Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
statut civil : Célibataire, sans enfant. L'engagement en amour, très peu pour elle. Et des enfants, elle n'en veut pas.
occupation : Propriétaire de la Hope of Shades Art Gallery sur south bank & west end. Sahar aime dénicher de nouveaux artistes et exposer ceux issus des minorités que les autres galeries jugent comme n'étant pas prêts.
adresse : Un appartement haut perché qui dispose de tout le confort nécessaire et d'une vue imprenable sur le cœur de ville et la Brisbane River situé au #66 central business district.
Crystalbrook Kingsley (Newcastle, NSW) ⋄ vendredi 15 novembre › 20:43
(atmosphere ⋆ outfit) ⋄ L'une des richesses du métier qu'exerce Sahar est sans nul doute la multitude de rencontres qu'il lui est donné de faire. Plus que rapprocher, l'art rassemble. Ce sont ainsi des dizaines et des dizaines de personnes qui croisent le chemin de la galeriste au quotidien et, parmi elles, certaines laissent en elle une empreinte pérenne. Il y a quelques mois de cela, c'est Brett, le gérant de la Onwards Gallery à Newcastle, qu'elle a eu le plaisir de rencontrer. Comme elle, il se plaît à exposer des artistes émergents et donne une chance à ceux que d'autres refusent d'exposer. Leurs discours se rejoignent sur de nombreux points ; dès lors, il n'est pas étonnant que Sahar ait donné une réponse favorable à l'invitation qu'elle a reçue pour assister au prochain vernissage de la galerie de Brett, quand bien même sept cents kilomètres séparent cet établissement du sien. C'est ainsi que Sahar a atterri en Nouvelle-Galles du Sud, après une heure quinze de vol, et qu'elle a été présente au lancement de l'exposition organisé le jeudi soir. L'évènement a été un franc succès qui a été fêté jusque tard dans la nuit avant que les galeristes ne se retrouvent dans l'après-midi du vendredi pour partager du temps ensemble, autour de leur passion commune. Ce n'est qu'en début de soirée que Sahar a fini par rejoindre son hôtel - le Crystalbrook Kingsley - pour une soirée d'un tout autre style. Ce soir, il n'est pas question d'exposition, de vernissage ou de rencontres d'artistes. Ce soir, c'est une soirée d'un tout autre style dont elle a envie, et c'est pourquoi elle demande confirmation au réceptionniste de l'hôtel de l'ouverture du bar de l'établissement. L'information reçue, elle ne tarde pas à rejoindre sa suite pour ne la quitter que deux heures plus tard, après un bain et une nouvelle mise en beauté.
Il est vingt heures trente passées lorsque Sahar rejoint le rez-de-chaussée et, plus précisément, le bar adjacent au restaurant de l'établissement hôtelier. Les talons de ses bottines tintent sur le parquet ; pourtant, elle sait que ce n'est pas uniquement le bruit lié à son entrée qui fait dévier sur elle plusieurs regards. Elle est charmée, Sahar. Il ne pourrait en aller autrement alors que la séduction est intrinsèquement liée à celle qu'elle est. Si quelques regards sont interceptés sur son passage, elle ne se laisse pas distraire pour autant et va s'installer sur un tabouret haut autour du comptoir du bar. Une séduction réussie est une séduction où les protagonistes prennent le temps de se chercher du regard avant de commencer à apprendre à se connaître. L'iranienne s'autorise donc à commander un verre de vin rouge au barman et attend que celui-ci lui soit servi pour s'autoriser un rapide regard dans la salle du bar. Ce n'est qu'alors que son regard pivote que celui-ci s'arrête sur des yeux verts braqués sur elle. Un seul regard lui suffit à déceler la beauté de cette femme qui l'observe, tout autant qu'elle s'imagine que l'attention de cette femme est portée sur elle depuis son arrivée dans le bar. À défaut d'être avérée, cette idée est suffisamment plaisante pour qu'elle soit retenue par Sahar, qui ne se prive pas de soutenir ce regard posé sur elle. Quelques secondes s'écoulent - une dizaine, peut-être plus - au cours desquelles il n'existe rien d'autre que ce regard silencieux, mais pourtant si parlant. Déjà la perspective de cette soirée commence à se dessiner dans l'esprit de l'iranienne qui s'empare de son verre avant de se lever et de rejoindre le tabouret libre à côté de la jeune femme qui a désormais toute son attention. L'air quelque peu familier de cette dernière n'est aucunement un obstacle et ne questionne à aucun moment la galeriste qui use déjà de ses regards soutenus et assurés pour la charmer.
- Bonsoir, introduit-elle son arrivée en s'installant sur le tabouret. Je ne peux pas croire qu'une aussi jolie femme soit seule au comptoir d'un bar. M'accorderiez-vous le plaisir de vous offrir un verre ? propose-t-elle à celle qu'elle aurait pu remettre comme Elliot, l'ex petite-amie de Luther.
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Elliot Vance
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
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rps : 161
pseudo : Random
id card : Phoebe Tonkin + av: Mel-graph
pronom irl : She/her
présence : Présente
âge : Trente deux ans, et le sentiment d'être à la fois un peu perdue et en même temps, exactement là où tu devrais être.
statut civil : Célibataire ~ Le coeur malmené par tes propres bêtises. T'essayes d'avancer sans te poser trop de questions, advienne que pourra!
occupation : Blogueuse culinaire, critique gastronomique auto-proclamée. Tu planches sur l'ouverture d'un tiers lieu en ville, un projet qui te prends tout ton temps, et toute ton énergie.
adresse : 400# South Bank & West End~ En solitaire dans un trois pièces qui lui semble soudain un peu grand pour elle toute seule.
Crystalbrook Kingsley (Newcastle, NSW) ⋄ vendredi 15 novembre › 20:43
{outfit}S’échapper. Voilà une idée qui t’as immédiatement séduite quand Luther t’a proposé de l’accompagner quelques jours à Newcastle. Comme si tu étais du genre à bouder la moindre occasion de passer du temps avec ton beau professeur de mathématiques, loin du tumulte quotidien, sans avoir à cultiver le secret de votre récent rabibochage. Même s’il s’agit pour lui d’un déplacement à but purement professionnel, afin d’assister à plusieurs conférences sur le thème de l’éducation, tu n’as pas lésiné sur les recherches d’hôtels, et tu as réservé une chambre dans un établissement huppé, histoire de donner à vos soirées, la petite touche de romantisme nécessaire dans un cadre qui sorte de l’ordinaire.
Ce soir en particulier, tu tiens à ce que tout soit parfait. C’est son anniversaire, et si tu n’as pas eu l’occasion de le célébrer avec lui l’an passé, tu comptes te rattraper cette année. Coloc oblige, tu as passé la journée sans lui à arpenter les rues de la ville pour tester divers établissements que tu as repéré sur le net. Même si tu n’as aucune obligation professionnelle, tu as décidé de lier l’utile à l’agréable en créant une liste des incontournables de Newcastle pour ton blog. Vers dix-neuf heure, tu es rentrée à l’hôtel, et après une rapide mise au propre de tes notes de la journée sur ton ordinateur, tu t’es accordé un long bain. Comme chaque fois que tu te rends dans un hôtel, tu as emporté avec toi quelques bombes de bain, un plaisir que tu ne peux pas t’octroyer chez toi, faute de baignoire. Après avoir barboté dans une eau bleue turquoise et pailletée à souhait pendant une bonne demie heure, tu t’es rapidement préparée pour rejoindre le lobby de l’hôtel. A vingt heure tapante, tu as envoyé un sms à Luther pour lui faire savoir qu’il te manquait, et que tu l’attendait sagement au bar de l’hôtel. Un perrier citron entre les mains pour patienter, tu as passé un temps certain à scroller sur instagram jusqu’à ce que ton attention soit captée par un changement soudain d’atomosphère provoqué par l’arrivée d’une autre femme dans le bar. Sa silhouette et son charisme ont tout de suite capté ton attention, et à en croire la façon dont tout le monde l’observe, tu n’es pas la seule à avoir été captivée. Tu n’as jamais été spécialement attirée par la gente féminine, mais tu sais reconnaître la beauté d’une femme quand tu en croise une, et celle-ci est particulièrement belle. Elle transpire la confiance en elle, ce qui ne gâche rien, et quand bien même tu voudrais détourner le regard quand tes yeux croisent les siens, tu en es incapable. Tu la trouve impressionnante et si tu avais une paire de dizaine d’années de moins au compteur, tu aurais sûrement souhaité être elle quand tu serais grande. Tu es tellement subjuguée que tu remarques à peine qu’elle se dirige dans ta direction et tu ne sors de ta torpeur que lorsqu’elle s’adresse à toi, parvenue à ta hauteur. “Bonsoir…”, tu souffles avec un sourire timide en réussissant enfin à détacher ton regard d’elle. Un petit rire t’échappe lorsqu’elle te complimente sans même en donner l’impression, et tu es tentée de lui demander si elle a pris le temps de se regarder avant de te qualifier de jolie. Tu te contente toutefois de hocher la tête lorsqu’elle te propose un verre. Luther est en retard, et tu n’as rien de mieux à faire que partager un verre avec cette inconnue, alors pourquoi pas? “C’est demandé si gentiment… Avec plaisir!”, tu réponds avec un sourire.
Sahar Hosseini
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Crystalbrook Kingsley (Newcastle, NSW) ⋄ vendredi 15 novembre › 20:43
(atmosphere ⋆ outfit) ⋄ Elle n’est pas mauvaise physionomiste, Sahar. Pourtant, même à proximité de cette femme, elle ne parvient pas à la remettre comme l’ex petite-amie de Luther. Est-ce la faute au temps ou aux nombreuses conquêtes du professeur de mathématiques ? La question serait permise mais, loin de s’imaginer être reliée à Brisbane alors qu’elle est à Newcastle pour le week-end, Sahar se concentre uniquement sur les perspectives que cette soirée lui offre. Elle a bien remarqué la façon dont cette femme a posé ses yeux sur elle dès son arrivée dans le bar. Elle distingue toujours cette façon qu’elle a de la regarder. Est-elle flattée d’avoir été choisie par la galeriste ? La réflexion de Sahar n’est pas aussi poussée ; elle se contente d’être fidèle à elle-même en accordant des compliments sincères et en proposant d’offrir à la jeune femme sa prochaine consommation.
Bien qu’elle n’en doute guère – Sahar possède sans doute un excès de confiance en matière de séduction – sa proposition de partager un moment est acceptée. Il n’en faut pas davantage pour que le visage de Sahar s’illumine d’un sourire plus grand qui ne disparaît pas même derrière le verre de vin qu’elle porte à ses lèvres.
- Tout le plaisir est pour moi.
Prendre le temps. Savourer l’instant. Se délecter de ce jeu de séduction. Cela fait vibrer Sahar au moins tout autant que la perspective de ce qu’il peut se passer en fin de soirée. À ce stade, son imagination se perd dans le champ des possibles mais se focalise surtout ce qu’elle a à prendre maintenant. Elle aborde toujours les gens avec l’idée de se laisser porter, de prendre ce qu’ils ont à lui offrir, de partager avec eux un moment agréable. C’est donc avec cette singularité qui la caractérise qu’elle finit par s’octroyer le droit de prendre le verre de la jeune femme pour le porter à ses lèvres. Tant pis si le geste dérange, qu’importe que son audace soit mal perçue ; Sahar ne se brimera jamais, pas même pour séduire quelqu’un. En l’occurrence, elle a besoin de savoir à qui elle a affaire et commencer par s’assurer de la boisson qu’elle boit est un bon début. L’eau pétillante chatouille son palais alors qu’elle reconnait le classico-classique Perrier Citron.
- Je voulais m’assurer que ce n’était pas un Tom Collins, dit-elle en reposant le verre face à la brune, en faisant référence à un cocktail qui peut emprunter les airs de la boisson réellement choisie par cette dernière. Tu restes sur ce qui t’es familier et sécurisant en reprenant la même chose ou tu t’autorises un peu plus de risque et de fantaisie ? finit-elle par demander en appuyant son coude sur le comptoir et se tournant totalement vers la brune pour leur créer une bulle d’intimité. Un peu d’aventure n'a jamais fait de mal à personne… s’autorise-t-elle à ajouter en laissant ses yeux parcourir les lèvres de son interlocutrice, puis son cou, et enfin son décolleté.
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Elliot Vance
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Crystalbrook Kingsley (Newcastle, NSW) ⋄ vendredi 15 novembre › 20:43
Ce que tu as pris bien naïvement jusqu’ici pour un élan de sororité -après tout, mieux vaut être deux femmes seules que livrée à soi-même dans ce genre d’endroits, même s’il s’agit du bar d’un hôtel réputé-, prend un tournant auquel tu ne t’attendais pas lorsque la jeune femme porte ton verre à ses lèvres pour en goûter le contenu. Tu l’observe faire en silence, mais ce geste te déstabilise légèrement et tu laisses échapper un petit rire incrédule. Elle est aussi déroutante qu’intéressante et tu ne sais pas très bien quoi en penser. Elle a l’air d’être tout un personnage, et ça ne fait que renforcer ton intérêt pour elle. “Oh…!”, tu souffles alors qu’elle justifie son geste. “Et bien, non effectivement, c’est juste un Perrier-citron…”. Plain and boring. Le ton que tu emploie sonne presque comme des excuses, comme si tu avais besoin toi aussi de te justifier. Sans doute parce qu’elle est vraiment impressionnante, et que tu as envie d’être cool toi aussi.
Alors qu’elle se tourne vers toi, tu poses à ton tour tes bras sur le comptoir, et tu hausse les épaules alors qu’elle donne l’impression de te défier. Tu t’apprêtes à répliquer, mais la façon dont ses yeux glissent sur toi te laisse un temps sans voix et tu fronce légèrement les sourcils dans une expression manifeste de surprise. Est-ce que tu lui plais? Est-ce que tu as envoyé des signaux maladroits en l’observant comme tu l’as fait? Tu ne sais pas trop sur quel pied danser, mais tu décides d’opter pour la carte de la politesse: pas de supposition hâtive, mais tu te redresses pour mettre une légère distance entre vous sans pour autant donner l’impression que son attitude te repousse. Tu n’as pas d’inclinaison particulière pour la gente féminine, et pour couronner le tout, ton coeur et ton corps appartiennent déjà à Luther. Mais tu as accepté de prendre un verre, et tu n’as aucune raison de refuser au seul motif que tes intentions ne soient pas alignées avec les siennes. L’idée de base reste inchangée: passer un moment agréable en bonne compagnie en attendant ton petit-ami: “Je suis du genre valeurs sûres, plus gin tonic que Tom Collins, d’ailleurs”, tu as toujours préféré l’amertume du premier au côté plus doux du second bien qu’en général, tu sois plutôt connue pour ton bec sucré. “Mais je t’écoutes, qu’est-ce que tu me recommandes?”, tu la questionnes, adoptant par mimétisme le ton familier du tutoiement.
Sahar Hosseini
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Crystalbrook Kingsley (Newcastle, NSW) ⋄ vendredi 15 novembre › 20:43
(atmosphere ⋆ outfit) ⋄ En rejoignant cette femme au bar, qu’elle n’imagine pas un instant comme étant originaire de Brisbane, Sahar est loin de se douter que sa dernière phrase serait susceptible d’avoir un double sens chez son interlocutrice. D’ailleurs, si elle l’avait reconnue comme l’ex de Luther et qu’elle était au courant de la reprise de leur relation, la galeriste ne se serait sans doute pas permise de lui poser une question qui pourrait à ce point faire écho à la réalité. En lui demandant si elle préfère rester sur quelque chose de « familier et sécurisant » ou si elle s’autorise un peu plus de « risque et de fantaisie », Sahar est très loin d’avoir conscience que cette phrase pourrait être une métaphore parfaite. Luther, pour son côté familier et sécurisant ; elle-même, pour son côté risque et fantaisie. La réponse de la jeune femme pourrait d'ailleurs continuer de s'inscrire en ce sens, alors qu'elle reconnaît être du genre valeurs sûres.
Un fin sourire fait s'étirer les lèvres de Sahar, alors qu'elle comprend qu'il ne sera pas facile d'user de ses charmes auprès de cette femme. Est-ce une raison pour arrêter ? Certainement pas. L'iranienne aime bien trop la séduction et le jeu de manière générale pour battre en retraite dès à présent. Et qu'importe si cette soirée ne se finit pas totalement comme elle le voudrait, du moment qu'elles partagent un agréable moment.
- Gin tonic, on est sur du classique, je te l'accorde, réagit Sahar dans un sourire. Moins qu'avec un Mojito, mais dans les classiques quand même.
Toujours orientée en direction de la jeune femme, Sahar croise ses jambes entre elles et fait mine de réfléchir à la dernière question posée. En réalité, elle sait très bien ce qu'elle pourrait recommander à la brune qui lui fait face pour qu'elle sorte de ses sentiers battus. Ses très nombreuses connaissances en cocktails ne sont plus à démontrer et Sahar pourrait s'amuser à en décrire un certain nombre avec des adjectifs qu'elle aurait volontairement choisis.
- Si tu m'avais dit que tu étais prête à te laisser totalement porter ce soir, je t'aurais dit de prendre un Légion étrangère. Il contient notamment du rhum, de la liqueur de chocolat noir et du concentré de rhubarbe, liste-t-elle de tête les principaux ingrédients. Mais le choc risquerait d'être trop grand. Allons-y progressivement. Tu devrais prendre un porn star martini. On reste dans les classiques, mais dans le bas de l'échelle des classiques, pas dans le haut !
Sans plus tarder, Sahar intercepte le barman pour lui commander ce cocktail servi d'un shot de champagne.
- Et puis, qui sait, peut-être que le nom du cocktail t'ouvrira de nouvelles perspectives... Ce ne serait pas pour me déplaire, en tout cas, s'autorise-t-elle à ajouter en faisant une nouvelle fois glisser son regard sur le corps de la belle qui lui fait face.
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Luther Kealoha
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pseudo : La Fauvette
id card : Jason Momoa (c) Earithralia & tamquaam
pronom irl : Elle
présence : Présente
âge : Fêtera ses 45 ans le 15 novembre 2025.
statut civil : 404 not found.
Work in progress.
Stay tuned.
Comme dirait fb, c'est compliqué.
occupation : Professeur de mathématique à temps plein, instructeur de surf et d'escalade à temps perdu
adresse : Un appartement dont il est propriétaire dans une ancienne usine réhabilitée de West End. Situé à quelques minutes de son travail et de son potager partagé, c'est pas faramineusement grand, mais il l'a entièrement rénové à son gout, c'est son cocon.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Il
trigger : Pas de gifs issus de films d'horreur svp
infos rp : 400/500 mots, possiblement plus mais pas automatique ; amatrice de dialogues indirects
Crystalbrook Kingsley (Newcastle, NSW) ⋄ vendredi 15 novembre › 20:43
Ils ne s’étaient pas vraiment donné d’heure de rendez-vous mais il a un peu l’impression qu’il est en retard depuis qu’il a lu qu’elle l'attendra au bar. Il se presse donc, s’excuse auprès d’un confrère et salue un collègue en quittant le centre des congrès où se déroule la conférence biannuelle australienne sur l’éducation. Cela fait trois jours qu’il y assiste en journée avant de retrouver sa copine le soir pour profiter d’une ville qu’il visite pour la première fois. Aujourd’hui est un jour spécial, car comme le témoignent les sms qu’il a reçu pendant toute la journée, c’est son anniversaire. Il pensait donc ne pas rentrer trop tard à l’hôtel, mais le mot s’est répandu parmi ses collègues et il s’est retrouvé à aller boire un verre après leur dernière présentation de la journée, pour fêter dignement son entrée dans sa quarante-quatrième année. Finalement, il retourne à l'hôtel passé vingt heures. Il prend quelques minutes pour retourner à leur chambre et se débarrasse du costume un peu trop guindé qu’il porte depuis ce matin. Il sait qu’il abuse un peu, car elle l’attends, mais il se laisse quand même à prendre une douche avant de passer une chemise bien plus décontractée et un chino beige. Il laisse ses cheveux libres mais ne se départ pas d’un fidèle scrunchie au poignet - on sait jamais ça peut servir, et finit par chausser sa traditionnelle paire de lunettes pour éviter de passer la soirée à demander à Elliot de lui lire la carte - il a quarante-quatre ans pardi, il n’a plus besoin de faire semblant ! Puis enfin, il retourne aux ascenseurs et appelle le rez-de-chaussé.
Entre le moment où il a traversé le hall de l'hôtel pour retourner à sa chambre et celui où il est redescendu au rez-de-chaussé, il constate que le lobby et le bar se sont bien remplis et il lui faut une bonne minute pour trouver Elliot assise au comptoir. Il ne percute pas immédiatement qu’elle est en bonne compagnie, réalisant seulement après avoir commencé à traverser la pièce qu’elle discute avec quelqu’un. Des clients lui dissimulent partiellement l’inconnu.e et il se dirige vers elle en toute innocence. La clientèle nombreuse l’oblige à slalomer et arriver dans le dos d’Elliot et ce n’est qu’en relevant le nez du point qu’il s’était fixé - l’épaule droite d’Elliot, qu’il réalise que la personne qui discute avec elle n’est autre que Sahar, l’agent de Callie. Les yeux de Luther s’ouvrent de surprise, mais l’impresario semble trop prise dans sa discussion pour l’apercevoir et il finit par parcourir le dernier mètre qu’il le sépare de tout ce beau monde sans se faire repérer. Il ne comprend rien de la phrase qu’il intercepte à moitié - une histoire de nom qui devrait ouvrir des perspectives - mais remarque avec surprise, un sourcil dubitatif, le regard de Sahar qui se faufile sur le corps de sa blonde-à-lui. Il a à peine le temps de se faire la réflexion qu’elle a les prunelles bien baladeuses, que la galeriste relève les yeux et croise son regard. Oh surprise. Il la salue sans cacher son étonnement, puis sa main vient se poser sur l’épaule d’Elliot qu’il tapote pour lui faire savoir que c’est lui. Il observe la scène, les deux femmes tournées l’une vers l’autre et réalise qu’il a pas trop d’endroit où se glisser la-dedans, alors il reste là, comme une ombre dans le dos d’Elliot, à qui il s’excuse d’être arrivé si tard dans un murmure. Dans sa tête, il présuppose qu’elles se sont reconnues de leurs quelques rares rencontres au détour d’une expo et qu’elles prenaient de leur nouvelles mutuelles par politesse. Alors il ne pense pas à faire les présentations et rappeler à tout le monde qu’on est en terrain connu. Même si il est pris d’une légère envie de signifier à Sahar qu’il est arrivé et qu’elle peut aller reluquer quelqu’un d’autre maintenant, il se dit que la moindre des choses est de patienter deux minutes avant de l’envoyer balader. A vrai dire, elle tenait compagnie à Elliot, donc il peut bien gracieusement les laisser terminer leur conversation sans trop s’immiscer.
Son regard se lève et dévie vers l’autre côté du bar tandis que ses doigts glissent de l’épaule au cou d’Elliot pour masser sa nuque machinalement une demi-seconde avant de laisser retomber sa main et de l’appuyer contre le comptoir. Il jette un coup d'œil au barman qui s’affaire à quelques mètres d’eux, l’observe shaker du Passoa avec de la vodka et du jus de citron tout en se demandant ce qu’il va bien pouvoir commander. Il est à milles lieues de s’imaginer que le cocktail en préparation est pour Elliot car il lui connaît un goût pour l’amertume et pour le gin qui ne fittent pas vraiment avec la purée de fruits exotiques ou la Grey Goose, aussi quand le serveur vient vers eux et dépose face à la blogueuse le verre à martini suivi d’un shot de champagne, avant de claironner haut et fort “ Le Porn Star Martini. ”, son visage exprime une nouvelle surprise. Le nom du cocktail tire un sourcil au prof de math, il est surpris qu’elle ai commandé un pornstarwhatever dans un établissement aussi chic. Elle est plutôt discrète Elliot. Peut-être que dans un rafiot un peu miteux il peut l’imaginer se fendre d’un sex on the beach mais un porn star au bar d’un hotel cinq étoiles. C’est nouveau. Pardonnez-le un peu, il s’étonne “ T’as commandé un truc qui s’appelle un Porn Star ?”, sa voix qui laisse facilement entendre de l’incrédulité. Il se ressaisit toutefois et avant que le mixologue ne s’éloigne à nouveau, Luther lui fait signe de la main et demande un Elderfashioned, puis son attention revient se fixer sur Sahar qui leur fait face et il demande “ Qu’est-ce qu’y t’amènes à Newcastle, Sahar ?”.
désolé pour la longueur
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Tonight's gonna be a good night (Elliot, Luther & Sahar)