Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
âge : trente-cinq ans que tu traînes ta silhouette dans ce monde un peu trop bruyant pour toi.
statut civil : célibataire, les relations humaines, c'est trop compliqué
occupation : fleuriste dans une petite boutique depuis pas mal d'années.
adresse : south bank & west end, dans un appartement que tu partages avec tes plantes.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il.
warning : abandon parental, anxiété sévère.
infos rp : environ 500 mots par rp | dialogues en français ou en anglais | rps à la deuxième personne du singulier, au présent | fréquence de réponse variable | code couleur : #669999.
disponibilités : open ■■□□□ en cours :renfield, noe.
Tu t’es levé tôt ce matin, le cœur battant d'excitation. Aujourd’hui, c’est une journée spéciale, tu en es convaincu. Renfield ne le sait pas encore, mais tu as planifié quelque chose d’incroyable pour lui. C’est pour ça que tu l’as presque tiré hors du lit à l’aube, un sourire espiègle aux lèvres et une énergie débordante dans chaque geste. La route est longue depuis Brisbane, mais ça ne t’inquiète pas. Tu aimes conduire, surtout quand tu as une destination aussi excitante en tête. Tu chantes à tue-tête, en rythme avec la radio, un mélange de vieilles chansons pop et de jingles publicitaires que tu connais par cœur. Renfield est à côté de toi, silencieux, encore un peu endormi peut-être - en même temps, tu chamboules sa routine - mais tu sens qu’il est content d’être là, avec toi. Ça te suffit pour que ton sourire s’élargisse davantage.
Le paysage défile par la fenêtre, et chaque arbre, chaque oiseau que tu aperçois te rappelle pourquoi tu es si impatient. Les ornithorynques ! Ces créatures fascinantes que tu ne te lasses jamais d’étudier, d’admirer. Tu n’as pas encore révélé ta destination à Ren. Tu veux garder la surprise, voir l’émerveillement dans ses yeux quand il comprendra ce que tu lui as préparé - parce que qui ne serait pas émerveillé par des ornithorynques !
« Tu sais, y’a un truc que j’ai vraiment hâte de te montrer, » dis-tu finalement, incapable de contenir ton enthousiasme. « Je crois que ça va te plaire. C’est … comment dire … unique ! » Renfield te regarde en coin, intrigué, mais tu te contentes de lui sourire en retour, un sourire qui en dit long sans rien révéler.
La route est paisible, et tu prends soin de rouler à une vitesse raisonnable - tu connais ton frère - même si l'excitation te donne envie de presser l’accélérateur. Tu as prévu des snacks pour le trajet – des choses que Renfield aime, et quelques sucreries pour toi, bien sûr. Plein de lingettes désinfectantes aussi ... encore une fois, tu connais ton cadet. Tout est bien organisé, du moins, aussi organisé que ça peut l’être pour toi. À un moment, tu vois un panneau indiquant que Cedar Creek n’est plus très loin. Ton cœur fait un bond dans ta poitrine. Tu jettes un coup d’œil à Renfield, cherchant un signe d’impatience ou de curiosité. Mais il semble encore perdu dans ses pensées, ou peut-être s’est-il résigné à ton silence mystérieux. « On y est presque, » annonces-tu, incapable de contenir ton excitation. Tes doigts tapotent le volant au rythme d’une mélodie que tu fredonnes. « Promis, tu vas adorer. »
Finalement, tu prends la dernière sortie et te diriges vers le petit chemin qui mène à la rivière où, d’après tes recherches, il est possible de voir des ornithorynques dans leur habitat naturel. Tu te gares en prenant soin de ne pas abîmer la voiture. Puis, avec un large sourire, tu te tournes vers ton petit frère. « Prêt pour une petite aventure ? » dis-tu en ouvrant ta portière. Avant même qu’il puisse répondre, tu es déjà dehors, les bras ouverts, prêt à lui montrer ce qui te passionne tant. Tu te sens comme un gamin qui offre un cadeau à son meilleur ami, espérant de tout cœur qu’il l’aime autant que toi. Aujourd’hui, tu es sûr que ce sera une journée que ni toi, ni Renfield n’oublierez jamais.
Renfield Dunphy
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MEMBRE ☆ old wounds you got a little more to prove
paper rings
messages : 81
rps : 29
pseudo : same.
id card : poulter. (decrescendo)
pronom irl : she.
multicomptes : sam (gillespie), stevie (mitchell), dexter (barnes), ben (doherty), noe (guerrero), zeke (allan white), leo (cowen), bart (tømmeraas) & fred (claflin).
à contacter : stevie.
présence : (+/-) présente, tout dépend de l'EDT. irl avant tout
âge : les années se sont écoulées, trente et une pour être exacte. Tellement de questions qui restent sans réponses.
statut civil : veuf, une alliance qu'il n'arrive pas à enlever. Un coeur qui ne guérit pas, une amie qui désire qu'il goûte de nouveau à la vie.
adresse : en colocation avec une factrice/souillon à New Farm. (jusqu'ici tout le monde est en vie, y compris les post-its.)
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : he.
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable (en fonction du temps & inspi) ⇝ code couleur : #003399.
Staring out at the rain with a heavy heart. It's the end of the world in my mind. Then your voice pulls me back like a wake up call. I've been looking for the answer. Somewhere. I couldn't see that it was right there. But now I know what I didn't know
Ton frère veut te tuer, y a pas d’autres explications. Oui, ton frère veut te tuer. Ton frère qui est beaucoup trop enthousiaste à ton goût. Ton frère. Ton aîné, qui t’embarque dans une aventure. Il te connaît, il sait que ce n’est pas dans tes habitudes. Tu ne bouges pas. Tu restes chez toi, oui ça c’est toi. Ce qui n’est pas toi, c’est de suivre ton frère dans sa voiture et de prendre la route. Non, tu ne fais pas ça, pas du tout. Pourtant tu l’as suivi, as-tu eu le choix ? Pas vraiment, il a insisté, il t’a promis que ça serait super cool. Lui et Lis vont vraiment finir par te tuer. Puis il t’a assuré avoir tout ce qu’il faut, tes lingettes, ta nourriture, tout est organisé. Il te connaît, heureusement, mais au fond de toi, tu n’es pas rassuré pour autant. Tu n’aimes pas ça. Pas du tout. C’est pour ça que tu ne parles pas, tu attends. Tu médites, enfin tu essaies, tu te concentres. Tout va bien se passer, mais tu détestes les changements. Si tu as un planning, ce n’est pas pour faire jolie, c’est parce que tu as besoin de ça. Tu as besoin de tes habitudes, tu as besoin de savoir que rien ne change, ça te rassure. Et là. Patatra. Exactement. Tout est chamboulé, car ton frère a envie de te montrer quelque chose. Quoi ? Bonne question. Il paraît que c’est une surprise, tu crains le pire. Vraiment. Expire. Inspire. Voilà ce que tu fais durant la route. Surveillant aussi ta tension, parce que tu sais qu’un rien peut te faire vriller. Tu as envie de lui faire plaisir, mais c’est vraiment dur pour toi. Tu prends sur toi au maximum là, est-ce qu’il s’en rend compte ?
Pas sûr. Voilà ce que tu te dis en sortant de la voiture. En le regardant, tout fier de te montrer, un paysage. De la verdure. Il est devenu fou, c’est ça, il s’est pris un coup sur la tête. Ou alors c’est toi ? Tu vis dans un univers parallèle ? On t’a enlevé ? Une minute. Puis une autre. Tu ne dis toujours rien, tu regardes ou plutôt tu contemples ce qui se trame devant toi. Tu peux voir une pointe d’inquiète sur le visage de ton frère. « Tu comptes me tuer et enterrer mon corps ici ? » que tu finis par lui demander, gentiment, pas du tout ironique. Toute façon, tu ne pratiques pas l’ironie, tu ne connais pas. Perplexe, voilà ce que tu es à présent, en plus d’être apeuré. Oui, tu as peur. Tu ne sais pas ce qu’il lui prend. Toi aventurier et puis quoi encore ? « ou bien tu t’es pris un coup sur la tête, si c’est ça, on peut faire demi-tour, il ne faut pas rigoler avec les commotions. » cette fois-ci tu es un peu plus inquiet. Il s’est peut-être pris un coup en tombant de son cheval, aller savoir. Ça expliquerait pourquoi il t’emmène en pleine nature. Et voilà tu entends des bruits bizarres, tu n’aimes pas ça, pas du tout. « tu as pris un spray anti-moustique ? » tu gigotes sur toi-même décidément pas à ton aise. Pas du tout. Pourquoi a-t-il eu cette idée ? Bonne question. « Gibson, je trouve pas ça drôle du tout. Y a même pas de toilette. » tu continues à bouger, évitant le truc qui bouge autour de toi. Tu n’arrives pas à savoir ce que s’est exactement, mais ça te plaît pas du tout. Tu détestes les insectes, comme beaucoup de chose, mais les insectes sont en haut de la liste. Expire, inspire. Il ne va pas te tuer, enfin tu l’espères.
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(Just look into my eyes. 'Cause the heart never lies) Some people fight. Some people fall. Others pretend. They don't care at all. If you wanna fight. I'll stand right beside you. The day that you fall. I'll be right behind you
Gibsie Dunphy
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
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rps : 4
pseudo : marine.
id card : joe dempsie, little wildling (avatar), gif hunts for you (gif).
âge : trente-cinq ans que tu traînes ta silhouette dans ce monde un peu trop bruyant pour toi.
statut civil : célibataire, les relations humaines, c'est trop compliqué
occupation : fleuriste dans une petite boutique depuis pas mal d'années.
adresse : south bank & west end, dans un appartement que tu partages avec tes plantes.
intervention pnj : Oui
pronom perso : il.
warning : abandon parental, anxiété sévère.
infos rp : environ 500 mots par rp | dialogues en français ou en anglais | rps à la deuxième personne du singulier, au présent | fréquence de réponse variable | code couleur : #669999.
disponibilités : open ■■□□□ en cours :renfield, noe.
Ton sourire, jusqu’alors large et rayonnant, se fige un instant lorsque Ren te demande s’il compte mourir ici, enterré sous les arbres. Tu te tournes vers lui, les yeux ronds, et éclates d’un rire nerveux. « Meuuuh non ! Pourquoi tu dis ça ?! » Tes mains se lèvent en l’air, comme pour désamorcer une bombe. « C’est une surprise, Ren ! Pas une scène de crime ! » Mais même en essayant de le rassurer, tu sens qu’il est encore tendu. Et toi, tu commences à t’inquiéter un peu. Il n’est vraiment pas à l’aise. Il te lance une autre supposition, cette fois-ci sur une potentielle commotion cérébrale. Tu secoues la tête, un sourire étirant à nouveau tes lèvres, mais cette fois un peu moins sûr de lui. « Non, promis, ma tête va très bien. Je sais exactement ce que je fais… enfin, la plupart du temps, » murmures-tu, conscient que ta tendance à improviser peut parfois laisser des doutes. Mais cette journée, tu l’as planifiée ! Tu l’as organisée, tout pensé pour faire plaisir à ton petit frère, même s’il ne le sait pas encore – mmmh ou te faire plaisir à toi plutôt … peut-être ? Certes, son amour pour la nature et l’imprévisible n’est pas aussi grand que le tien, mais les ornithorynques… comment ne pourrait-il pas les aimer ? En te retournant pour contempler l’étendue de la rivière, tu soupires de contentement. Tu es persuadé que ce moment sera inoubliable, même s’il commence de façon un peu… hésitante.
Tu te racles la gorge, puis tournes ton regard vers Renfield. Il bouge, visiblement nerveux, chassant quelque chose qui n’existe probablement que dans son imagination ou, peut-être, une mouche très agaçante. « Oui, oui, j’ai pris du spray anti-moustiques ! T’inquiète, je te laisse pas tomber, frérot. » Tu fouilles dans ta poche en vitesse et en ressort un petit flacon, que tu lui tends avec un sourire, presque comme un trophée. Tu as pensé à tout ! Mais sa réticence est palpable. Ça te donne une sensation étrange dans le ventre, un mélange de culpabilité et de frustration. Tu veux que ça se passe bien, vraiment. T'as fait de ton mieux pour qu'il se sente à l’aise, pour que tout soit parfait. Mais, à le voir se tortiller comme ça, un doute commence à germer dans ton esprit. Et s’il détestait cette sortie autant que tu redoutes qu’il l’aime ? Tu inspires profondément, essayant de te persuader que tout ira mieux dès qu’il verra les ornithorynques. C’est impossible de ne pas aimer ces petites bêtes ! Impossible.
« Bon, écoute, » dis-tu enfin en te rapprochant de lui, essayant de calmer la situation avec un ton rassurant, mais toujours aussi enthousiaste. « Je sais que tu n’aimes pas trop sortir de ta zone de confort… et c’est vrai que j’aurais peut-être dû te prévenir un peu plus. Mais fais-moi confiance, d’accord ? » Tes yeux pétillent, tu essaies de capter son attention, son approbation, comme un enfant qui attend la validation d’un parent. « On va voir des ornithorynques, Ren ! Des vrais ! Dans la nature ! C’est pas incroyable, ça ? » Ton enthousiasme déborderait presque, mais tu te retiens, essayant de ne pas paraître trop envahissant. Tu l’observes, cherchant un signe, une lueur dans son regard, quelque chose qui te dirait qu’il commence à s’ouvrir à l’idée. Rien pour l’instant. Tu te balances d’un pied sur l’autre, un peu gêné par la situation. Tu ne veux pas qu’il se sente mal. Tu ne veux pas qu’il te déteste pour ça. « Et puis, » ajoutes-tu d’une voix plus douce, « j’ai pensé à tout, vraiment. » Tu te sens un peu coupable de ne pas avoir pris en compte son besoin d’un plan strict. Tu tentes alors un compromis, un petit ajustement qui pourrait le rassurer. « Regarde, si tu veux, on peut juste rester ici quelques minutes, observer les environs, voir si tu te sens bien. Et si jamais tu n’aimes vraiment pas… on repart. C’est pas la fin du monde, t’inquiète pas. » Tu sais que ce serait une déception pour toi de ne pas rester plus longtemps, mais le bien-être de Ren passe avant tout. Tu attends, un sourire un peu forcé aux lèvres, espérant que tes mots l’atteignent. Dans ta tête, tu te répètes : allez, ça va aller, ça va bien se passer ... il va adorer. Mais pour l’instant, tu es dans l’incertitude.
Puis, brusquement, tu te rappelles des snacks. Peut-être que ça pourrait le détendre un peu ! « Ah, j’ai ramené tes snacks préférés aussi ! » dis-tu en te précipitant vers la voiture. Tu farfouilles dans le sac, en sortant un paquet avec fierté. « Ça, c’est pour toi. Et j’ai pris du chocolat pour moi, évidemment ! » Tu lui tends le paquet avec un sourire rayonnant, espérant que cette petite attention suffise à le faire céder un peu. Et toi, malgré la tension palpable dans l’air, tu choisis de rester optimiste. Parce qu’au fond, c’est ce que tu es : un optimiste acharné, même dans les moments où tout semble incertain.