de la suivre. Ça lui permettrait de connaître un nouveau bon plan dans le quartier en prime, alors c’était forcément une bonne chose. « C’est plutôt connu comme coin, à raison, en même temps, parce que ça mérite d’être vu. » Il répliqua dans un léger rire. Il y avait vraiment des lieux magnifiques en Australie et ce serait vraiment dommage de ne pas en profiter un peu.
Elle avait fini par le questionner sur son métier. Pourquoi est-ce qu’il avait choisi cette voie ? Ce n’était pas son souhait numéro un, il devait bien l’admettre. Plus jeune, il avait eu d’autres ambitions, mais la vie en avait décidé autrement. Après la naissance d’Ula, il avait dû envisager un autre parcours. Il n’avait pas l’impression d’avoir revu ses objectifs à la baisse, simplement envisagé un parcours un peu moins long, mais tout aussi passionnant et utile. « Ouais, c’est très long et pas mal chronophage. Je dis pas que la psychiatrie c’est plus facile, mais ça reste un peu moins exigeant. » La neurochirurgie, c’était un peu l’élite, classée sur le volet, beaucoup de connaissances à accumuler en peu de temps et il n’avait pas pu se le permettre, Rick. « Et je suis vraiment ravi de t’aider. J’me sens vraiment utile. » Il haussa les épaules, évidemment qu’un neurochirurgien était tout aussi utile que lui, mais le contact humain était moins présent. Ils opéraient parfois sans même avoir parlé au patient avant et passaient à autre chose une fois l’opération terminée. Au bout du compte, il était vraiment satisfait de son choix, Maverick. « Oui, j’en suis pleinement satisfait. » Il était heureux dans son métier et c’était sans doute l’une des choses les plus importantes dans la vie. Il avait fini par lui retourner la question, pourquoi est-ce qu’elle, elle s’était tournée vers l’anthropologie ? C’était passionnant comme domaine, mais pas forcément très courant. Il écouta sa réponse avec attention, le sourire se dessinant au coin des lèvres, ravi de voir toute la passion qui se dégageait d’elle. « C’est vrai, toutes ces questions sont très intéressantes et on vit dans un pays avec une histoire chargée, ça donne envie d’en savoir davantage. » Il pouvait comprendre la curiosité de la blonde et ce besoin qu’elle avait de répondre à toutes ces questions. Cet intérêt qu’elle avait pour ce qu’elle faisait, il trouvait a touchant, Rick. « Y a pas de souci. » Il répondit dans un léger ricanement. Elle ne s’emportait pas, elle était passionnée et pour lui, la différence était importante. « Non, je crois que ça prouve juste à quel point tu es passionnée par ce que tu fais et c’est vraiment une bonne chose. Tu as trouvé sa voix, c’est une première étape de ta vie déjà bien réussie et c’est important. » Il répondit en haussant les épaules. Si elle était épanouie professionnellement, c’était vraiment une grande réussite, quelque chose dont elle pouvait être fière et qui allait lui apporter beaucoup de bonheur. Alors elle n’avait pas à s’excuser, au contraire, il fallait qu’elle soit fière de tout ça.
_________________
I get a feeling which I can't escape
I stick to the tried and true. I won't be good enough for you, But what is good enough for you. Wake me up and yell at meThen maybe you don't fall asleep. Maybe we'll unlearn ourselves someday And love each other in an unselfish way.
Poppy Myers
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 25 ans elle a passé la barre c'est bon. le fameux quart de siècle
statut civil : célibataire
occupation : Doctorante en Anthropologie, en pleine thèse sur les sociétés aborigènes d'Australie et d'ailleurs + assistante de professeur à l'Université de Brisbane + serveuse
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : violence animale, violence sur les enfants
warning : maladie chronique
disponibilités : OUVERT
LIEN - rp w/ Eli LIEN - rp w/ Eliseo LIEN - rp w/ Maverick LIEN - rp w/ Kaleb URL + w/ Renfield
Quand Poppy se lance sur son travail elle a tendance à oublier que tout le monde n'a pas la patience pour ses tirades. Elle est si enthousiaste que parfois pourtant c'est dur de la faire taire. Elle commence à parler et rapidement s'emporte sur le sujet qui la passionne. Dernière expédition, étude qu'elle a traité récemment, statistiques qu'elle est entrain de travailler, réunion politique où elle a pu voir les échanges entre la ville et les représentants autochtones du coin... tout ça la passionnait et lui donnait l'impression qu'elle faisait quelque chose de bien, d'important et que surtout tout le monde méritait d'en apprendre plus. Alors oui elle parlait beaucoup, puis s'excusait, mais c'était seulement parce qu'elle était heureuse de partager. « oups.. merci pour ta compréhension ! Votre compréhension, pardon » elle rosit en réalisant qu'elle a tutoyé son psychiatre. Pas qu'elle ne devrait pas, ça fait plus d'une décennie qu'ils se voient après tout mais bon ce n'est pas pro. Après.. boire un café avec lui, parler de ses études, sa carrière, son enfant, est-ce bien professionnel ? ils ont déjà flouté les limites de leur relation sans le vouloir et un tutoiement une fois comme ça ne viendra rien gâcher ou créer de problème entre eux. A la fin de la journée elle se fait suivre pour avoir un support psychologique en plus, pas parce qu'elle a des gros soucis qui nécessitent de garder une distance totale avec ses aides soignants, mais parce qu'il y a des jours où vivre dans son corps est trop dur. Et quelqu'un doit lui dire que ça ira. Quelqu'un qu'elle croit vraiment.. « Merci vraiment.. pour tout d'ailleurs» elle le regarde avec une douceur et une sincérité qu'elle affiche facilement mais n'est pas moins importante. Poppy est reconnaissante, et ose espérer que le médecin le savait. Le café apparaît près d'eux et elle s'arrête devant en tapant dans ses mains « c'était vraiment proche ! je peux m'occuper de rentrer commander et ressortir ! ça sera plus rapide, je voudrai pas...» son téléphone ping et la blonde jette un oeil à son téléphone en fronçant le nez « mince je vais plus avoir qu'une petite vingtaine de minutes devant moi il faut que je file à l'université pour aider sur un coloc» ce genre de choses était rare, les messages de dernière minute, mais selon les prof elle acceptait plus ou moins facilement d'aller aider en crash. Un assistant universitaire absent, c'était la seconde sur la liste de dispo. Pas le choix « okay, café, rapidos et on peut remarcher dans la direction d'où vous avez besoin.. je choperai un vélo pour aller à l'université ! désolée de couper court» elle affiche une petite mine désolée, trouvant que leur conversation était sincère et intéressante. Cela change de juste parler de sa vie intérieure pour une fois. Etre juste deux personnes qui discutent comme ça.. n'était-ce pas pour ça qu'elle avait travaillé pour devenir un jour anthropologue ? Parce qu'elle aimait les humains et ce qu'ils ont à raconter ?
Spoiler:
Code:
« <font color="#ba842c">ocre</font>»
_________________
-- I don't know what I want so don't ask me. 'Cause I'm still trying, to figure it out. Don't know what's down, this road I'm just walking. Trying to see through the rain coming down. Even though I'm not the only one, who feels the way I do. I'm alone.
Maverick Perkins
----------------------------------
ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 1897
rps : 54
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : michiel huisman (skeyde@av).
pronom irl : elle.
multicomptes : johann (taz skylar), arshan (dev patel), senàn (kit harington), moisés (david castañeda), harlan (joe keery), hasan (avan jogia), joel (tom blyth), eliseo (michael cimino), syed (rahul kohli).
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
âge : quarante-deux ans, la crise de la quarantaine qui ne devrait pas tarder.
statut civil : veuf, alliance encore au doigt, la page est difficile à tourner.
occupation : psychiatre, il a ouvert son propre cabinet il y a quelques années.
adresse : il habite dans une maison à southbanks & west end, autrefois avec sa fille, seul maintenant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : abandon, mort d'enfant, deuil, suicide.
disponibilités : disponible ■■■□□ rps en cours
■ uc.
Ce petit moment passé en compagnie de Poppy lui faisait du bien. Ça lui permettait de se vider la tête. Elle était sa patiente et pourtant, ça lui permettait de se sortir un peu la tête du boulot. Il y passait beaucoup de temps, trop de temps sans doute. Le nez plongé dans ses dossiers, la tête prise dans les histoires de ses patients, il pensait un peu moins aux siennes. Laisser ses problèmes de côté pour se concentrer sur ceux des autres, c’était plus simple. Mais souffler un peu de temps en temps, ça ne faisait pas de mal, bien au contraire. Alors il était ravi d’être sorti prendre ce café avec Poppy. Ça lui faisait du bien à lui, ça lui faisait aussi du bien à elle, alors tout le monde était gagnant dans cette histoire. « Y a pas de quoi et t’en fais pas. On est plus vraiment dans le cadre professionnel là. » Il répondit, dans un léger rire. Ils étaient sortis du cadre professionnel, sans avoir non plus trop dérivé que quelque chose qui briserait l'éthique de son job. Elle pouvait le tutoyer, ça ne posait aucun problème. Même dans le cabinet, dans le fond, il ne serait pas du genre à s’en offusquer.
Il lui adressa un sourire, alors qu’elle le remerciait. Elle n’avait pas besoin de le remercier. Que ce soit pour cette petite sortie, ou pour le reste. « Y a vraiment pas de quoi.» Il haussa les épaules. Quelques secondes plus tard, ils étaient arrivés au café dont elle lui avait parlé un peu plus tôt. A en juger par la devanture, le lieu avait l’air plutôt sympa. Il n’était pas du genre à juger un livre sur sa couverture, alors il avait hâte de goûter les produits qu’ils avaient à proposer. Pas vraiment le temps de répondre aux propositions de Poppy, que son téléphone avait sonné. Apparemment, l’université avait besoin d’elle. « Oh, okay. » Il n’allait pas la retenir s’il fallait qu’elle y soit rapidement, autant ne pas perdre son temps avec lui. « T’en fais pas. Est-ce que la fac est loin ? Autant marcher par là-bas. » Il haussa les épaules, il n’était pas attendu lui, alors il pouvait l’accompagner, si ça lui convenait. Ça lui permettrait de continuer un peu sa marche et elle, elle ne perdrait pas de temps pour rejoindre sa fac, là où elle était attendue. Cette fois encore, tout le monde serait gagnant.
_________________
I get a feeling which I can't escape
I stick to the tried and true. I won't be good enough for you, But what is good enough for you. Wake me up and yell at meThen maybe you don't fall asleep. Maybe we'll unlearn ourselves someday And love each other in an unselfish way.
Poppy Myers
----------------------------------
MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
âge : 25 ans elle a passé la barre c'est bon. le fameux quart de siècle
statut civil : célibataire
occupation : Doctorante en Anthropologie, en pleine thèse sur les sociétés aborigènes d'Australie et d'ailleurs + assistante de professeur à l'Université de Brisbane + serveuse
intervention pnj : Oui
pronom perso : elle
trigger : violence animale, violence sur les enfants
warning : maladie chronique
disponibilités : OUVERT
LIEN - rp w/ Eli LIEN - rp w/ Eliseo LIEN - rp w/ Maverick LIEN - rp w/ Kaleb URL + w/ Renfield
La balade est agréable tout comme la compagnie et Poppy remercie le ciel d'avoir la possibilité de passer ce type de moment de qualité avec quelqu'un comme Maverick. Même si elle s'excuse pour le tutoiement, elle sait qu'il ne le prend pas mal, elle n'avait pas si peur au fond qu'il soit rebuté car il n'a jamais montré ce type de caractère. Plus jeune c'est ce qui lui avait plu d'ailleurs.. elle avait la sensation d'être en sécurité auprès du praticien. Peut être est-ce pour ça qu'elle se permet de vérifier son téléphone quand celui-ci sonne et de s'excuser en réalisant qu'elle va devoir retourner à l'université pour assister un professeur « vraiment désolée... ça n'arrive jamais mais je suppose qu'ils sont vraiment dans la panade s'ils me demandent de venir» ce qu'elle aurait fait sans hésiter un autre jour mais elle appréciait leur échange. Poppy répond rapidement Je serai là ! à l'administratrice de la faculté qui lui avait demandé de venir aider avant de regarder Maverick avec une moue « si ça ne dérange pas ? Je crois qu'on est pas très loin. On peut prendre le café en marchant. Je ne sais pas encore ce que j'aurai à y faire donc je vais éviter de courir et m'épuiser.. manquerait plus que je me fasse mal » ce qui était au trop probable si elle ne faisait pas attention.. Elle s'était déjà cassée un os de la main en la tapant contre un angle de bureau.. Plus fragile qu'une poupée de porcelaine. Poppy voit que la queue pour le café s'est réduit et invite son psychiatre à avancer pour commander et avoir chacun une boisson chaude avant qu'ils n'aient à prendre le chemin de la faculté. « c'est pour moi ! vu que je coupe court à la conversation, c'est le minimum que je puisse faire. » elle donne un billet à la caissière qui a pris leur commande « vous avez fait vos études à Brisbane ? vous avez déjà vu le campus de l'université du Queensland ? » elle ne connaissait après tout pas toutes les spécialités présentes à l'université.
_________________
-- I don't know what I want so don't ask me. 'Cause I'm still trying, to figure it out. Don't know what's down, this road I'm just walking. Trying to see through the rain coming down. Even though I'm not the only one, who feels the way I do. I'm alone.
Maverick Perkins
----------------------------------
ADMIN ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 1897
rps : 54
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : michiel huisman (skeyde@av).
pronom irl : elle.
multicomptes : johann (taz skylar), arshan (dev patel), senàn (kit harington), moisés (david castañeda), harlan (joe keery), hasan (avan jogia), joel (tom blyth), eliseo (michael cimino), syed (rahul kohli).
à contacter : à contacter par mp pour l'administration sous harlan ; fiche ou discord pour les liens/rps.
âge : quarante-deux ans, la crise de la quarantaine qui ne devrait pas tarder.
statut civil : veuf, alliance encore au doigt, la page est difficile à tourner.
occupation : psychiatre, il a ouvert son propre cabinet il y a quelques années.
adresse : il habite dans une maison à southbanks & west end, autrefois avec sa fille, seul maintenant.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : abandon, mort d'enfant, deuil, suicide.
disponibilités : disponible ■■■□□ rps en cours
■ uc.
Il passait un bon moment, Rick en compagnie de Poppy. Elle avait beau être sa patiente depuis des années, il avait l’impression d’en découvrir toujours un peu plus sur elle. Peut-être qu’aller boire un café avec une patiente n’était pas recommandé, mais il pouvait bien se permettre ce genre de petit truc, sans rompre le code de déontologie de sa profession. C’était un métier basé sur la relation entre humains, alors forcément des fois, ça dépassait un peu le simple contact dans le cabinet. Mais il connaissait les limites, le brun et n’avait pas l’intention de les franchir. Un café, ce n’était pas grand-chose. « Oui, mieux vaut aller voir ce qu’ils veulent, du coup. » Il haussa les épaules. Poppy n’avait pas vraiment le choix, de toute évidence, il fallait qu’elle se rende à la fac. Autant faire un bout de chemin avec elle, ça lui permettrait de se dégourdir les jambes, ça faisait toujours du bien de marcher un peu. Il avait encore du temps devant lui avant son prochain rendez-vous, alors autant en profiter. « Non, vraiment aucun souci. Et en effet, comme ça je peux m’assurer que tu ne te fasses pas mal en allant trop vite. » Il répliqua, dans un léger rire. Il lui faisait confiance, elle pouvait prendre soin d’elle-même, sans que lui, ou n’importe qui d’autre ne soit derrière elle. Mais ça lui donnait une bonne excuse pour continuer de marcher un peu en sa compagnie.
Ils n’avaient plus qu’à commander leur boisson avant de se remettre en marche. « Merci. » Il répondit à la jeune femme qui venait de payer les boissons. Il aurait pu insister pour payer sa part, en avait eu l’envie, évidemment, mais n’avait pas envie de contredire la jeune femme et encore moins de lui faire perdre plus de temps. Alors il s’était contenté d’accepter l’offre avant d’attraper la boisson que la serveuse lui tendait. « Oui et oui, c’est là que j’ai fais mes études, mais je suppose que ça a dû bien changer depuis. » Ça faisait un moment qu’il avait quitté les bancs de la fac, lui. Des années maintenant qu’il travaillait, d’abord à l’hôpital et depuis quelque temps maintenant, dans son propre cabinet. Un parcours de vie dont il était assez fier, Rick. « Des fois, je me dis que je pourrais postuler pour donner quelques cours ici et là. » Il haussa les épaules, c’était une idée qui lui avait traversé la tête plus d’une fois. Il aimait le contact avec les gens, sinon il ne ferait pas ce métier et voir du monde en dehors de son cabinet ne pourrait pas lui faire de mal. Il aimait l’idée de transmettre quelque chose aux jeunes générations. C’était peut-être le bon moment pour lui, maintenant que sa fille ne vivait plus sous son toit, il avait du temps libre, autant l'utiliser à bon escient. Sans doute qu’il devrait prendre le temps de se renseigner un peu plus là-dessus, Maverick.
_________________
I get a feeling which I can't escape
I stick to the tried and true. I won't be good enough for you, But what is good enough for you. Wake me up and yell at meThen maybe you don't fall asleep. Maybe we'll unlearn ourselves someday And love each other in an unselfish way.