Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
paper rings
messages : 347
rps : 30
pseudo : l'oisillon bleu.
id card : rpattz. avatar by mooncalf.
pronom irl : elle.
multicomptes : april.
âge : la lumière sur les vestiges du passé, mélancolie de l'élan de l'innocence où la prose est d'une saveur candide, légère. maturité des saisons, trente-six années où réalisme est source de vie.
statut civil : oisiveté des vents, solitude des terres, osmose des vagues, flammes ardentes des nuits. il a été ainsi avant que le myocarde ne baisse la garde. amour passionné, instants précieux avant que tout s'envole. coeur d'amertume de nouveau gelé avec pour seul berceuse de douceur, son enfant. célibataire, père d'une fillette de cinq ans.
occupation : ébène et ivoire, deux couleurs qui chorégraphient ses doigts sur l'instrument à cordes frappées. pianiste dont la carrière n'est plus qu'un souffle de poussière. barmanau sein du bar familial, reprise d'un rêve de la génération précédente.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
warning : perte de sa petite amie. - parentalité.
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· Ven 30 Aoû - 15:39
Le passé revient sans cesse vous hanter. Dans les moments bruyants où l’on tente de se noyer, dans les instants silencieux où l’on essaie d’occulter. Occulter les tourments qui imbibent l’âme des regrets et de la culpabilité. Cette dernière t’assaille de toute part et sans le moindre répit. Apprendre à la dominer n’est pas encore possible mais apprivoiser la cohabitation tu le fais depuis presque six années. Longue période où le temps à givré ton myocarde qui ne répond plus qu’à un seul ordre : celui de battre pour vivre. Il n’a pas plus le droit à aucune émotion qui met en évidence l’amour si ce n’est celui que tu portes à ta fille. Le temps a suspendu son vol pour le deuil qui n’est pas encore fait mais le monde continue sa course folle. De l’eau à couler sous les ponts et année après année tu sais que plus rien ne sera jamais pareille et surtout que tout peut arriver - surtout lorsque l’on s’y attend le moins. Arrêter de vivre, pour toi c’est le stand by de l’antérieur où les rires de l’être aimé était capable de provoquer ta jovialité, ta spontanéité pour rire. Holly te faisait ressentir l’essentiel là où aurait pu naitre le néant. Elle toute la chaleur d’un hiver glaciale, la fraicheur d’un été caniculaire, le tout d’un monde qui s’est fragmenté … dispersé au quatre coins d’un ciel qui n’est pas ton monde. Non, le tien se pose sur celui de ta poupée de six ans, le seul éclat de douceur et d’espoir dont tu peux encore te permettre.
Le passé revient sans cesse te hanter. À chaque recoins de l’appartement où viviez, à chaque photo, à chaque chanson que peut écouter River lorsqu’elle se croit seule dans sa chambre. Son fantôme est si proche et si loin de toi encore davantage lorsque tu te retrouves seul dans le bar familial. Lieu où tu bosses depuis cinq années en qualité de barman mais aussi de responsable dans certains domaine. Ce soir, le bar de coutume si fréquenté laisse place à un désert religieux où seul les gouttes de la pluie viennent marteler les vitres. Agréable sensation de la nature, qui pousse sans réellement le vouloir à l’inspiration. Plume d’artiste qui ne t’a jamais quitté même si tu ne joues devant un public, pas même tes proches. Tu joues seulement à la maison à la demande de ta fille, avec ta fille - toujours pour elle. Tes doigts pianotent furtivement sur le rebord du comptoir en bois telle un mélodie rythmée qui s’assure déjà d’un tempo dont tu es le seul maitre. Machinalement, tu marches vers la petite scène au fond du bar et t’installe au piano reprenant les habitudes d’autrefois. Assis, tu laisses tes mains de musicien en suspension à quelques millimètres des touches ivoire et ébène. La composition s’installe doucement dans ton esprit, s’imprime sur des premiers accords avant que de ton âme s’écoule de tes des dix doigts. Ces derniers chorégraphient avec agilité les accords pensés dans ta tête. Tu fermes les yeux pour jouer avec plus d’intensité mais surtout pour ne pas avoir conscience de l’extérieur. Ce dernier n’a pas d’emprise sur toi lorsque tu joues, sensation que tu redécouvres en jouant. Et tu ignores alors à ce moment, que tu ne joues pas uniquement pour toi mais pour un public quelque peu dissimulé. @Enzo Rosales
Enzo Rosales
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
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messages : 467
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pseudo : ⋆.˚ ♡
id card : [ tiago carreira ] ⭒ endless love (avatar) ༅ myself (banner) ༅ myself (crackship)
pronom irl : [ she · her ]
multicomptes : alma flores (s. mitchell) ▫ jace jenkins (c. evans) ▫ kai butler (c.deidrick)
à contacter : [ le personnage concerné par le mp ]
présence : · PRÉSENCE QUOTIDIENNE ·
RP SANS PRESSION
âge : il fêtera bientôt ses trente poussières d'étoiles guidé par les astres où il avance dans l'aventure qui guide son âme. il n'est pas effrayé de vieillir, ce qui l'effraie c'est d'avancer sans profiter de chaque moment quand il sait à quel point que tous instants de la vie sont important profiter pour ne jamais regretter, avancer face au présent telle est sa devise
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : [ he · him ]
trigger : [ violences animales ] ۰ pour le reste, à en discuter en amont.
warning : discrimination (handicap de ses parents) ⁙ médiatisation excessive ⁙ amitié toxique ⁙ jalousie maladive ⁙ explosion ⁙ trauma (zone de guerre) ⁙ décès d'un proche ⁙ deuil
Les prunelles qui s’égarent le long des rivages. Il observe avec détails tout ce qui l’entoure, passé qui revient vers lui, passé qui ne la jamais quitté et ça même s’il a tentait de le faire quand il sait qu’on peut fuir le plus loin possible, il finit par toujours nous rattraper. Il n’était à peine arrivé à Brisbane qu’il n’avait pas pu resté quelques secondes assit et ça malgré la jetlag qui avait laissé la fatigue glisser sur son visage. Une mauvaise habitude qu’il avait pris bien incapable de pouvoir fermer les yeux quand tout le ramenait toujours à ce même endroit remplit de cauchemar et de souffrance dans laquelle il n’avait pas pu lâcher prise. Elle s’enfonçait en lui l’attachant toujours à ces images qui effacer chaque sourire, chaque instant de chaleur en lui pour s’imprégner à y laisser le froid le parcourir. Ses yeux se ferment automatiquement avant de les voir s’ouvrir une nouvelle fois. Le long de la côte, il marche s’offrant un apaisement à regarder les rayons du soleil prêt se coucher. Son palpitant se réchauffe de cet instant magique avant que ses pas s’enfoncent dans le sable pour retrouver le bitume et les bulles qui se faufilent autour de lui. Calme sont les rues, l’heure est tardive, mais n’y prête aucune attention. Il ne savait pas où il allait ou peut-être que si quand il s’arrête devant ce bar fermé depuis quelques heures déjà. Il sourit devant le nom qui lui apparait. La lumière n’éclaire plus celui-ci, mais le sourire se glisse contre ses lippes laissant les souvenirs le parcourir. Personne ne savait qu’il était revenu, déposant ses affaires chez sa coloc, il n’avait pas osé avoué à qui que ce soit sa présence. Les questions qu’il redoutaient loin d’être prêt et cela même si sa famille lui avait manqué, rien n’était comparable qu’à la chaleur humaine dont il avait besoin. Sur un coup de tête, il avait décidé de rentrer, de retrouver les siens, sa famille autant que ses amis ce qui l’avait amené à se retrouvé devant ce bar qu’il ne quitte pas des yeux. Il soupire prêt à continuer son chemin avant de rester figé devant la mélodies des touches du piano qu’il reconnait facilement. Le regard se perd pour avancer et faire le tour de l’immeuble. Gamin, il y venait souvent en cachette pour venir l’entendre jouer, il le reconnaitrait facilement au point qu’il sourit quand celui qu’il avait eu besoin de voir se trouve celui qui pourrait en cet instant le comprendre. La porte qu’il ouvre sans surprise de voir qu’il avait pu oublié la porte de derrière. Certaine chose ne change pas songea-t-il. Les pas se rapprochent devant les notes joués, la musique l’emporte, il a beau ne plus avoir touché un instrument de musique, elle s’imprègne en lui pour apaiser cet âme nécrosé par la souffrance qu’il encaissait et y laisser parvenir des sourires refusant d’admettre que le passé s’accrochait trop à lui et qu’il ne sache comment la faire disparaitre.
Pulsation qui bat au rythme des touches plus vives, plus rapide, le coeur fébrile ou le tourbillon l’emporte. Chorégraphie synchronisé, rythme qui l’ébranle avec la sensation que dans la musique qu’il interprète, il s’y retrouve en lui. Le sourire lui parvient. Tout se dissipe, les yeux brillent ou il se fascine à chaque fois de le voir sur cette scène vide où à cet instant, il le voit redevenir lui-même, une partie brisé qui se consume à se laisser emporter par la seule chose qui en gardait cette identité prête à s’effacer. Mélange de bonheur de le voir dans sa passion autant que meurtri par la douleur qu’il ressent aux note qu’il joue avec violence et y laisse entrevoir un mélange de souffrance et de colère qu’il connait parfaitement. Silhouette toujours dans l’ombre, il avance pas à pas au rythme de la musique qui fait écho avec ses battement avant de se plonger dans la lumière. Les bras croisés, il se fascine de ce moment magique et unique soupirant pour sourire de manière sincère jusque’à le voir relever son regard et qu’il le voit et que le silence froid revienne. Les mains qui se joignent à applaudir et d’avancer vers la scène. La surprise ne le surprend pas, cela fait des années sans doute qu’il n’avait pas remis les pieds à Brisbane et qu’il ne l’avait pas vu. La main sur son épaule pour lui assurer qu’il n’avait pas de vision. « Ça fait longtemps Heath. » Quelques mots seulement qu’il relâche avant de le voir venir se relever. Le regard porté sur lui avant de tourner et de porter son regard sur le sien. « J’imagine que j'ai réussi à te surprendre, une bonne je l'espère ? » Il s’emploi à le ramener dans la réalité, une qui était loin d’être facile quand il sait tout ce qu’à dû traverses Heath après le décès lui aussi de sa petite amie. « Et que j’ai bien fait de venir durant ce moment-là. » Il espérait qu’il ne soit pas en colère, il savait qu’il ne jouait plus, pas devant un public et ça même s’il le regrettait quand son art, son talent s’imprégnait à y laisser une marque chez chaque personne qui avait de la chance de l’entendre jouer. « Je sais que ça fait longtemps, mais quand même j’espère être reconnaissable et pas avoir pris autant de rides que ça. » Le ton est léger, apaisant, sans doute loin de le surprendre quand Enzo pouvait agir sur le coup de l’impulsion, il était parti sur un coup de tête et y revenait de la même manière laissant la surprise des retrouvailles où comme toujours il se retrouvait là ou tout avait commencé dans sa vie, une rencontre, un moment ou la musique les avaient scellés devant leur lien qui ne les avaient jamais quittés.
Heath Walker
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MEMBRE ☆ midnight love i'm not your consolation prize
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messages : 347
rps : 30
pseudo : l'oisillon bleu.
id card : rpattz. avatar by mooncalf.
pronom irl : elle.
multicomptes : april.
âge : la lumière sur les vestiges du passé, mélancolie de l'élan de l'innocence où la prose est d'une saveur candide, légère. maturité des saisons, trente-six années où réalisme est source de vie.
statut civil : oisiveté des vents, solitude des terres, osmose des vagues, flammes ardentes des nuits. il a été ainsi avant que le myocarde ne baisse la garde. amour passionné, instants précieux avant que tout s'envole. coeur d'amertume de nouveau gelé avec pour seul berceuse de douceur, son enfant. célibataire, père d'une fillette de cinq ans.
occupation : ébène et ivoire, deux couleurs qui chorégraphient ses doigts sur l'instrument à cordes frappées. pianiste dont la carrière n'est plus qu'un souffle de poussière. barmanau sein du bar familial, reprise d'un rêve de la génération précédente.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
warning : perte de sa petite amie. - parentalité.
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· Dim 6 Oct - 11:55
Les échos antérieurs sont précis dans les détails, même après tout ce temps, ce temps suspendu à un jardin que vous partagiez autrefois. Fragments de joyaux qui ne vibrent que dans le regard de votre fille. Molly vit dans chaque regard de River, passionné de cet art commun qui vous a réunis des années auparavant. Violence est sublime à la tonalité des accords. Accords sombres et fugace d’instants de bonheur. La composition est la tienne, mélancolie des astres de braises qui dorment sous la cendre. Douleurs atténuées par la sonorité grave et légère. Virtuose de ton instrument, il est le vecteur d’un dialogue qui n’appartient qu’à toi et que chacun est libre d’interpréter à sa sauce. La dernière variance se veut plus rapide, des doigts que l’on peinerait à voir tant tes doigts sont fluides sur le clavier.
Paupières toujours closes, tu joues la dernière partition avec plus de douceur, une véracité dans la musicalité avant que le silence ne vienne reprendre ses droits. Le bar devrait être désert, silencieux mais au lieu de cela ce sont des applaudissements qui chasse le silence. Tu te retournes de suite pour voir le visage coutumier du Rosales qui pose une main sur ton épaule. Tu hoches lentement la tête à ses premiers mots. En effet, ça faisait un petit moment que tu n’avais pas vu Enzo. Bienveillance dans les propos énoncés, il tente d’amener le présent à toi avec beaucoup de douceur, lui comprend si bien ta situation malheureusement. « Comme toujours, tu sais y faire pour surprendre ton entourage ! ». Ton intonation est rieuse en songeant au passé lorsqu’il venait t’écouter de temps en temps. Des années on défilés depuis mais les habitudes ont la vie dure. Et tant mieux, ces vestiges communs sont précieux, tout comme votre amitié. Tu le serres dans une étreinte amicale avant de t’éloigner en direction du comptoir. « [color=cadetblueMh, tu seras un des rares qui m’entend encore … c’est rare c’est vrai. [/color]». Oui tu ne joues plus devant un public, c’est fort rare même si tu joues pour River ou avec elle lorsqu’elle te le demande. Elle est l’unique à qui tu plis sous les demandes en matière de musique. « Tu es toujours le même je te rassure, et puis t’es pas si vieux si ? ». Lui demandes en ricanant avant d’ajouter. « Je t’offre quelque chose à boire ? ». @Enzo Rosales