Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
occupation : fils de deux universitaires, tu as poursuivi des études en sociologie. grâce à un ami de ton père, t'as réussi à trouver un travail comme assistant producteur d'un journaliste à la abc brisbane. tu déniches des sujets, des contacts à interviewer, écris des rapports journalistiques. à côté, tu as lancé une émission de podcast "child of" qui parle de race, d'immigration et de témoignages personnels.
adresse : 87 south bank & west end w/ livia
intervention pnj : Oui
pronom perso : il
warning : racisme
infos rp : réponses courtes, autour de 500 mots. / dialogues en français. / écriture à la 2ème personne du singulier. / code dialogue : cc3333. / présente en fin de journée et le week-end.
La palpitant en mode pause. Tu regardes ton téléphone, comme dans l'attente d'y voir apparaître un prénom. Poppy. Tu repenses à votre dernière rencontre -ou rendez-vous ?-, à tout ce que tu as ressenti et à tout ce qui a été dit. Les mots ont été posés. Plus ou moins. Mais ceux que tu pouvais verbaliser l'ont été. Tu souris. Bêtement. La vie qui te paraît plus belle, plus rayonnante, maintenant que Poppy y est à nouveau. L'impression de respirer à nouveau, bien même que tu n'aies jamais eu l'impression d'avoir arrêté. Ca te fait cet effet de ravoir des personnes qui te font du bien dans ta vie. Enfin, ça te fait ça qu'avec elle. Bizarre. "Kaleb ?" Adieu les songes, bonjour la réalité. Tu lâches un mmmh peu convaincant. Si tes collègues ont l'habitude de te voir dans ta bulle, à penser à mille choses à la fois, tu es habituellement l'un des plus bavards lors de ces discussions de travail sur les prochains sujets à travailler. T'as mille idées à la fois et l'envie de tout traiter. Heureusement qu'il n'y a que vingt-quatre heures dans une journée, sans quoi tu passerais encore plus de temps à repousser tes limites et à travailler. C'est la passion qui veut ça, et l'envie de partager au monde entier des informations qui comptent. Vraiment. "Tu es renseigné sur une exposition spécifique à couvrir ?" Plutôt calé sur les questions de sciences sociales, au vu de ton parcours et diplômes, tu fais assez rarement des sujets en rapport avec l'art. T'adores ça pourtant, pouvoir en découvrir un peu plus sur cet univers fascinant. T'as peu de temps à t'y consacrer, entre la ABC Brisbane, le podcast, toutes les préparations et les sorties que tu veux bien t'accorder, tu n'as plus le temps d'élargir ta culture artistique. Alors sur ton travail peut être un tremplin pour ce faire, autant sauter dessus. "Pas de tête." Tu souffles. Alors qu'on s'apprête à passer à autre chose, tu décides d'enchaîner, laissant ton cerveau parler pour toi. Des fois ça amène du bon, d'autres fois moins. "Par contre, ce qu'on pourrait faire c'est un reportage ou une thématique autour des artistes issus des minorités qui se font fermer la porte au nez par les grandes galeries de la ville ? Je pense à la Hope of Shades Art Gallery, qui est quasi spécialisée là-dedans et met en avant beaucoup de jeunes artistes. J'ai un contact là-bas." On t'écoute. On réfléchit. On hoche la tête et valide. Rapidement, tu te trouves désigné pour joindre ton contact et voir si un reportage pourrait leur convenir, ainsi qu'une liste de noms de jeunes artistes à interviewer. Tu souris, fier, et prends quelques notes sur ton calepin. L'occasion de mêler travail, amitié, et luttes sociales. Tout ce qui te fait vibrer dans la vie.
Ni une, ni deux, tu prends ton téléphone pour écrire à Arlo. T'as tout misé sur elle, inspiré par votre rencontre d'il y a quelque temps. Sa présence et sa passion pour l'art t'ont fait un bien fou, curieux comme tout de découvrir de nouvelles choses et de pouvoir ressortir de ta mémoire d'anciennes notions d'histoire de l'art que tu as pu apprendre. T'espères qu'elle sera d'accord pour te rencontrer.
Citation :
Hello Arlo, tu vas bien ? Est-ce que tu aurais un temps demain ou après demain pour que je vienne à la galerie ? La chaîne aimerait pouvoir faire un reportage sur les nouveaux artistes qui sont peu soutenus par les galeries et comment la Hope of Shades va a contresens de tout cela. Je t'expliquerai plus en détails l'idée et comment ça fonctionne niveau logistique, si tu penses que c'est ok pour toi et ta directrice ?
Deux jours après. Le jour-j. Arlo a répondu par la positive. Heureux de pouvoir la revoir, excité comme un enfant d'avoir la possibilité de travailler prochainement avec elle. Le soleil est au rendez-vous à Brisbane, ce qui égaye plus encore ta matinée. T'as la sensation que les planètes s'alignent, que les choses prennent sens autour de toi. Ça fait du bien. Fixant ta montre, pour être certain de ne pas être trop en avance ou trop en retard, tu pénètres dans la galerie. Tout est silencieux. C'est un silence réconfortant, pas pesant. Déjà, tu es ébloui par les toiles et installations que tu vois. Oui, vraiment, t'aimes quand tout prend sens.
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how i'm overthinking everything i never said
Arlo Mansfield
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Cela va faire deux ans qu’elle travaille dans la galerie de Sahar. Deux ans qu’elle lui a donné sa chance, et elle lui en est reconnaissante, Arlo. Pour cette première expérience qui l’a changée, en plus d’ajouter une belle ligne sur son CV. Pour ce job qui lui a permis, aussi, de sortir un peu la tête de l’eau. De se trouver un but, se concentrer sur autre chose. Depuis, elle ne voit plus le temps passer, Arlo. Les expositions se sont enchaînées, les ventes d’œuvres d’art aussi – et maintenant, elle croit pouvoir dire qu’elle s’y connaît bien plus en marché de l’art qu’il y a deux ans. De là à abandonner son rêve d’être commissaire d’exposition en musée, peut-être pas – mais pourrait-elle un jour y trouver sa place, après s’en être éloignée déjà deux ans durant ? Elle n’y pense pas trop, la blonde, pour le moment. Se plaît dans cette galerie où elle apprend beaucoup, s’épanouie. Pour la suite, on verra. Elle a encore toute la vie devant elle, après tout.
Aujourd’hui, c’est une journée (presque) comme une autre. Presque, parce qu’il y a deux jours, elle a reçu un message de Kaleb lui demandant s’il pouvait venir à la galerie, car la chaîne pour laquelle il travaille aimerait faire un reportage sur les nouveaux artistes, parler de l’implication de la Hope of Shades Art Gallery. Le rendez-vous a été pris – rien de nouveau dans le fond, Arlo connaît l’exercice, habituée à être un véritable couteau suisse. Elle n’est pas juste assistante de galerie – elle est aussi vendeuse d’œuvres d’art, attachée de presse, community manager. Une diversité de casquettes propre au marché de l’art – il n’y a que dans les très grosses galeries qu’on peut embaucher quelqu’un pour chaque poste, du reste, on est souvent obligé d’improviser ou d’apprendre sur le tas. Mais Arlo, cela lui plaît. Donc, aujourd’hui, elle doit accueillir Kaleb. Outre la raison de sa venue, elle est ravie de le revoir – c’est que le courant était plutôt bien passé, entre eux. Ils pourraient sans doute devenir amis : en tout cas, c’est ce genre de rencontres faciles, où le feeling semble passer presque naturellement. À l’heure définie ensemble, elle entend que quelqu’un passe la porte de la galerie, actuellement déserte – se doute que c’est lui. Alors Arlo arrive, ne tarde pas à effectivement l’apercevoir, vient dans sa direction et le salue. « Bonjour, Kaleb ! » Malgré ce bonjour un peu formel, sa familiarité s’entend. Arlo est sincèrement ravie de le voir, tout comme elle est heureuse qu’on s’intéresse à cette galerie qui le mérite tant. « Comment vas-tu ? » commence-t-elle, sincère – avant d’entrer dans le vif du sujet. « Il n’y a pas grand monde ce matin, ça tombe bien. » Et sa responsable n’est pas là non plus. Arlo est de toute façon habituée à tenir la boutique.
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(eyes without a face) I spent so much time believing all the lies to keep the dream alive, now it makes me sad, it makes me mad at truth for loving what was you.
Kaleb Fujii
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C'est un rendez-vous professionnel et pas amical, tu le sais. Pourtant, c'est un peu des deux. C'est par la voie de cette possible amitié naissante que tu entretiens avec Arlo que ce sujet de reportage est venu. Si tu sais parfaitement te tenir, être propre sur toi, toujours prêt à faire bonne impression et d'un professionnalisme sans faille. Cependant, tu sais aussi qu'aujourd'hui ce sera un peu différent, que tu pourras un petit plus t'ouvrir, être un peu plus toi. Et puis, ce projet de reportage t'enthousiasme particulièrement. Depuis toujours impressionné par les personnes qui vont à contre-courant, celles qui dérogent de la norme, celles qu'on laisse de côté et qui arrivent à se créer leur propre chemin. Il brûle en elles une passion et une détermination qui t'impressionne. Tu es facilement impressionnable, d'ailleurs, c'est un trait de ta personnalité qui peut beaucoup te complexer, mais là tu sens bien que c'est à raison. Les personnes qui aident ceux qu'on n'aide pas habituellement, ça t'impressionne aussi. Dans une société comme la vôtre qui est toujours drivée par le succès et le profit personnel, ça te fait du bien de voir que ce n'est pas si universel que ça. Il y a encore des personnes qui agissent pour les autres, pour le bien commun. T'as besoin de ce rappel de temps en temps, pour que ta vie ne soit pas trop grise.
C'est donc en forme, curieux et excité que tu arrives à la Hope of Shades Art Gallery. Ton matériel avec toi, pour un premier entretien préalable, tu entres dans la galerie pile à l'heure du rendez-vous. D'un sourire, Arlo t'accueille. Tu te sens déjà bien ici, entouré d'art et de la bienveillance dont dégage la jeune femme. "Bonjour Arlo." Ton ton est amical. Tu ne saurais pas faire autrement. Tu sais t'adapter au public que tu as en face de toi, sachant jongler d'une intonation à une autre, d'un vocabulaire à l'autre. Caméléon toujours prêt à toujours, car ton cerveau n'est jamais en arrêt, tu as de plus désormais deux ans d'expérience derrière toi pour savoir comment gérer les situations liées à ta vie professionnelle. La vie personnelle, c'est encore un autre combat. "Je vais bien et toi ?" Très heureux d'être là, t'aimerais ajouter, mais tu te retiens, de peur d'en faire trop. Tu regardes un peu autour de toi, curieux de la proportion de la galerie, de son agencement, des créations aujourd'hui exposée. "Ca fait bien trop longtemps que je n'ai plus mis un pied dans une galerie, ça fait du bien." Le regard sincère, tu souris chaleureusement à Arlo, contente de la revoir et pouvoir l'appréhender sur son lieu de travail. "Je te remercie beaucoup d'avoir accepté qu'on se rencontre, je pense que le sujet sur lequel on peut travailler ensemble fait vraiment sens et pourrait avoir de belles répercussions." Donner l'information et inspirer, voilà tes deux mots d'ordre dans ton travail, autant à la télévision que dans ton podcast. Tu veux enrichir ce monde, d'une manière ou d'une autre, et pour ça, tu veux t'entourer de personnes inspirantes, comme Arlo, et comme les artistes qui se font exposer ici.
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Arlo Mansfield
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Cela lui fait plaisir de revoir Kaleb. Même si c’est dans un cadre plus professionnel qu’autre chose. Même s’il est là pour son boulot. Il aurait pu aller dans une autre galerie que celle-ci – mais c’est celle-là qu’il a choisie pour le reportage de la chaîne pour laquelle il travaille. La Hope of Shades Art Gallery, et pas une autre. Il veut parler des nouveaux artistes soutenus par les galeries – un truc qui se trouve au cœur de l’identité, de l’ADN de cette galerie. Cela tenait à cœur à Sahar de mettre en lumière les artistes issus de minorités et elle a réussi. Y met toujours un point d’honneur, de jour en jour. C’est un beau projet qu’elle a su mener avec brio. Arlo l’admire pour cela – pour ce projet, pour ses valeurs auxquelles les siennes font écho. Et dieu sait que le monde du marché de l’art peut être compliqué, lui semblant même manquer d’éthique à bien des égards. Elle visait plutôt les musées, Arlo, durant ses études, craignant de ne pas se sentir à sa place dans les galeries – de ne pas se sentir assez ceci ou cela, pas assez riche, pas assez snob ou elle ne sait trop quoi. Mais avec Sahar, elle s’est tout de suite sentie à sa place. Alors aujourd’hui, elle est heureuse d’accueillir Kaleb ici. De pouvoir lui parler du projet de sa mentor.
Elle l’accueille donc avec enthousiasme. Du Arlo tout craché, au fond – elle a toujours été joviale, souriante. Peut-être l’est-elle un peu moins depuis quelques temps, mais cela concerne surtout Kinsley et Hasan, au fond. Du reste, elle a toujours fait bonne figure quoi qu’il arrive, la blonde. Naturellement, elle lui demande comment il va et sourit à sa réponse : « Tant mieux. Je vais bien aussi. » Peut-être auront-ils davantage le temps de discuter ensuite, quand ils auront fini de parler du reportage – car c’est bien pour celui-là que Kaleb est venu, et non parce qu’ils s’entendent bien (du moins, pas que). Elle voit le regard du jeune homme balayer la galerie et esquisse un nouveau sourire. « C’est vrai ? Contente que ton premier pied dans une galerie depuis longtemps soit dans celle-ci. » plaisante-t-elle dans un petit rire. Il n’y a pas grand monde ce matin, ce qui est plus agréable et confortable, notamment pour ce qui les attend. D’autant plus que si un client se présente, Arlo devra s’en occuper un minimum et faire patienter temporairement Kaleb. Elle se souvient en tout cas qu’ils ont l’art en commun, un beau point d’accroche. Arlo hoche la tête quand il la remercie encore pour cette recherche, parce qu’elle pense qu’il ne lui doit rien – que c’est plutôt même le contraire. « C’est moi qui te remercie d’avoir pensé à nous et à la galerie. C’est une belle visibilité pour elle et les artistes qui y sont soutenus. » C’est important, même. Alors elle lui en est sincèrement reconnaissante – pour eux, pour Sahar, pour la galerie. « Est-ce que tu veux boire un café ou un thé, pour commencer ? Ensuite, on pourra aller s’installer là-bas. » Elle montre du doigt la table et les fauteuils où ils pourront s’asseoir pour discuter plus posément et tranquillement.
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Kaleb Fujii
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Tu aurais mille envies de métier en tête. Un rien te passionne, et pouvoir exploiter de nouvelles opportunités, faire de nouvelles découvertes, éclairerait ta vie, ça lui donnerait du sens. En attendant, et bien pour cette raison, ton métier actuel te passionne. Tu touches à énormément de métiers à la fois, allant de l'assistanat, au journalisme en passant par des phases plus techniques. En plus de ce beau mélange, tu vois passer énormément de sujets, et ça te donne une impression de nouveautés constantes. Tu as sûrement un peu le métier de tes rêves. Alors même si ton cerveau brille de mille idées et mille envies, tu sais que la voie sur laquelle tu te trouves actuellement est la bonne. La lassitude n'est pas encore venue, tu ne crains pas vraiment le moment où elle viendra, cela signifiera que tu es voué à d'autres choses. En attendant, tu profites, enthousiaste, aussi rêveur que terre-à-terre, prêt à insuffler un peu d'espoir par le biais de la télévision. T'en as marre de voir, jour après jour, des horreurs sur les écrans. Tu perdrais presque ton naturel optimiste, et sans l'espoir qui te construit, tu ne serais rien. Alors pour continuer de faire briller cette partie de toi, il faut que ton quotidien soit moins morose.
Envie parfaitement exécutée -enfin presque, tu l'espères- avec ce reportage sur la galerie pour laquelle travail Arlo. Tu crois dur comme fer que de parler d'elle pourra inspirer, autant des artistes qui seraient à ça de baisser les bras, que des personnes qui trempent dans le milieu de l'art et souhaitent casser les codes. "Avec plaisir pour un café." Curieux du moment où tu pourras faire pleinement le tour de la galerie, tu restes en attendant plutôt sage, gardant toujours ta jovialité. C'est plutôt agréable de travailler avec toi, ta bonne humeur et te idées font que tu sais comment charmer naturellement ton entourage. Café servi, vous avancez ensemble vers la table qu'elle te désignait. Tu t'assois, sortant de ton sac à dos un carnet pour de la prise de notes. "Je commence ?" Tu souffles en attendant le regard d'Arlo qui te donnera l'approbation. "L'idée serait donc de faire un court reportage sur la galerie, avec des plans filmés à l'intérieur et une interview rapide de quelqu'un qui y travaille. Tu te sens à l'aise comment devant une caméra toi ?" Tu dis, sortant un peu du cadre, curieux de sa personne. Tu sais que c'est un exercice compliqué, tu en serais bien incapable, c'est pour cette raison que tu as préféré poser ta voix par le biais des podcast. "Ce qui serait bien, c'est d'avoir le retour d'un ou une artiste qui a pu gagner en reconnaissance grâce à vous." Pour montrer l'impact, vraiment, et de fait, l'importance de ce genre d'initiative.