Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 164
rps : 47
pseudo : same.
id card : guerrero (eilyam)
pronom irl : she.
multicomptes : sam (gillespie), stevie (mitchell), dexter (barnes), hunter (butler), zeke (allen white), leo (cowen), renfield (poulter), bart (tømmeraas) & fred (claflin).
à contacter : tout dépend de la demande,un peu tous.
présence : (+/-) présente, tout dépend de l'EDT. irl avant tout
âge : 32 ans, mais ça dépend des jours.
statut civil : la question ne se pose plus : célibataire pour le restant de ses jours. Accessoirement maman.
occupation : météorologue le jour et photographe des fonds marins la nuit. (bon ça c'était avant, maintenant avec Arthur, elle attend le weekend.)
adresse : miracle, elle n'a pas foutu le feu dans l'appart' de son ex. Aujourd'hui, elle et le petit prince se sont installés pas trop loin de Daddy. (282 fortitude valley)
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : she.
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable (en fonction du temps & inspi) ⇝ code couleur : #6666cc.
En vrai, tu peux pas tout contrôler faut que tu l'acceptes. Être heureux, c'est comme le reste, faut d'abord apprendre à l'être, je sais. Tu vas te coucher en disant "Demain j'le fais".Tu t'réveilles en disant "Demain j'le fais", mon ami
Douleur. Voilà ce que tu ressens à ce moment précis, tes jambes te paraissent lourdes. Tellement lourdes. Puis tu as mal à la tête, ainsi qu’à la nuque. Tu n’oses pas ouvrir les yeux, le mal est trop présent. Tu bouges un peu, la bouche pâteuse, te remettant doucement de ce .. rêve ? Si on peut appeler ça un rêve, peut-être un cauchemar ? Tu ne sais pas trop, pour le moment t’es perdu et en bougeant ta jambe, ton pied se heurte à quelque chose. Tu fronces les sourcils, ton chien ? Non, il n’est pas là. Une couette ? Non c’est poilu, enfin plus qu’une couverture. Là, tu paniques légèrement, tu devrais ouvrir les yeux, tu tentes doucement. Très doucement, tu sens que tes yeux te font mal et la lumière du jour n’aide pas. Tu as l’impression qu’un oiseau joue de la trompette dans ta tête et ne parlons pas du reste. Tu aurais mieux fait de garder les yeux fermés. « humm.. » tu ronchonnes. Bon la source du souci, c’est pour ça que tu as ouvert les yeux. Tu tâtonnes légèrement, perdu sous ton oreiller. Et là. Là c’est le drame. Tu ouvres tes yeux en grand et hurle. Oui tu hurles, à tel point que tes voisins ont sûrement dû t’entendre. Le souci a même réagi, a fait un bon et s’est éclaté sur le sol. Tu attrapes un oreiller, wait, pourquoi tu es en sous-vêtement ? Une question à la fois. Premièrement : POURQUOI Y A UN HOMME DANS TON LIT ? Depuis quand ? Que ? « vous êtes qui vous déjà ? » que tu balances en le frappant avec ton oreiller. Et d’un coup tu arrêtes de le frapper, super réveil n’est-ce pas ? Des brides de la soirée te reviennent doucement en mémoire, mais tu pensais que c’était un ... rêve, voir cauchemar. Parce qu’à la base, hier soir tu avais accepté un rendez-vous. Ton amie t’a proposé un date arrangé, jusqu’ici rien de méchant, t’en avais pas envie. Et puis tu t’es fait posée un lapin. Oui, un cauchemar où alors tu lui as posé un lapin ? Tu ne sais pas, tu sais juste que tu as passé la soirée à discuter avec un inconnu et surtout... à boire. Ta main qui se pose sur ton crâne, hurler n’a pas aimé la migraine. Bon sang, pourquoi tu as bu ? Bonne question. Une autre. Tu ne comprends rien à cette soiré, tu te lèves, balances la couette à celui qui est toujours par terre et dont le prénom va sûrement te revenir. Tu n’aurais pas fait ça ? Tu t’en souviendrais ? Vraiment ? Tu n’avais pas bu autant depuis un sacré moment.. as-tu bu autant d’ailleurs ? Tu attrapes ton peignoir, plus rien ne va. Tu te souviens avoir échangé avec lui, d’avoir ri sur les pires rencards, ça tu t’en souviens. Tu sais que tu avais envie de boire, de décompresser et de pas te prendre la tête avec un rencard. Ta main qui vient se poser sur ta bouche, « qu’est-ce qui s’est passé Noe ? » tu t’interroges plus que tu l’interroges. Son avis, pour le moment tu t’en moques. Quoique ? Une chance qu’Arthur ne soit pas là. Ceci tu comprends rien, lui, toi non ? Quoique ? Non, tu sais que tu n’avais pas envie de ça et ok ça remonte la dernière fois, mais tu n’aurais pas oublié à ce point ? Quoique ? Non la maternité t’a pas détraqué à ce point … tu te poses des questions. En revanche, tu n’es pas une bonne hôtesse, tu finis par reporter ton attention sur lui. « vous .. tu .. te souviens d’un truc ? Tu m’as pas drogué ? T’es un psychopathe c’est ça ? » trop tard Noe si c’est le cas. Tu as envie de te frapper, mais tu t’abstiens, vu le tambour qui se joue à présent dans ta tête.. mauvaise idée.
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☾☾ You got me sippin' on something. I can't compare to nothing. I've ever known, I'm hoping. That after this fever I'll survive. I know I'm acting a bit crazy. Strung out, a little bit hazy. Hand over heart, I'm praying.That I'm gonna make it out alive. // par zaja.
Gibsie Dunphy
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
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messages : 23
rps : 4
pseudo : marine.
id card : joe dempsie, little wildling (avatar), gif hunts for you (gif).
âge : trente-cinq ans que tu traînes ta silhouette dans ce monde un peu trop bruyant pour toi.
statut civil : célibataire, les relations humaines, c'est trop compliqué
occupation : fleuriste dans une petite boutique depuis pas mal d'années.
adresse : south bank & west end, dans un appartement que tu partages avec tes plantes.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il.
warning : abandon parental, anxiété sévère.
infos rp : environ 500 mots par rp | dialogues en français ou en anglais | rps à la deuxième personne du singulier, au présent | fréquence de réponse variable | code couleur : #669999.
disponibilités : open ■■□□□ en cours :renfield, noe.
Tu dors profondément, bercé par un sommeil agité qui te garde dans un entre-deux bizarre, à la frontière entre rêve et cauchemar. Une sorte de brume épaisse enveloppe ton esprit, chaque tentative de retrouver la réalité se heurte à une barrière de fatigue et d’inconscience. Tout est flou, lourd, incompréhensible. Puis, soudain, tu es réveillé en sursaut par un cri strident. Un cri de fille. Ton cœur fait un bond dans ta poitrine, tambourinant comme s’il voulait s’échapper de ta cage thoracique. Tu ouvres les yeux d’un coup, pris de panique. Tes réflexes te trahissent et avant même de comprendre ce qui t’arrive, tu te retrouves projeté hors du lit, ton corps s'écrasant douloureusement contre le sol. « Aïe ! » Un grognement t’échappe alors que tu te redresses maladroitement, les jambes enchevêtrées dans la couette. Ton cerveau, encore brumeux, peine à rattraper ce qui se passe. Tu es où ? Qu’est-ce qui vient de se passer ?
« Vous êtes qui vous déjà ?! » La voix aiguë, trop aigüe, de la fille te frappe comme une claque. Tu tournes la tête vers elle, la bouche sèche, les yeux écarquillés d’incompréhension. Une fille. Dans un lit. Un lit qui n’est clairement pas le tien. Et toi… toi, tu es là, en caleçon, sur le sol. Ton cœur s’emballe encore plus fort. « Qu… Quoi ? » articules-tu, mais tu n’as même pas le temps de finir que tu te prends un oreiller en plein visage. Elle te frappe. Mais pourquoi elle te frappe ?! Tu lèves les bras en protection, ta respiration devenant plus rapide, presque haletante. La panique monte en flèche. « Je… Je suis pas… Je suis pas un psychopathe ! » protestes-tu faiblement, mais les mots sortent avec une voix tremblante, à moitié étranglée par la peur. Est-ce qu’elle vient vraiment de te demander si tu l’avais droguée ? Si tu étais un psychopathe ? Non, attends, c’est impossible. Tu n’es pas ce genre de type. Tu n’es PAS ce genre de type !
Ton cerveau tente désespérément de reconnecter les morceaux de la soirée de la veille, mais tout est brouillé, flou, comme une mauvaise réception sur une vieille télé. Tu essaies de te souvenir, de te raccrocher à quelque chose de tangible. Tu es sorti… oui, tu es sorti avec… avec qui déjà ? Ah, oui. Noe. C’est ça ! Noe. Vous avez bu… Trop bu, manifestement. Mais tu es sûr qu’il ne s’est rien passé, pas vrai ? Tu te souviendrais, si… non ?
« Attends, attends, » dis-tu, levant une main tremblante pour tenter de calmer la tempête qui gronde dans la pièce. « Je sais pas ce qui s’est passé, mais je te jure, je suis pas un psychopathe, d’accord ? Je... Je suis Gibsie. » Ton prénom claque maladroitement dans l’air, comme s’il allait suffire à éclaircir la situation. Spoiler : ça ne marche pas du tout. Elle te fixe toujours avec un regard méfiant et confus, et toi, tu n’as aucune idée de comment calmer les choses. Ton cœur continue de battre à tout rompre, et tu essaies de te lever, mais tes jambes tremblent tellement que tu vacilles un peu avant de finalement te tenir debout. Tes mains sont moites, et ta gorge est sèche. « Je … on s’est rencontrés hier soir, tu te souviens ? On a … on a parlé des pires rendez-vous de nos vies … » Tu te frottes nerveusement la nuque, espérant que ces bribes de souvenirs aideront à la calmer, et peut-être aussi à t'aider à comprendre. Elle te regarde encore comme si tu pouvais lui sauter dessus à tout moment, et ça te fait mal, là, juste dans la poitrine. Tu n’as jamais voulu être ce genre de gars qui fait peur aux filles. Ton anxiété monte encore plus fort, et tu as l'impression que la pièce se resserre autour de toi.
« Je te jure, je suis aussi perdu que toi, ok ? » continues-tu d’une voix plus douce, presque implorante. « Je me souviens pas de tout, mais je suis sûr qu’il s’est rien passé … de … de bizarre. Enfin, je veux dire … on a juste trop bu. C’est tout, non ? »
Tu passes une main nerveuse dans tes cheveux ébouriffés, tes pensées virevoltant dans tous les sens. Ton regard glisse un instant, faisant le tour de la pièce, cherchant désespérément un signe, un indice, n’importe quoi qui pourrait te ramener un souvenir clair. Tes yeux s'arrêtent sur un jouet au sol, non loin de tes pieds. Ton regard se fixe dessus, puis tu aperçois d'autres objets qui te font tressaillir. Un biberon sur la table de chevet. Des petits vêtements pliés sur une chaise. « Oh non … » murmures-tu pour toi-même, en sentant un frisson glacé te parcourir. Ton cœur s’emballe encore plus. C’est un appartement avec des affaires d’enfant. Il y a un enfant ici, peut-être même plusieurs, et toi, t'es là. Ici. Dans l'antre d'au moins un mini humain. Tu avales difficilement ta salive, une boule d’angoisse se formant dans ta gorge. Est-ce qu'il y a un enfant quelque part ? Est-il dans une autre pièce, caché ? C’est trop. Ton esprit part dans tous les sens.
« Euh … t’as un … » commences-tu, la voix tremblante. « Y’a un enfant ici ? Je veux dire, il est là ? » Ta question sort de manière chaotique, désorganisée, comme si tu n’arrivais pas à formuler correctement tes pensées. La panique monte, et tu as l'impression que tout peut s’effondrer d’un instant à l’autre.
Noe Witwicky
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à contacter : tout dépend de la demande,un peu tous.
présence : (+/-) présente, tout dépend de l'EDT. irl avant tout
âge : 32 ans, mais ça dépend des jours.
statut civil : la question ne se pose plus : célibataire pour le restant de ses jours. Accessoirement maman.
occupation : météorologue le jour et photographe des fonds marins la nuit. (bon ça c'était avant, maintenant avec Arthur, elle attend le weekend.)
adresse : miracle, elle n'a pas foutu le feu dans l'appart' de son ex. Aujourd'hui, elle et le petit prince se sont installés pas trop loin de Daddy. (282 fortitude valley)
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : she.
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable (en fonction du temps & inspi) ⇝ code couleur : #6666cc.
En vrai, tu peux pas tout contrôler faut que tu l'acceptes. Être heureux, c'est comme le reste, faut d'abord apprendre à l'être, je sais. Tu vas te coucher en disant "Demain j'le fais".Tu t'réveilles en disant "Demain j'le fais", mon ami
Confusion, c’est exactement ce que tu ressens. Tu ne comprends plus rien, hormis que tu as une douloureuse migraine. Et surtout qu’un homme se trouve dans ton lit, bon à présent, il est à terre, ta faute. Lui assenant des coups d’oreilles au passage, parce qu’il te fait peur. Tu es troublée, tu ne comprends plus rien. Ce n’est pas dans tes habitudes d’être aussi larguée. L’alcool, voilà le pourquoi du comment. Tu n’as pas l’impression d’avoir autant bu, tu te souviens d’avoir rigolé, oh ça oui. D’avoir passé un bon moment, d’avoir discuté de tout et de rien. Sauf que tu te souviens pas avoir ramené un homme chez toi. Ce n’est clairement pas dans tes habitudes, tu ne fais pas ça ou plus ça. Alors qu’est-ce qui te prend ? Tu essaies de lui soutirer des informations, mais rien. Il a l’air aussi perdu que toi. Il se justifie, t’explique qu’il n’est pas un psychopathe, c’est ce qu’ils disent tout, mais tu as envie de le croire. Il a un je-ne-sais-quoi qui te rassure, mais ça te ramène pas les informations. Tu n’aimes pas avoir des trous de mémoire, surtout ceux dans ce style.
Une pièce, puis une autre, tu essaies de remettre de l’ordre dans ta tête. De te souvenir des éléments de la soirée. Tu devais avoir rendez-vous avec un gars, son prénom ? Tu t’en souviens plus, tu sais que c’était un truc organisé par tes amies. Parce qu’apparemment tu as besoin de sortir, de voir des hommes. Leurs propos, toi tu te sens bien dans tes petites habitudes. Et puis, tu es tombée sur « Gibsie » prénom que tu murmures juste après qu’il l’ait dit à voix haute. Petit-à-petit les informations se remettent en ordre. Une autre pièce du puzzle qu’est cette soirée. Ceci dit, ça n’explique pas pourquoi il est là. Vous avez bien rigolé, vous vous êtes racontés vos pires rencards, des trucs loufoques, mais… tu te souviens pas l’avoir ramené chez toi. Surtout pour ça. Non ce n’est pas ton délire. Alors pourquoi est-il là ? Cette question n’a toujours pas été résolue, peut-être que l’information va revenir petit-à-petit. Tu l’espères. Assisse sur le coin du lit, tu poses ta tête dans tes mains. Foutue Noe, ça t’apprendra à picoler. Il parle toujours, tu relèves ta tête et poses ton regard sur lui. « Ok, j’te crois, mais ça me dit toujours pas pourquoi tu es là. Grr j’aime pas avoir des absences, » tu enfournes à nouveau ta tête dans tes mains. Il faut vraiment que tu arrêtes l’alcool ma fille, mais tu as l’impression de ne pas avoir autant bu que ça. Ou alors tu te souviens plus d’avoir vidé une bouteille. Possible ? Rien est sûr.
Et ce singe, ce singe qui joue des maracas dans ton crâne. Pourquoi ne peut-il pas aller voir ailleurs celui-là ? Bonne question. Tu pourrais cogiter avec lui, le pauvre, tu le laisses sur le sol de ta chambre. Tu t’occupes pas de lui, tu aimerais juste une douche… oh oui, ça peut-être bien ça, très bien. Une bonne douche chaude, histoire que tes esprits reviennent. Ton regard se pose à nouveau sur lui, qui semble… paniquer. Tu peux sentir tes sourcils qui se froncent, qu’est-ce qui lui prend ? Il a vu une araignée ? Il manquerait plus que ça, tu détestes ces insectes. « Oui, j’ai un enfant, mais non il n’est pas là. Enfin je crois pas, j’suis pas horrible à ce point ? » tu poses ta main sur ta bouche, aurais-tu oublié Arthur ? Non impossible, tu n’es pas encore « non arthur est chez son père, tout comme le chien. Je les aurais pas oubliés à ce point ? » tu t’interroges, oubliant la panique qui le submerge. Tu reposes à nouveau ton regard sur lui, « ça va ? » parce qu’il n’a pas l’air d’aller bien. « un café ? Ça peut nous aider à comprendre ou alors une douche, » tu prends conscience de ce que tu viens de dire « séparément bien sûr, » on va éviter les malentendus, y en a assez à son goût.
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Gibsie Dunphy
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Tu restes assis, complètement sonné, fixant Noe comme si tu espérais que tout ce malaise finisse par se dissiper de lui-même, comme un brouillard qui se lève. Son regard est fixé sur toi, mais son expression trahit quelque chose de… différent. Peut-être une colère sous-jacente, ou juste une fatigue intense. Tu n’es pas sûr. Et, pour être honnête, tu ne comprends pas vraiment ce qui t’arrive. Tes doigts se crispent légèrement sur le bord de la couverture, et ton esprit tourne à toute vitesse, cherchant désespérément un moyen de t'expliquer, de t’excuser même. La façon dont elle t’a dévisagé en te demandant si tu t’étais bien rendu compte de la situation te fait frissonner. Quelque chose ne tourne pas rond — mais tu n’arrives pas à mettre le doigt dessus. Tu voudrais t’excuser mille fois, lui expliquer que tu n’es pas le genre de mec qui envahit l’espace des autres sans y être invité. Pourtant, même dans ton esprit, les mots se brouillent, s’entremêlent comme si ton cerveau refusait de coopérer.
« Je... je suis désolé, » lâches-tu finalement, d'une voix rauque. Ce n’est pas assez. Elle reste là, en face de toi, te fixant avec cette intensité qui te donne l’impression que tu dois absolument trouver une explication, que quelque chose doit justifier cette scène absurde. Mais qu’est-ce que tu pourrais bien dire ? Une excuse pour un comportement que tu ne te souviens même pas avoir eu. Le coup t’assomme presque physiquement, et ta tête te fait mal rien qu’à l’idée. Comment est-ce que tu aurais pu oublier une chose aussi importante ? Tu passes nerveusement une main dans tes cheveux, évitant son regard. « Je te jure que... que c’est pas mon genre, » reprends-tu, t’efforçant de croiser enfin ses yeux, même si son expression ne laisse rien transparaître de bon. « Je… je sais que ça a l'air complètement fou, mais je te promets que je… je suis pas ce genre de mec, tu vois ? Le genre qui débarque et s’impose. » T'essaies d’articuler quelque chose, n’importe quoi, mais la vérité, c'est que tu ne sais même pas où commencer. Elle continue de te dévisager, et toi, tu te sens minuscule sous ce regard perçant. Elle est là, à quelques pas de toi, avec ce mélange de méfiance et de… de déception peut-être, ou de lassitude. T’as l’impression qu’elle attend une réponse que tu ne peux pas lui donner, une explication à laquelle tu n’as pas accès. Tu baisses les yeux, honteux. L’idée qu’elle pourrait te trouver inquiétant, voire intrusif, te retourne le ventre. C’est la dernière chose que tu veux. Le dernier regard que tu voudrais qu’elle te porte. T’es encore là, la bouche entrouverte, à chercher les mots, à essayer de te justifier, mais sans pouvoir faire grand-chose pour rattraper cette impression de malaise. « Je… je sais même pas ce que je fais ici. » Ce n’est pas la vérité, bien sûr — pas complètement. Mais ça résume assez bien ce que tu ressens. Tu te frottes nerveusement le cou, les doigts tremblants. « Enfin, si, je… on était… on est amis, toi et moi, non ? Je veux dire, on... on a partagé des trucs, j’crois ? Des souvenirs ? Enfin, peut-être… non ? » T’as du mal à rassembler des morceaux flous, des fragments de moments, mais rien de clair. Juste une impression persistante, presque douloureuse, que tu lui as fait du tort sans savoir comment ni pourquoi. Ta naïveté te pense à croire que vous pourriez être amis suite à la soirée d'hier. Tu ne te souviens pas de grand chose, mais tu sais que tu as passé un très bon moment. Tu te souviens d'avoir ri. Beaucoup.
Elle te propose soudain de prendre une douche, un café, quelque chose, et pendant une seconde, ça te ramène un peu à la réalité. T’es encore dans sa chambre, planté là, comme un idiot, à bloquer toute tentative de normalité. « Oui, oui ! Une douche, c’est… c’est probablement une bonne idée. » Tu déglutis. « Enfin, chacun de notre côté, hein, comme… euh… comme tu l’as dit. » Tu te lèves avec un peu trop d’empressement, et tu manques de trébucher sur le bord du lit. Génial. Même tes jambes semblent décider de te trahir. Et voilà que tu lui jettes un coup d’œil paniqué, espérant qu’elle ne prenne pas ça pour autre chose que ce que c’est — un mec paumé, qui essaie juste de comprendre comment il a pu se retrouver dans cette situation. Un soupir t’échappe. « J’sais pas si ça changera grand-chose, mais je… je tiens vraiment à ce que tu saches que je me souviens pas… enfin, que c’est pas intentionnel. » Ta voix baisse, presque un murmure : « Je voudrais vraiment que les choses soient normales entre nous, tu vois ? » Parce qu’au fond, malgré l’absurdité de tout ça, malgré l’impression tenace que tu as tout raté avec elle, tu voudrais que cette amitié, ou peu importe ce que c’est, survive à ce moment étrange et flou. « Et le café… c’est sûrement une bonne idée aussi, » rajoutes-tu, comme pour combler le silence soudain. « On pourrait peut-être… tu sais… parler ? » Mais le silence entre vous semble pesant, presque infranchissable. Elle te regarde, et tu te demandes si elle voit la sincérité derrière tes mots, ou si elle voit seulement ce type confus qui n’arrive même pas à se souvenir de détails aussi essentiels - surtout pour toi - que le fait qu’elle ait un chien, ou un… un enfant. A cette idée, un frisson te parcourt. Mais tu te contiens, te rappelant ses mots. Ni l'un ni l'autre n'est présent là maintenant tout de suite. Tu es safe.