Cheers to the freakin weekend (Luther & Sahar)

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 Cheers to the freakin weekend (Luther & Sahar)


Sahar Hosseini
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Sahar Hosseini
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id card : Sepideh Moafi (Elina)
pronom irl : Elle
multicomptes : yaël saunders, bianca almeida, ally hurley, valentina lorenzi, marlon o'connor, delilah winchester
à contacter : Yaël Saunders
présence : Présente
Cheers to the freakin weekend (Luther & Sahar) Ojhm
âge : 38 ans. Sahar est née le 28 novembre 1985.
statut civil : Célibataire, sans enfant. L'engagement en amour, très peu pour elle. Et des enfants, elle n'en veut pas.
occupation : Propriétaire de la Hope of Shades Art Gallery sur south bank & west end. Sahar aime dénicher de nouveaux artistes et exposer ceux issus des minorités que les autres galeries jugent comme n'étant pas prêts.
adresse : Un appartement haut perché qui dispose de tout le confort nécessaire et d'une vue imprenable sur le cœur de ville et la Brisbane River situé au #66 central business district.

intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle
trigger : à discuter ensemble
warning : Jeux d'argent, relations familiales conflictuelles
infos rp : ± 500/1000 mots ⋄ ≈ 10/15 jours ⋄ #6d9a40
disponibilités : disponibleLutherIsanaSineadCharlieMeganZahra ⋄ Megan ⋄ you?
en vrac : Cheers to the freakin weekend (Luther & Sahar) 6c9h
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· Dim 21 Jan 2024, 18:40

Cheers to the freakin weekend

@Luther Kealoha & @Sahar Hosseini


Sixteen Antlers Rooftop bar20 janvier 2024‎ ‎ ‎ ‎›‎‎ ‎  22:29‎ ‎


(Rooftop) ⋄ Dès l'instant où l'idée d'organiser l'anniversaire de Jonah au Sixteen Antlers Rooftop Bar a été évoquée, Sahar a fait savoir qu'elle serait présente. Peu importe l'endroit et l'heure, elle se libérerait. Non seulement parce que le nouveau quarantenaire est son ami, mais aussi et surtout parce que son besoin de décompresser est plus présent que jamais.

Quoi qu'au fait que les critiques artistiques puissent être acerbes, la galeriste ne s'attendait pas à ce que sa dernière exposition en date divise à ce point la communauté culturelle de Brisbane. Elle ne s'était pas non plus suffisamment préparée à être pointée du doigt de la sorte et à ce que chacune de ses prises de position soit décortiquée sur la place publique. Il est vrai qu'à la différence de ses pairs Sahar expose des artistes qui n'ont pas encore de nom, de côte et de réputation. Il lui suffit d'être transportée par un coup de crayon ou par une histoire pour oser prendre le pari de représenter quelqu'un qui vivait jusque-là dans l'ombre.

C’est ainsi qu’elle a donné leur chance à Assa et Isaac et à l’exposition qui se trouve en cours à la galerie et qui fait couler tant d'encre. Celle-ci retrace le parcours d’immigration d’Ahmed, depuis son enfance à l'âge adulte, le tout en jonglant avec les supports artistiques mais surtout avec les époques et les différentes politiques migratoires de l'Australie. Pour Sahar, cette exposition est un chef d'œuvre ; le travail accompli par ses artistes et le message transmis sont remarquables. Seulement, plus que le thème en lui-même qui est sujet à controverse, les critiques s’attaquent virulemment à « l’amateurisme » des artistes et de leur agent ainsi qu’à « l’incohérence des styles » de varier ainsi les supports des œuvres. Même si elle s’y était plus ou moins préparée, Sahar doit bien reconnaître que toutes ces critiques négatives commencent à la travailler au corps depuis le mois de novembre dernier.

Alors, c'est sans grande surprise que l'iranienne arrive parmi les premiers invités de la soirée. Le groupe se constitue rapidement et Sahar retrouve des visages plus ou moins familiers. Une osmose entre les onze invités se crée facilement et les discussions vont bon train, entre les rires, les bouteilles et les planches apéritifs. Des sujets divers et variés sont abordés, jusqu'à celui-ci : les expériences désastreuses au lit. Si Sahar est la première à s'en amuser, son visage change d'expression quand l'un des acteurs de cette discussion confie ne pas avoir eu de grande alchimie au lit avec l'une de ses partenaires récemment.

Le discours de Luther est trop proche de celui qu'Adelaïde avait eu avec Sahar quelques semaines plus tôt pour qu'elle ne fasse pas le lien. Soudainement, toutes les pièces s'assemblent, de ce manque d'alchimie décrié, à la description de ce collègue charmant et costaud mais non-compatible sous la couette. Les yeux de l'iranienne s'arrêtent un instant sur Luther alors que ses pensées commencent à faire mille tours dans sa tête. Est-ce encore Adelaïde qui lui procure cet effet ou est-ce le champagne qui est à blâmer ?

Sahar s'autorise à quitter la table dans le même temps que quelques invités, dont Ariane et Jonah, partent rejoindre la piste de danse. Son escapade est de courte durée, le temps d'aller chercher une bouteille de champagne supplémentaire au comptoir du bar et de chasser la blonde de son esprit. À son retour, ils ne sont plus que deux à table ; Luther est à quelques mètres de là, debout et à l'écart, le téléphone à la main. Il n'en faut pas davantage à Sahar pour attraper son verre sur son passage et rejoindre le professeur devant lequel elle se poste. Si un sujet la taraude, le mieux est encore de l'évacuer le plus rapidement.

- Alors comme ça tu n’as pas pris ton pied avec Adelaïde ? est-elle obligée de demander tout en remplissant leurs deux verres de champagne.

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âge : Fêtera ses 44 ans le 15 novembre 2024.
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Comme dirait fb, c'est compliqué.

occupation : Professeur de mathématique à temps plein, instructeur de surf et escalade à temps perdu
adresse : Un appartement dont il est propriétaire dans une ancienne usine réhabilitée de West End. Situé à quelques minutes de son travail et de son potager partagé, c'est pas faramineusement grand, mais il l'a entièrement rénové à son gout, c'est son cocon.
intervention pnj : Oui
pronom perso : Il
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· Mar 23 Jan 2024, 05:42

Cheers to the freakin weekend

@Sahar Hosseini

Lorsqu’il se présente au rooftop, il a quelques minutes de retard, mais personne ne lui en tient rigueur, c’est qu’il n’est pas un abonné aux retards au fond Luther. Plutôt ponctuel dans la vie de tous les jours. Il se joint aux autres pour porter un toast en commandant un French Gimlet avant de passer au mocktail parce qu’il n’a rien d’un gros consommateur non plus. On le chargera de choisir les bouteilles de vin - il a le nez pour ça- et il en boira un verre avant de tourner à l’eau pétillante pour le reste de la soirée. Les invités se rassemblent et les conversations démarrent naturellement. Il ne sait pas très bien comme ils en arrivent à ce sujet-là, mais quand on commence à parler d’expériences désastreuses au lit, il rit et se fait l’avocat du diable. Ou du moins, il dédramatise la situation en affirmant que ça arrive et que ce n'est pas franchement la fin du monde.

Pour appuyer son propos il avoue sans rougir qu’un de ses derniers crushs s’est éteint faute d’alchimie, que c’était un peu plate comme situation mais que ça les empêchera pas de nourrir une amitié platonique. Sans la nommer, il pense à Adélaïde. Pour terminer son anecdote, il hausse les épaules en disant que ni l’un ni l’autre ne s’est trop pris la tête, que ça les a pas empêché de se voir pour le travail et que bon, maintenant, il voit quelqu’un d’autre et que peut-être elle aussi, il ne sait pas trop ce qu’elle devient depuis qu’elle a quitté la ville en réalité.

La conversation se tarit et quelques convives s’éloignent pour rejoindre la piste de danse. Lui en profite pour se lever et s’éloigner de quelques pas. Il sort son téléphone et prend quelques minutes pour échanger des civilités très polies avec son ex qui lui a rendu un service plus tôt dans l’après-midi. Absorbé par sa micro conversation, il ne voit par Sahar s’approcher de lui et il tressaille en l’entendant qui rentre dans le lard sans prendre de pincette. Not very Lulu-like. Ses doigts se figent sur le clavier tactile, il relève les yeux, plisse les paupières et ses sourcils se soulèvent. pardon ? peut-on lire sur son visage.

Il lève un index et marmonne un “ Excuse-moi une seconde ” pour lui indiquer de patienter le temps qu’il termine son message. Il colle un petit émoji-hibiscus à la fin de son dernier texto - sa petite signature lorsqu’il souhaite clore la conversation sans lâcher un vu sans réponse - puis il range le téléphone dans sa poche arrière et redirige son attention vers Sahar. Il rit, un peu ahuri “ Dis donc, c’est quoi cette question ? Personne t’a appris à tourner autour du pot ? ”. Sa bouche se tord dans une grimace désabusée. Il réalise bien que cela signifie que Sahar connait Adélaïde et une légère curiosité le pique. Mais il n’a déjà pas pour habitude de discuter plus en détail de sa vie affective avec ses proches, alors avec Sahar ! Ils s’entendent bien quand ils se croisent, il ne prétendra pas le contraire ; et il demande poliment de ses nouvelles à Callie quand l’artiste évoque son agent devant lui. Mais de là à s’entendre demander s’il prend son pied au lit ?

Il se laisse servir un verre de champagne et trempe les lèvres dedans par mimétisme puis hausse les épaules. C’est une chose de débattre d’un sujet et s’en est une autre de nommer l’objet de sa démonstration. Il finit par secouer la tête, avec l’impression que son hypothèse précédente est passée à côté de la plaque. “ C’est pas une question de pied. C’est juste que parfois une alchimie ne se crée pas. C’est pas que c’est bien ou pas bien. Ça n'est pas, tout court. ” Il hausse les épaules, avec l’impression d’aborder un non-sujet. “ Pourquoi cette question ? ” demande-t-il quand même.



Dernière édition par Luther Kealoha le Jeu 14 Mar 2024, 23:42, édité 1 fois
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· Sam 27 Jan 2024, 09:43

Cheers to the freakin weekend

@Luther Kealoha & @Sahar Hosseini


Sixteen Antlers Rooftop bar20 janvier 2024‎ ‎ ‎ ‎›‎‎ ‎  22:29‎ ‎


(Rooftop) ⋄ Combien de fois s’est-elle entendu dire qu’elle était fantaisiste, Sahar ? Elle qui agit à sa guise, au mépris de ce qu’il « faudrait faire ». Pour quoi ? Sur quel fondement ? Existe-t-il un curseur universel de la bienséance ? Si tel est le cas, elle n’a pas été livrée avec lors de son arrivée sur la terre. Sahar vit sa vie comme elle l’entend, elle ne suit aucun schéma, elle s’éloigne volontiers des chemins tous tracés. Les tabous ne la connaissent pas et elle ne les connaît pas. Son unique limite est le respect de l’autre. Elle ne pense pas franchir cette limite en rejoignant Luther et en lui posant une telle question de but en blanc. Parce qu’une fois encore, pour Sahar, il n’y a pas de tabou à avoir, certainement pas à propos des relations sexuelles. L’ouverture d’esprit est son mantra et s’il y a bien une personne avec qui on peut parler de tout, Sahar aime à croire que c’est elle. Elle comprend, en revanche, que l’attitude qui vient d’être la sienne puisse déstabiliser.

- Tourner autour de quoi ? réplique Sahar, un sourire espiègle aux lèvres.

À quoi bon emprunter quatre chemins différents pour arriver à la même destination ? Pour peu qu’elle se sente suffisamment à l’aise avec son interlocuteur, Sahar préférera toujours choisir la ligne droite. Le chemin le plus court ; celui qui lui permettra d’arriver le plus rapidement possible à la discussion qu’elle attend. La finalité est la même, seule la façon d’y arriver diffère.

Détachée de la remarque de Luther – elle ne pense pas l’avoir réellement dérangée avec sa question, à tout le moins pas au point qu’il prenne la mouche ou s’en aille se cacher dans un placard – Sahar poursuit sa mission de servir leurs verres. Lorsque c’est chose faite, elle dépose la bouteille de champagne sur un mange-debout libre à côté d’eux, avant de porter son verre à ses lèvres. Ceux qui ne la connaissent pas pourraient penser que l’alcool joue son effet désinhibiteur. Seulement, en réalité, l’iranienne est encore très loin du point de non-retour. Elle est parfaitement consciente de tous ses faits et gestes et sa question a été posée de toute sa lucidité. « Adelaïde » est un sujet encore trop sensible pour elle pour qu’elle s’en désintéresse. Elle pense encore trop fréquemment à la professeure et à la pointe de déception qui l’a saisie quand elle a appris son aventure ratée pour ne pas saisir la chance d’en savoir plus alors même que le protagoniste de cette histoire se trouve face à elle.

Et ça y’est, Luther répond. Il réexplique ce qu’il a précédemment exposé au cours de la soirée. Que ce n’est pas qu’une question de s’amuser ou non au lit, mais bien une alchimie, une connexion qui ne se crée pas. Si Sahar a déjà connu des expériences moins réussies que d’autres, elle ne parvient toujours pas à comprendre comment Luther a pu vivre cela avec Adelaïde. Alors que de son côté à elle, tout était tellement…

La galeriste s’efforce de couper court à ses pensées. Donner de l’importance à la professeure, alors qu’elle a aujourd’hui quittée la ville, est tout ce qu’il y a de plus idiot. Cela ne ressemble pas à Sahar. L’attachement n’a jamais été pour elle. Elle doit cesser de divaguer et se recentrer sur ce qu’était réellement sa relation avec la blonde : un plan-cul régulier qui est devenue son amie au fil des mois.

- Parce qu’avec moi, ça fonctionnait plutôt bien, répond Sahar à Luther quand il lui demande pourquoi elle pose cette question. Plutôt très bien, même, se corrige-t-elle en se plongeant dans des souvenirs qui ne sont pas si lointains.

Sahar aurait pu se contenter de dire qu’Adelaïde était une de ses amies et que cela allait lui offrir une opportunité de la taquiner. Mais, une fois encore, Sahar n’a pas de tabou. À partir du moment où la professeure et elle n’hésitaient pas à s’embrasser dans des lieux publics lors de leurs retrouvailles, elle estime qu’Adelaïde n’a jamais eu à cœur de la cacher. Sous-entendre qu’il y a eu quelque chose entre elles ne dépasse donc pas les limites de l’acceptable.

- Tu as de ses nouvelles ? s’entend-t-elle demander d’un faux air détaché, juste avant de sortir son tabac à rouler et d'abandonner son verre derrière elle.

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· Mer 31 Jan 2024, 05:36

Cheers to the freakin weekend

@Sahar Hosseini

Il lève un sourcil quand elle fait une mine ingénue et prétend ne pas savoir autour de quel pot il lui a demandé ne pas vouloir tourner. Pas vraiment que la question le dérange, même si il ne voit pas trop l’intérêt de discuter de sa vie intime avec quelqu’un qui n’y prend pas part. Il hausse les épaules et lui demande d’un ton désinvolte “ Je sais pas … tu vas souvent voir les gens en leur demandant s' ils prennent leur pied au lit ? Qu’est-ce que ca peut bien faire si c’est pas toi qui couches avec ? ”. C’est une vraie curiosité de sa part, il aimerait bien qu’un jour quelqu’un lui explique pourquoi certains se mêlent de choses auxquelles ils ne prennent pas part en premier lieu. Lui est terriblement peu curieux, on lui reprocherait presque son désintérêt. Il vous interrogera poliment sur votre vie, mais ne vous attendez pas à le voir se décarcasser pour obtenir des réponses si vous minauder ou faites mine de pas vouloir lui en donner. Y a déjà bien assez de monde qui vient se confier à lui, parce qu’au fond il a l’oreille attentive et un sens du détachement qui remet les pieds sur terre. Mais il finit par comprendre l’intérêt de Sahar quand elle lui affirme qu’elle, elle prenait son pied avec Adélaide. Ha. C’était donc ça. Il ne sait pas ce qu’elle attend de lui face à cette affirmation. Il boit une gorgée de champagne et grimace en se rappelant qu’il n’est pas le plus grand amateur de ce vin effervescent qui goûte un peu trop la levure à son avis, et puis il finit par lui sortir un “ Cool ” dont l’on entend une légère interrogation. Il n’a aucune idée de ce qu’il est censé faire avec cette information. Puis il part d’un rire léger et ajoute “ Je suis content pour vous ? ” Il se demande vaguement si Adélaide tient particulièrement à ce que ses partenaires se promènent dans les soirées en affirmant à qui veut bien l’entendre qu’ils prennent leurs pieds ensemble. C’est bien pour ça qu’il ne s’était pas permis de la nommer, prenant soin de rester vague dans son explication. Mais de toute évidence, il n’a pas suffisamment été discret pour préserver son anonymat et il se sent un poil désolé pour elle. Comme s’il avait par erreur trahi un peu de leur intimité sans lui demander sa permission. Il sait en tout cas que lui n’apprécierait pas tellement l’initiative. Qu’il se permette de parler sa vie intime à des amis, c’est une chose. C’est son choix, il l’a fait en connaissance de cause et a choisi les détails qu’il acceptait de donner, rien de trop graphique parce qu’il est habité d’une certaine pudeur Luther. Mais il se sent un peu responsable pour Adélaïde, se demande presque s' il va pas finir par lui envoyer un texto pour s’excuser de l’indiscrétion. Sahar le sort de ses pensées quand elle demande s' il a des nouvelles d'Adélaïde. Il relève la tête et sourit. Voilà une question qui le met bien plus à l’aise. Pas de mystère là dedans. Pas de tabou.“ Oh oui, j’en ai et j’en donne par texto. Elle m’envoie des nouvelles de Sophie, tout ça … ” Il a développé un certain attachement pour la nièce d’Adélaide à force de les côtoyer le dimanche matin pour du tutorat en maths avancé. “ Et toi ? Vous tenez la distance, tu as eu l’occasion d’aller la voir ? ” Quand elle lui a affirmé que c’était le pied pour elles, il n’a pas noté le passé et pense que l’affirmation est toujours d’actualité.

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· Sam 10 Fév 2024, 16:26

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(Rooftop) ⋄ En demandant à Sahar s’il lui arrive fréquemment d’aller voir des gens pour leur demander si leur vie sexuelle est épanouie, Luther ne s’attend probablement pas à en obtenir une vraie réponse. Sa question est rhétorique, il ne peut en être différemment. Parce qu’en vérité, la galeriste pourrait répondre par l’affirmative à cette interrogation. Elle qui n’a pas de tabou et qui n’est offusquée par aucun sujet ne pourrait pas prétendre qu’elle ne demande jamais à ses interlocuteurs s’ils s’amusent au lit. Il n’est pas rare que les expériences sexuelles viennent se nicher au cœur de ses conversations, moins encore lorsqu’on connaît sa tendance à séduire et sa capacité à rentrer avec des conquêtes différentes toutes les semaines.

Bien consciente que Luther semble moins à l’aise qu’elle à l’idée d’évoquer ce sujet tous les deux, Sahar préfère donc se retrancher derrière un sourire. La deuxième interrogation de Luther – qu’est-ce que ça peut bien lui faire, si ce n’est pas elle qui couche avec la personne – est en partie répondue par la suite la conversation. La mention faite à Adelaïde créée le pont entre l’entrée en matière de Sahar auprès de Luther et le fait qu’elle, elle s’amusait avec la professeure. Pourtant, Luther ne semble pas vraiment savoir comment composer avec cette information. Sahar, elle, ne prête que peu d’attention à la réaction de l’homme qui lui fait face. Il ne lui en faut pas davantage qu’une simple mention à Adelaïde pour se sentir nostalgique. Si elle poussait la réflexion plus loin, elle se rendrait peut-être également compte que c’est le manque de la blonde qu’elle ressent et qui l’a poussée à jouer les fouineuses. D’ailleurs, ce serait mentir que de dire qu’une partie de Sahar n’a pas été piquée quand elle a appris que la blonde avait eu cette aventure loupée avec quelqu’un d’autre. Avec quelqu’un d’autre, là où Sahar ne voyait plus personne d’autre qu’elles depuis plusieurs semaines déjà. Point qu’elle s’est bien gardé d’aborder et qu’elle a volontiers conservé pour elle.

- Oh, non, s'empresse de réagir Sahar. Non, non, non. Il n’y a pas à être content de quoi que ce soit, préfère-t-elle préciser.

Elles n'étaient qu'amies, rien de plus. Voilà ce que Sahar aurait pu ajouter. Mais la question de la véracité de ces propos se pose. Étaient-elles réellement amies ? Au vu de la façon dont leur « amitié » a pris fin, il est permis de se poser la question. À la différence de Luther, Sahar, elle, n'a pas la moindre nouvelle d'Adelaïde. Il faut dire qu'elle ne cherche pas à en avoir et qu'elle a préféré couper court à leur relation dès lors que leurs parties de jambes en l'air n'avaient plus possibilité d'être. C'est plus simple ainsi. Encore aujourd'hui, Sahar essaie de s'en convaincre. L'intérêt qu'elle porte encore pourtant à la professeure est évident et parfaitement mis en lumière ce soir.

- Je vois, c'est cool, réagit-elle en feignant le détachement avant d'être surprise par la dernière question de Luther. Tenir la distance ? répète-t-elle dans un rire qu'elle étouffe par une gorgée de champagne. Qu'est-ce qu'elle t'a dit, pour que tu me demandes ça ? Et non, je ne suis pas allée la voir, lui répond-t-elle tout de même.

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· Ven 01 Mar 2024, 04:47

Cheers to the freakin weekend

@Sahar Hosseini

Luther a cette ambivalence de n’être pas dérangé pour un sous de parler de sexe mais de ne se montrer guère enthousiaste à entrer dans les subtilités de sa vie intime à lui. Il part du principe qu’à moins de débriefer avec la personne qui partage votre lit, ça ne regarde pas grand monde et n’a d’intérêt que pour vous. Il préfère cultiver un jardin secret, une complicité partagée à deux. Et donc, à mesure que la conversation s’éloigne de la déconfiture de sa nuit avec Adélaide, il se détend. Il finit par terminer sa flûte en baissant le regard sur le visage de Sahar, l’observe avec un air interdit puis légèrement interloqué sur le visage tandis qu’elle proteste sur le fait qu’il ne doit surtout pas être content pour elle. Ha. Très bien ? Dans ce cas, il ne sait pas trop ce qu’il doit ressentir à l’égard de ces informations nouvelles. De la curiosité, peut-être ? Au moins un minimum d’amusement, d’ailleurs c’est ce qui le traverse quand il la voit feindre le détachement. Elle a beau poser ses questions avec un air d’indifférence, il la trouve un peu trop sur la défensive pour être convaincante.

Si sa manière de l’aborder l’a dans un premier temps mis mal à l’aise, il doit dire que cela devient presque divertissant. Il aurait un esprit particulièrement pervers et sadique, il s’en délecterait. Comme ce n’est pas le cas et qu’il a tendance à tomber rapidement dans l'empathie, si elle continue comme ça, elle sera bientôt à deux doigts de lui inspirer de la pitié. Mais pour l’instant, il n’y pense pas. Il se contente de hausser les épaules quand elle lui demande ce qu’Adélaide lui a dit. Rien, en l'occurrence. “ Elle m’a rien dit du tout, Sahar. C’est toi qui viens de m’apprendre que vous couchiez ensemble … Je ne savais même pas que vous vous connaissiez. ” Il trouve le ton de Sahar vif et sa réponse un peu trop empressée. Il se demande s’il a fait une bêtise, s’il a ravivé une blessure involontairement ce soir. Sa bouche se tord dans une grimace contrite “ Mes excuses, c’est moi qui est assumé que, hé bien … ” Il a supposé qu’elles se voyaient toujours et qu’elles s’étaient peut-être engagées dans une relation à distance. Un truc comme ça. “ vous vous voyiez toujours, mais je me suis trompé, c’est pas grave … ” Il la dévisage un instant et puis l’interroge “ Ce n’est pas grave, n’est-ce pas ? ”. Il ne comprend toujours pas très bien où ils s’en vont avec cette conversation et même s' il n’est pas très proche d’elle, il n’a pas envie de blesser ou d'embarrasser Sahar. Avec une certaine hésitation dans la voix, il ajoute “ Mh, si je lui reparle prochainement ” il recherche ses mots, comme s' il n’était pas si sûr de lui parler prochainement alors qu’il sait pertinemment qu’il échange régulièrement avec sa collègue, comme avec n’importe quel ami. “ est-ce que je suis, heu je sais pas … censé lui passer tes salutations ? ”.

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Sahar Hosseini
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à contacter : Yaël Saunders
présence : Présente
Cheers to the freakin weekend (Luther & Sahar) Ojhm
âge : 38 ans. Sahar est née le 28 novembre 1985.
statut civil : Célibataire, sans enfant. L'engagement en amour, très peu pour elle. Et des enfants, elle n'en veut pas.
occupation : Propriétaire de la Hope of Shades Art Gallery sur south bank & west end. Sahar aime dénicher de nouveaux artistes et exposer ceux issus des minorités que les autres galeries jugent comme n'étant pas prêts.
adresse : Un appartement haut perché qui dispose de tout le confort nécessaire et d'une vue imprenable sur le cœur de ville et la Brisbane River situé au #66 central business district.

intervention pnj : Oui
pronom perso : Elle
trigger : à discuter ensemble
warning : Jeux d'argent, relations familiales conflictuelles
infos rp : ± 500/1000 mots ⋄ ≈ 10/15 jours ⋄ #6d9a40
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· Sam 09 Mar 2024, 22:04

Cheers to the freakin weekend

@Luther Kealoha & @Sahar Hosseini


Sixteen Antlers Rooftop bar20 janvier 2024‎ ‎ ‎ ‎›‎‎ ‎  22:29‎ ‎

(Rooftop) ⋄ Elle se fait avoir à son propre jeu, Sahar. Elle le voit bien, le vent qui tourne. Elle a conscience que c’est elle qui va finir par être mal à l’aise si la conversation se poursuit sur Adelaïde. Mais ne l’a-t-elle pas cherché ? Bien sûr que si. Pourtant, il n’est pas dans les habitudes de la galeriste, ni même dans son tempérament, d’être mal à l’aise. Elle assume chacun des choix qu’elle fait. Le seul avec lequel elle n’est pas à l’aise, en revanche, c’est celui qu’elle n’a pas réellement choisi. C’est cet attachement un peu trop prononcé qu’elle a développé pour la professeure d’histoire. Cet attachement particulier qui, au cours des semaines précédant son départ, ont fait que Sahar ne voyait personne d’autre qu’Adelaïde. Cela ne ressemble pas à cette femme qui fuit toute sorte d’engagement et qui vit sa vie tel un électron libre. Elle est consciente qu’Adelaïde a opéré le commencement d’un changement chez elle. Son aventure loupée avec Luther, puis son départ, ont toutefois coupé court à tout cela. Et ce serait mentir que Sahar n’a pas vécu cela comme une douche froide.

Elle se sent idiote, Sahar, de s’être un peu trop attachée à la blonde. Elle se sent même conne d’avoir pensé lui offrir une place un peu plus particulière que ses autres conquêtes. Car elle n’oublie pas qu’elle était prête à lui demander de l’accompagner au vernissage de l’exposition qui se tient actuellement dans sa galerie. Elle garde à l’esprit qu’elle avait envie d’apparaître en public avec cette somptueuse femme à son bras. Les gens auraient cru qu’elles étaient ensemble. Oui, et ? Sahar en avait envie, qu’importe ce qui se serait dit.

Or, force est de constater, une nouvelle fois, qu’il n’en allait pas de même du côté d’Adelaïde. De toute évidence, celle-ci n’a parlé à personne de l’existence de Sahar. Elle n’a d’ailleurs pas hésité à voir d’autres personnes - dont Luther. Sahar ne peut pas l’en blâmer. Leur relation a toujours été claire et il n’a jamais été question de faire preuve de quelque exclusivité que ce soit. Elles n’étaient que des amantes. Des amantes devenues amies. Puis des amantes retombées dans l’oubli.

- Oh non, non, s’empresse de réagir Sahar. Ce n’est pas grave. Pas grave du tout. Il n’y avait strictement rien de sérieux, explique-t-elle à son interlocuteur.

Il lui aura fallu quelques minutes et vider sa coupe de champagne, mais Sahar est à nouveau en phase avec ses émotions. Elle parvient à chasser la légère peine qu’elle a ressenti et à prendre du recul sur tout ceci. Elle se remémore l’absence de promesse et, surtout, son incapacité totale à vivre quoi que ce soit de sérieux avec qui que ce soit.

- Non, c’est gentil, mais ce n’est pas la peine, refuse Sahar quand Luther lui demande s’il est censé lui passer ses salutations lors de leur prochain échange. Nous sommes assez grandes pour nous écrire si nous en ressentons l’envie. Nous ne sommes pas en mauvais termes ; nous ne sommes seulement plus en contact.

Elle adresse un sourire à l’homme pour confirmer ses propos, alors qu’elle s’autorise à se resservir un verre. Elle propose d’en faire de même avec la coupe vide de Luther puis agit en conséquence, avant de reprendre.

- Puisque tu as eu l’honneur de voir mon absence totale de tact, est-ce que j’ai le droit de te demander ce que tu faisais dans ton coin ? s’enquiert-elle.

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occupation : Professeur de mathématique à temps plein, instructeur de surf et escalade à temps perdu
adresse : Un appartement dont il est propriétaire dans une ancienne usine réhabilitée de West End. Situé à quelques minutes de son travail et de son potager partagé, c'est pas faramineusement grand, mais il l'a entièrement rénové à son gout, c'est son cocon.
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· Jeu 14 Mar 2024, 23:38

Cheers to the freakin weekend

@Sahar Hosseini

Il hoche la tête d’un air inspiré pendant qu’elle lui explique qu’elle a besoin de personne pour saluer quelqu’un si elle le souhaite. Il hausse les épaules et répond “ Comme tu veux ” à cette affirmation qu’il trouve un poil sur la défensive. Mais bon, pour être totalement honnête cela lui importe peu, c’était une proposition très polie, usuelle. Si elle ne souhaite pas que Luther passe le bonjour de sa part, il n’y voit rien à redire. S' il était commère, il profiterai probablement de la prochaine salve de sms avec Adélaïde pour glisser qu’il a vu une certaine Sahar - wink wink - et qu'après un léger malaise, la conversation s'était presque mue en divertissement fort intéressant. Mais on ne peut pas vraiment lui reprocher son indiscrétion. Ni même d’aimer se délecter de voir une araignée s'empêtrer dans sa propre toile. Donc il gardera pour lui cette rencontre et ces révélations inattendues.

Il décline tranquillement la proposition de coupe de champagne. Il a toujours eu une consommation très raisonnable d’alcool et entre le verre de vin, la coupe de champagne et un cocktail qui a précédé le repas ; il a déjà largement dépassé ses habitudes. Il va probablement tourner au Perrier pour le reste de la soirée, s’autorisant peut-être un mocktail dans une ou deux heures, si il a une petite envie de sucre. Quand elle l’interroge sur la raison qui l’a poussé à s’isoler un instant, il lui faut un instant pour s’en souvenir. Il lève les yeux vers le plafond, la bouche froncée dans une mine de réflexion et puis finit par répondre “ Ha oui, je sais … je textais Elliot, hm, mon ex ; tu l’as déjà rencontrée je l’ai emmené à quelques vernissages de Callie. ” précise-t-il, bien qu’étant conscient que son petit coeur d'artichaut a bien souvent été accompagné de ses compagnes du moment lorsqu’il se rend aux expos de sa meilleure amie. Certes, Elliot est celle qui a fait preuve de longévité, mais il n’attend pas de Sahar qu’elle en est particulièrement gardée souvenir. Il lui raconte d’un ton léger “ J’ai oublié des affaires sur la plage après ma séance de surf aujourd’hui, il se trouve qu’elle y était aussi alors je lui ai demandé si elle pouvait me les ramener. ” avant d’ajouter d’un ton penaud “ Mais comme je courais après le temps pour être à l’heure ici, j’ai récupéré mes affaires comme un voleur avant de m'éclipser, donc je lui envoyais un petit message pour la remercier. Et m’excuser. ”. Il termine son explication par un haussement d’épaules et un sourire de vilain garnement. Luther c’est le pro quand il s’agit de rester en bons termes avec ses exs, envers et contre tout. D’une manière générale, il n’est en bisbille avec personne. Il trouve que cela demande trop de temps, d'énergie et d’espace mental. Ses relations amoureuses n’échappent pas à la règle, même si cela entraîne parfois des situations cocasses. Une petite pensée pour les sms fort alcoolisés qu’Elliot lui a envoyé la semaine précédente lui fait ouvrir des gros yeux et lever les sourcils. Raison de plus pour ne pas boire trop d’alcool !

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· Sam 30 Mar 2024, 16:36

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@Luther Kealoha & @Sahar Hosseini


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(Rooftop) ⋄ Elle n’a pas pour habitude d’avoir l’alcool triste, Sahar. Pourtant, ce soir, il est évident que le fait de parler d’Adelaïde a provoqué quelque chose en elle. Elle ne saurait dire s’il s’agit de nostalgie ou de déception ; la seule chose qu’elle sait, la galeriste, c’est qu’elle n’aime pas l’orientation qu’a commencé à prendre sa relation avec la professeure avant de s’arrêter brusquement. Elle détesterait presque le fait de lui avoir accordé plus d’importance qu’à ses autres conquêtes. Tout bien réfléchi, qu’avait-elle de plus que les autres, la blonde ? Sahar n’en a pas la moindre idée ; elle pourrait passer des heures à se questionner sur le sujet, elle n’en ressortirait pas beaucoup plus éclairée. Et ce n’est certainement pas Luther qui l’aidera dans cette introspection, peu bavard et peu curieux qu’il est.

Le mieux est encore de laisser tout ceci derrière elle. Sahar ne s’est jamais arrêtée sur ses états d’âme ; les sentiments amoureux des uns et des autres – les siens compris –, elle préfère les fuir comme la peste. Parce que jamais rien ne ressort de bon dans une situation où les prémices de l’amour s’immiscent. Preuve en est : alors que sa conversation avec Luther dévie sur un autre sujet, il évoque une ex. Une ex avec qui, il semble avoir gardé de bons rapports, mais qui demeure tout de même une ex. C’est d’une oreille tout de même attentive que l’iranienne écoute ses explications tout en buvant – trop vite – son nouveau verre de champagne.

- Je crois comprendre qu’il y a beaucoup de nanas qui passent dans ton lit. Je ne suis pas certaine de me rappeler d’une certaine Elliot.

Il faut dire que Sahar l’a vu plus d’une fois être accompagné par des femmes différentes aux expositions de Callie. Alors que la galeriste termine la dernière goutte de son spiritueux, elle hausse les épaules en réfléchissant après coup à ce qu’elle vient de dire et à comment elle l’a dit. Ses paroles sont loin d’être méchantes ; pourtant, elles recèlent une certaine amertume. Toujours la même ; toujours la même cause. Sahar n’arrive pas à s’enlever de la tête que la direction que prenait son histoire avec Adelaïde s’est subitement arrêtée à cause de son écart avec l’homme qui se tient aujourd’hui face à elle. Mais y est-il pour quelque chose ? Sahar connaît la réponse et sait très bien qu’elle est la seule personne à blâmer dans cette histoire. La seule qui s’est un peu trop attachée.

- Donc tu es le genre de gars à rester ami avec tes exs ? T’as pas peur que ça les empêche de tourner complètement la page ou qu’elles s’attachent à nouveau ? s’enquiert-elle en sortant son paquet de tabac de son sac ainsi que tout son arsenal pour confectionner sa cigarette roulée, tout en étant réellement intriguée par la réponse. Il faut dire que Sahar ne connaît pas les histoires sérieuses et, ce faisant, elle ignore ce que ça fait de rester amie avec un.e de ses exs.

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· Dim 31 Mar 2024, 00:00

Cheers to the freakin weekend

@Sahar Hosseini
Il aurait eu un verre de champagne à finir, il en aurait probablement recraché le contenu de surprise en entendant Sahar lui assener qu’un certain nombre de nanas passe dans son lit. Malheureusement, son verre est vide et la dernière gorgée avalée depuis un moment. Donc il se contente d’ouvrir de gros yeux, avec sa bouche qui laisse échapper un petit hoquet très collet monté. Il sent la chaleur envahir son visage alors que ses tempes rougissent et puis il finit par protester en levant les yeux au ciel “ J’m’habituerai jamais à ton franc-parler, bon sang … des nanas qui passent dans mon lit, mais n’importe quoi. ”. Son regard dévie vers Callie. Il a presque hâte du moment où il se penchera vers l’artiste pour lui chuchoter d’un ton désabusé sérieusement ta galeriste ou impresario ou whatever, le tact elle connait pas ?, avant de lui raconter d’un air scandalisé qu’en dix minutes il a le droit à Adélaïde puis à une remarque sur le nombre de nanas qui passent dans son lit. Compter sur lui pour répéter le mot nana d’un ton outré. Il plisse les lèvres et rectifie en bougonnant  “ J’me laisse facilement séduire, oui, ok mais désolé hein, c’est juste dans mon caractère. ” qu’il râle en essayant de se défendre. C’est qu’il a l’habitude qu’on le charrie parce qu’il crush sur tout le monde et n’importe qui très rapidement. Il a toujours gardé un point d’honneur à être fidèle et à ne pas faire tourner en bourrique les femmes en question en revanche. Pour essayer de reprendre contenance, il fait signe à un serveur à qui il demande un perrier-citron. Finalement, la conversation dérive sur ses habitudes post-break up et il hausse les épaules. “ Bah, pas avec toutes, hein … Tu peux pas imposer une amitié comme ça. Mais bon, j’aime pas partir fâché. Avec n’importe qui, girlfriend ou pas, en fait. ” Au pire, il perd simplement contact, comme avec Nelly. Mais ce n’est certainement pas lui qu’on verra éviter ou pire insulter une ancienne compagne. Il hésite quand elle demande si il n’a pas peur que ça empêche de tourner la page. “ Je ne sais pas, c’est un équilibre j’imagine. Et du cas par cas aussi. Des ground rules, tu poses des limites. ” Il pense aux emojis d’Elliot et aux règles qu’il a imposées à leurs communications. Il se rappelle qu’au début elle lui a confié qu’elle savait pas trop comment gérer et il reconnait “ Je dis pas que c’est toujours facile, hein. Mais parfois y a des liens amicaux qui méritent de subsister, même si le couple existe plus. " Il pense à Juliet. “Et puis des fois, t'as pas trop le choix. Si tu évolues dans le même cercle amical, tu vas bien finir par les recroiser, il vaut mieux avoir une relation amicale, au moins neutre ; plutôt que de mettre tout le monde mal à l'aise parce que tu peux plus voir l'autre." C'est comme ça qu'il a revu Elliot, des soirées d'amis communs. " Et puis bon, si tu vois que ça ne peut pas fonctionner, bah tu coupes les ponts. ” Là dessus, son perrier arrive. Il en boit une gorgée avant de prélever le citron et de croquer dedans. Il finit par ajouter “ Enfin, il y a toujours pas mal un moment de silence tu vois, c’est juste qu’après, si tu les recroises, tu peux, j’sais pas, tu te montres amical et tu renoue des amitiés. ” Au bout d’un ou deux mois ou d’une dizaine d'années. C’est pas la patience qui lui manque à Luther.

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· Dim 14 Avr 2024, 18:17

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@Luther Kealoha & @Sahar Hosseini


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(Rooftop) ⋄ Ce n’est certainement pas Sahar qui jugerait ce qui se passe dans le lit des autres. Pas même si ce lit est fréquemment occupé et par des personnes toujours différentes. Elle est la première à vivre ce type de vie, à se satisfaire d’amour éphémères, d’aventures sans lendemain. S’il est vrai qu’elle a vu à plusieurs reprises Luther être accompagné de femmes différentes lors des expositions de Callie, il pourrait valablement lui faire remarquer que, de son côté, si elle arrive souvent seule, repart la plupart du temps accompagnée. Il y a pourtant, semble-t-il, une différence importante entre eux deux. Là où Sahar refuse toute forme d’attachement, le professeur semble enclin à vivre de nouvelles histoires, à accepter l’émergence des sentiments. C’est d’ailleurs pour cela que leur discussion peut également s’orienter sur les habitudes post break-up.

- Oh, ce n’est pas moi qui vais te faire la leçon ou juger quoi que ce soit, Luther.

Elle préfère le préciser, Sahar. Pour qu’il n’y ait aucune mauvaise compréhension et que ce soit très clair pour son interlocuteur. Si elle est venue le chercher et qu’elle l’a peut-être un peu piquée s’agissant d’Adelaïde, c’était uniquement parce que cela concernait justement Adelaïde. En ce qui concerne les autres conquêtes du quarantenaire, les choses sont bien différentes. Elles le seraient même s’ils venaient à s’apercevoir qu’ils comptent des amantes en commun. Une fois encore, cela est révélateur de la place particulière que la professeure d’histoire était en train de se créer dans la vie de Sahar. Une chance, finalement, qu’il n’y ait pas eu de réciproque et qu’elle soit partie avant que la galeriste ne se laisse réellement enliser dans cette merde qu’est l’amour.

- T’es canon, sociable et tu présentes bien. Tu aurais tort de ne pas en profiter.

Un léger air de désinvolture marque les traits de l’iranienne qui, déjà, colle la feuille de sa cigarette pour parfaite le cylindre parfaitement formé qu’elle vient de créer. Des années de pratique en roulage de cigarettes pour un rendu presque irréprochable. Ce domaine est bien loin de celui qu’ils évoquent et dans lequel Sahar excelle bien moins : les nouvelle habitudes à créer avec un.e ex après une séparation. Luther, lui, est enclin à partager son expérience, et c’est avec une véritable attention que Sahar l’écoute en grillant sa cigarette.

- J’ai l’impression que tu parles en connaissance de cause et que ta vie personnelle connaît chacun de ces cas de figure, s’étonne Sahar. Tu es plus que quelqu’un qui se laisse facilement séduire, tu es un véritable Dom Juan !

Une fois encore, cela n’a rien d’un reproche dans la bouche de Sahar. Elle commence même à s’amuser de la situation, maintenant que l’image d’Adelaïde est partie voguer au large.

- C’est intéressant, ce que tu dis. J’imagine que chaque histoire a ses spécificités et que ce qu’il peut advenir après une rupture dépend des volontés et des caractères de chacun. Mais il y a quand même un truc qui m’interroge. J'ai l'impression que tu n'as pas totalement répondu à ma question.

Un instant, Sahar regarde Luther. Il a déjà noté à plusieurs reprises ce qu’il qualifie son manque de tact ou son franc-parler. Rechercherait-elle son assentiment avant de l’étonner à nouveau ? Ce n’est pas certain. Elle attend uniquement d’avoir un regard de l’homme pour poursuivre.

- Tu n’as pas peur qu’il y ait un risque de rechute ? Je ne parle pas forcément de recoucher avec la personne, précise-t-elle sans avoir conscience qu’elle emploie un vocable médical pour parler des relations amoureuses. Plutôt de prendre le risque que des sentiments réapparaissent ? Ça a bien dû t’arriver : pas forcément que tes sentiments à toi reviennent, mais les leur. Comment tu fais, dans ce cas ?

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· Lun 29 Avr 2024, 05:15

Cheers to the freakin weekend

@Sahar Hosseini
Les compliments de Sahar le font sourire et il répond en les balayant de la main avec une fausse modestie pleinement assumée “ Ha, cesse donc, j’vais finir par croire que tu veux m’mettre dans ton lit, et hé bon, comme t’a compris je suis pas bien difficile à convaincre mais n’exagérons rien ” qu’il rigole, sans croire un mot de ce qu’il dit, avec la même désinvolture qu’elle. Ils savent tous les deux qu’il n’en ai rien et que ça serait le comble du mauvais goût alors qu’ils viennent de passer cinq minutes à parler de leur conquête commune. Pour être honnête, même si il avait eu des velléités, elles auraient été réduite en cendre bien rapidement. Luther fixe d’un œil suspicieux la clope qu’elle est en train de se rouler. Aussi réussie soit l’entreprise - il ne doute pas que cela vienne d’années de pratique -, il est curieux de voir si elle va avoir l’audace de contrevenir à l’interdiction de fumer dans une zone de restauration. Et croyez-le, il ne sera pas du tout impressionné par cette audace. Il n'a jamais apprécié l’odeur du tabac, il est plutôt connu pour froncer le nez quand une cigarette est allumée à moins de dix mètres de lui. Sa moue désapprobatrice se détourne en grimace quand elle lui sort qu’il est un Dom Juan. Il a déjà assez souvent entendu ce commentaire pour s’être bien renseigné sur le personnage. Elle a beau lui assurer qu’elle juge pas et lui donner sa bénédiction, il ne voit pas franchement la comparaison comme un compliment. “ J’préférai tes louanges, si t’y vois pas d’inconvénients. J’peux pas dire qu’être comparé à un arnaqueur sentimental m’fasse plaisir. ” Il ne prétend pas n’avoir jamais provoquer de chagrins d’amour, pas plus qu’il chercherait à dire qu’il n’en a jamais vécu. Cela fait parti des risques encourus. Mais il a toujours mis un point d’honneur à se comporter correctement. Rien à voir avec Dom Juan. Il finit par hausser les épaules quand elle redemande si il n’a pas peur que ses exs retombent amoureuses de lui. “ J’crois pas que ça me soit déjà arrivé. ” Il sait qu’il est peut-être pas tout à fait honnête vu les sms qu’Elliot lui a envoyé la semaine dernière. Mais qu’importe, la rupture est trop récente, ça ne compte pas vraiment. Et puis, ils s’aimaient encore quand ils ont rompu donc c’est différent pense-t-il. “ Et puis, j’sais pas, si ça fonctionne pas, tu coupes les ponts. Tu perds un ami mais si tu gagnes en tranquillité j’imagine … ” répète-t-il, avec une désinvolture feinte. Il dit ça mais il y a quand même quelques unes de ses anciennes relations dont il ne perdrait l’amitié pour rien au monde. Juliet s’est trop imbriquée dans sa vie et il est curieux de voir où ses retrouvailles avec Nelly vont le mener, quand bien même la quarantenaire est un peu difficile à suivre. Après avoir bu quelques gorgées de son verre, il demande avec une curiosité un peu sceptique “ Pourquoi toutes ces questions ? Tu fais du benchmarking ? T’as envie d’élargir tes horizons ?  ”. Avec un sourire il ajoute " Ca fait pas de mal de changer d'habitude de temps en temps, ça pourrait te plaire, qui sait ? ". Lui même c'était jamais trop aventuré à des histoires qui duraient plus d'un an ou un an et demi, mais il doit reconnaitre qu'il a apprécié de passer trois années consécutives avec la même personne. Cela lui a permis de développer une proximité et une familiarité différente. Il se surprend à réaliser que c'est ce qu'il cherchera à développer dans ses prochaines relations.

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Cheers to the freakin weekend (Luther & Sahar)

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