Broken hearts club est un forum city basé sur l'amour où l'action se déroule à Brisbane, en Australie. BHC est un forum simple et sans prise de tête où le but est de se faire plaisir, de se détendre et de faire des rencontres.Chez nous, le respect de tous‧tes et la bienveillance font partie de nos valeurs, car il est important pour nous de faire de ce forum un endroit safe pour tous‧tes. N'hésitez pas un seul instant à contacter harlan myers, dora oliveira et scott reeves, vos admins, si vous avez la moindre question ou le moindre problème.
PNJ ☆ the love master heartbreak is the national anthem
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pseudo : new romantics.
id card : avatar@sweet poison, picture@tabitha turner.
intervention pnj : Oui
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· Dim 14 Juil - 16:35
la boîte aux rps
@Mia Geiszler & @Sailor Prescott Tu es sorti·e te balader cet après-midi, Mia. Parce que le temps est idéal, les températures douces. Tu as quelques petites courses à faire, en prime. Les heures passent sans que tu n'y aies vraiment fait attention, jusqu'à ce que ton estomac te ramène à la réalité en gargouillant. Tu as une petite faim et décides de t'arrêter dans un café pour manger un bout. Ton choix se porte sur une pâtisserie, que tu ne tardes pas à avaler. Seulement, voilà : tu sens vite que quelque chose cloche. Que cela te gratte un peu la gorge. Toi, Sailor, tu es assis·e à une autre table et tu remarques vite que Mia ne va pas très bien. C'est qu'iel a avalé une pâtisserie contenant un ingrédient auquel iel était allergique (qu'iel soit au courant de cette allergie ou non).
à savoir - Il n'y a pas d'ordre précis, débute le rp qui veut. - Une fois terminé pensez à faire archiver le rp et à réclamer vos points. - Amusez-vous.
_________________ COMPTE PNJ - NE PAS MP SAUF MENTION CONTRAIRE. (ne pas répondre au mp de membre en danger pour une demande de délai au risque que ce ne soit pas vu, contacter un compte admin, merci)
Mia Geiszler
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MEMBRE ☆ ordinary love we'll build our house in the trees
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pseudo : actias luna.
id card : emily rudd (actias luna -moi- & sial)
pronom irl : elle.
multicomptes : maxine specter
présence : présence réduite jusqu'au 30/09
âge : vingt-six ans. (︎, ︎, ︎)
statut civil : célibataire. elle est loin de vivre d'amour et d'eau fraîche.
occupation : agent de protection de l’enfance, orpheline placée après un drame familial, elle veut changer le système et faire en sorte que les enfants et adolescents qu'elle accompagnera ne vivent pas ce qu'elle a vécu.
adresse : un appart' au 496 SB&WE, avec plein de plantes. partout.
intervention pnj : Je ne sais pas encore
pronom perso : elle.
trigger : maltraitante animale, violences infantiles et sexuelles, inceste... (pas un trigger mais je ne joue pas les scènes hot)
warning : féminicide, violences familiales, dépression, anxiété, tentative de suicide
infos rp : j'écris en français, à la 3ème personne, au passé. et entre 600 et 800 mots, ou + selon l'inspi.
en vrac : végétarienne ☼ grande amoureuse des animaux ☼ passe sa vie au cinéma ☼ aime beaucoup cuisiner ☼ adore peindre ☼ fait de l'escalade ☼ passe son temps à écouter de la musique ☼ achète trop de livres alors qu’elle a une liste de livres à lire longue comme le bras ☼ plant mom. ☼ allergique à la cacahuète ☼ rêve d’avoir une grande ferme pour recueillir des animaux et de pouvoir aussi y accueillir des enfants et adolescents dans le besoin ☼ a peur du noir ☼ elle adore faire rire les autres ☼ vraie maman poule ☼ a trois fois trop de thé dans ses placards. adore les thés gourmands chelous ☼ a un sacré faible pour la nourriture asiatique ☼ toujours ok pour manger ☼ collectionne les pins ☼ mets toujours 10kg d’épices quand elle cuisine ☼ adore les orages et l’odeur de la pluie ☼ rêve d’avoir un chat ☼ adore les jeux vidéos et les jeux de société ☼ déteste les chewing gum ☼ aime faire du roller ☼ passe son temps à se cogner absolument partout
Petite journée sympathique. Ensoleillée et fraîche, mais juste ce qu'il faut. Une journée d'hiver douce et agréable qui avait fait sortir Mia de sa tanière en ce dimanche. Évidemment, Mia fit une petite pause pour grignoter une petite gourmandise. Un petit thé et un muffin, voilà de quoi recharger ses batteries après une grosse après-midi de marche dans le parc et en ville. Elle échoua au Merlo Coffee, un café qu'elle fréquentait de temps à autre, bien moins que le DBC, son quartier général. La jeune femme poussa la porte pour aller faire la queue, attendant avec hâte son tour pour mieux voir les pâtisseries et faire son choix. Elle attendit patiemment, puis une fois en face de la serveuse, elle la salua et observa la carte, puis la vitrine. « Ouuuh, bonjour toi. », lâcha Mia en se penchant devant celle-ci pour mieux admirer le joli muffin bien gonflé et doré à souhait qui y était exposé. Elle le pointa du doigt en relevant le regard vers la serveuse « J'aimerais beaucoup goûter ça, s'il vous plaît. Est-ce que vous savez s'il y a des cacahuètes là-dedans ? J'y suis allergique... », Mia grimaça et observa la brune de l'autre côté du comptoir qui s'en alla chercher une petite feuille plastifiée avec les allergènes. Après une petite minute de recherche, elle tendit la feuille à Mia pour que celle-ci vérifie à son tour. « C'est celui-ci ? », l'interrogea l'allemande en lui montrant la ligne en question. Affirmatif. OK, rien à signaler. Elle va pouvoir goûter à cette petite merveille, et rien que d'y penser, Mia salivait déjà. Après avoir remercié la serveuse, Mia finalisa sa commande, paya son dû et alla s'asseoir à une table. Elle ne quitta pas son muffin du regard, se pavanant joyeusement en inventant une petite chanson (qui restera secrète) en l'honneur de ce muffin délicieux qui lui ferait très plaisir, sans aucun doute. Mia et la nourriture, hein.
Une fois posée, Mia sirota tranquillement sa petite boisson, les yeux rivés sur son téléphone, en plein shopping en ligne. Elle zieutait des bouquins de botanique, encyclopédies de fleurs, plantes... Rien de bien étonnant pour la zinzin aux plantes qu'elle était. Sans quitter son portable des yeux, la jeune femme prit une bouchée de ce fameux et très désiré muffin. De courtes minutes plus tard, la jeune femme se racla la gorge et eut une sensation désagréable. Elle posa son regard sur la pâtisserie, les sourcils froncés, l'air inquiet. Ok, pas de panique., pensa Mia. C'était peut-être un hasard, autre chose, une légère allergie à un truc dans son thé ou allez savoir. Les secondes défilaient, et rien ne s'arrangeait. Elle sentit une chaleur désagréable l'envahir, sa langue commencer à la gratter de manière étrange, sûrement entrain de gonfler et sa gorge se serrer doucement. Mia venait d'ingérer de la cacahuète. La seule fois où elle décidait de venir ici, de goûter une nouveauté, voilà qu'on lui refilait de la cacahuète alors qu'elle y était allergique. Su-per. L'Allemande pouvait encore respirer, mais elle le savait, il fallait qu'elle agisse vite, car cela faisait des années qu'elle n'avait pas mangé de cacahuète par erreur, et elle ignorait comment son corps allait réagir. Elle retourna son sac sur la table, et quelle ne fut pas sa surprise de constater qu'elle n'avait ni antihistaminiques, ni corticoïdes dans ce sac. Pourquoi avait-elle décidé de changer de sac aujourd'hui, et de faire ça à la va-vite avant de sortir ??? Coup dur. Ok, Mia, c'est la merde.. Mia continua à chercher dans la moindre petite poche de son sac à dos, dans son porte-monnaie, tout en toussotant. Il devait bien y avoir un cachet quelque part, bon sang. Elle qui en semait partout en oubliant systématiquement qu'elle en avait déjà sur elle. Cela l'aiderait à gagner du temps avant d'aller aux urgences, car oui, si les symptômes empiraient encore, elle risquait de devoir y faire un tour. Quelle belle journée...
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( hard times )
Walking around with my little rain cloud hangin' over my head and it ain't coming down. Hit me with lightning, maybe I'll come alive
C'est un dimanche tranquille qui se profile, comme souvent. Celui-ci étant son seul vrai jour de repos, Sailor s'arrange généralement pour ne pas avoir de plans prédéfinis histoire de se reposer, et cette journée ne fait pas exception : s'il a tout de même laissé sonner son réveil pour profiter de la matinée en promenant longuement sa chienne, tout l'après-midi lui appartient, le laissant libre de flâner au gré de ses envies. Il a fini par se décider en faveur de ce cinéma spécialisé dans les films de patrimoine, attiré par une projection de Scarface ; et, encore un peu dans son propre monde au moment de quitter la salle obscure, a continué d'errer. Sailor se rend rarement à Paddington, à part pour fréquenter le cinéma en question et, lorsque cela arrive, ne prend pas le temps de s'y balader. Mais qu'aurait-il de mieux à faire, en un dimanche après-midi ensoleillé ?
Ses pas l'ont mené jusqu'à la devanture d'un petit café de quartier, aux effluves irrésistibles. Sailor y prend place après avoir commandé une boisson chaude, pouvant alors s'adonner à une autre de ses activités préférées – observer les gens, tout simplement. S'imaginer qui ils sont, ce qu'ils font là, et ce qui les attend, après. Il pourrait y passer des heures, bien que ce ne soit pas dans ses plans : les inconnus revêtent toujours quelque chose de passionnant, dans tout ce que l'on peut projeter sur eux. À une époque, Sailor aurait trouvé cela inspirant. Aujourd'hui, ce n'est plus qu'une manière un peu enfantine de passer le temps. Une distraction inoffensive – enfin, du moment qu'elle ne concerne que des étrangers.
Mais la personne qui passe la porte, tout juste une dizaine de minutes après que Sailor se soit assis, n'a rien d'une inconnue. Il lui faut quelques secondes pour le réaliser, pour relier les traits – qui ont tout de même bien changé – à un souvenir lointain. Quelques secondes qui auraient pu lui coûter cher, pour peu que l'intéressée ait un seul instant braqué les yeux sur lui : car elle, elle n'aurait sans doute pas été ravie de le croiser, et se faire attraper la main dans le sac, en train de l'épier de la sorte, n'aurait pas allégé sa sentence. Mais elle se choisit sa pâtisserie, et va s'asseoir à une autre table, frôlant la sienne sans même un regard. L'étau ayant soudainement comprimé sa poitrine se desserre un peu : reste l'appréhension qu'à tout moment, elle tourne la tête, et le voie. Elle n'aurait même pas à se tordre le cou. Un dodelinement du menton suffirait. La salle est minuscule, et le hasard, souvent cruel. Alors, Sailor vide d'un trait le reste de son gobelet, grimaçant de la tiédeur de son breuvage. Ce n'est pas qu'il veut absolument éviter Mia : mais il sait que c'est une mauvaise idée, tout simplement. Qu'il lui avait non seulement volé, en quelque sorte, son frère, et surtout que ce dernier avait risqué sa vie par sa faute. Peut-être que Mia n'est pas au courant de tout, mais dans le doute… la blesser par sa présence ne servirait à rien.
Il est en train de préparer sa sortie. Téléphone fourré dans sa poche, et sa légère veste rejoignant son dos après avoir étreint celui de sa chaise. Malgré sa hâte, il ne peut s'empêcher de lancer une oeillade à Mia, en se levant. Et de constater que quelque chose ne va pas : ses gestes sont agités, et en un rien de temps, elle a vidé le contenu de son sac sur sa table. Il voit le muffin tout juste entamé laissé là, la soudaine rougeur sur son visage. Et un souvenir lui revient en tête : une fournée de cookies qu'il avait offerte aux Geiszler, une éternité plus tôt, et qu'elle n'avait pas touché avant d'avoir la certitude qu'aucune trace d'arachides ne s'y cachait. Les arachides : Mia y est allergique. Et, même s'il serait surprenant qu'elle n'ait pas vérifié les risques de son en-cas, elle a tout l'air de faire un choc anaphylactique.
Il s'approche. Elle l'en détesterait certainement, mais c'est mieux que de la laisser s'étouffer. « Mia, ça va ? » Qu'il demande quand même, un peu pataud, pas sûr de ce qu'il faut faire. Peut-être qu'elle a les yeux rouges parce que quelque chose l'a faite pleurer, et qu'elle a vidé son sac en recherchant un bibelot qu'elle aurait oublié. Mais il entend la respiration sifflante. « C'est tes allergies, c'est ça ? T'as pas tes médicaments ? Il y avait des cacahuètes, dans ce muffin ? » Il s'est tourné vers la fille derrière le comptoir, qui le regarde alors avec des grands yeux, l'air d'un gamin qui s'est fait attraper en pleine bêtise. « Non, monsieur, j'ai vérifié quand elle… » « Elle fait une crise, là. Appelez les secours, dites-leur où on est. » L'urgence le rend directif : c'est plutôt utile car il voit la serveuse immédiatement porter son téléphone à son oreille. Tant mieux, car lui ne connaît ni le nom de l'établissement, ni son adresse, et n'a pas de temps à perdre à aller vérifier la devanture. À la place, il se concentre donc sur Mia. « On a appelé de l'aide, Mia, ça va aller. »