@Nova Davis & @Helios Specter
stresser. ce n'est pas quelque chose de commun entre tes doigts. mais la lueur de la déesse de ton coeur fait que le rythme s'accélère. myocarde en panique. adolescent sans aucun courage devant la déesse des fantasmes. elle devient reine de ton monde. oh helios, soleil vivant, tu ne peux qu'admirer l'éclat du regard de cette beauté en te demandant si tu pourras un jour glisser tes doigts dans sa chevelure en lui exprimant les cris et débats de ton cœur. alors tu roules. roules jusqu'à la destination alors que le soleil commence à prendre congés après sa journée. étoiles qui se manifesteront petit à petit dans le ciel. comme dans tes yeux en l'admirant. conseil que tu aurais pu prendre de ta tante ou de ton père. relation qui n'a jamais pris un autre chemin que l'amitié quand l'organe hurle de goûter aux lèvres de la jeune femme. tu te sens parfois pathétique face à une situation qui dure depuis longtemps. âge de prendre des décisions comme un grand. esprit perdu dans une infinité de scénarios sans queue ni tête. pourvu que le monde te laisse enfin avouer tes sentiments à la belle.

place trouvée pour le véhicule. le bruit des vagues rassure ton cœur dans cette course infernale. à quoi bon attendre quelque chose que tu aurais dû faire des années auparavant. l'espoir. le désespoir. l'amour profond que tu as ressenti pour elle. amour encore présent. puis tu tournes le visage alors que ton corps est contre ton véhicule quand tu entends un autre moteur au loin. sourire qui se dessine sur des lippes toujours habillées de ce dernier. « hey nova, je suis juste là ! », que tu annonces à la jeune femme quand tu penses la reconnaitre au loin. myocarde qui s'agite contre la poitrine. beauté divine sous les yeux, sous le ciel qui accueille l'amour éternel que tu ressens pour elle. des pas qui vous séparent disparaissent quand tu t'approches d'elle. « j'espère que la route n'était pas trop chiante pour toi... »

@Nova Davis & @Helios Specter
elle porte l'esprit aux étoiles, nova. astre nébuleux qui porte ses pensées aux paillettes nocturnes, paisible au possible. elle a le coeur chantant, l'âme à la fourberie. femme-enfant, enjouée, elle communique des envies de balade à la douceur d'une âme semblable à la sienne. garçon qu'elle a toujours sû attendrir, chérir malgré les années qui passent. il est là, toujours présent auprès de la blonde. petit bout d'être humain qui porte bien des cicatrices, trouvant refuge auprès de celui qui a su voir en elle, ce que d'autres n'ont pu voir.

reconnaissance éternelle qu'elle lui porte alors qu'il est celui dont on se moquait également, autrefois. vies troubles. l'un et l'autre, ont appris à nager à contre-courant pour leur propre survie. aujourd'hui, l'âme paisible, ou presque, elle se laisse porter nova, pour ainsi bercer le coeur en quête d'affection. elle qui n'a jamais réellement su aimer, se voit aujourd'hui caressé par des envies de nouvelle idylle. ainsi, c'est la fourberie au creux de ses mots qu'elle dessine un semblant de cible auprès d'un ami. l'envie de débusquer des sentiments plus qu'amical. l'envie de creuser là où il ne faudrait sans doute pas. le gout de risque.

elle offre alors un détour à ses envies de soirée en tête à tête pour s'offrir de quoi grignoter. de quoi combler son faux courage. intimidation soudaine qui se loge dans l'esprit alors que la course sonne et que les bras sont inondés de sucreries en tout genre. c'est ainsi qu'elle rejoint le lieux de rendez-vous avec un léger retard. « oh ! helios ! » princesse au rire léger, elle se sait en retard, mais n'est-ce pas là sa marque de fabrique, elle qui est hissée sur de haut talons. petit bout de femme, forcée de tricher pour paraitre bien plus grande qu'il n'y parait, faisant ainsi face au garçon qui l'attendait visiblement depuis un petit moment. « ahah ! la route a été bonne, et toi, pas trop attendu ? » sans gêne aucune, la voilà qui comble le vide des bras de son interlocuteur, de divers sacs emplis de nourriture en tout genre. « porte moi donc ça s'il te plait, ça commence à faire lourd pour mes petits bras ! » rire moqueur alors qu'elle observe l'autre être à son tour noyé sous les achats, quelque peu compulsifs, de la blonde. c'est pas trop lourd pour toi ? de toute façon, t'es un bonhomme, c'est dans votre nature de porter nos sacs ! »

@Nova Davis & @Helios Specter
tu es trop souvent dans ton monde helios, surtout quand tu pouvais lui avoir dit tes sentiments un bon nombre de fois depuis que tu as eu la jeune femme sous tes yeux. mais comment faire quand tu sais que ton passé n'est qu'un bordel avant que ton père et ta mère viennent te sauver de tout ça ? mauvaise blague de ta part. moqueries omniprésentes dans vos deux vies. une blague de trop pour certains, alors que ton monde la voulait comme partenaire. et tu la regardes encore, étoiles dans les yeux, espoir de prendre un courage qui s'est envolé. où est l'enfant devant sa caméra ? où est l'enfant qui n'a pas peur d'aller vers les autres ? perdu face à la chaleur que lui transmet la belle sous ses yeux. profonde envie de lui dire tout ce qu'il se passe dans ta tête. mais perdre tes moyens devient religion à chaque fois. un jour viendra où elle te dira que l'homme à ses côtés est le bon. et malheureusement, pas toi. tu secoues ton visage. pensées négatives qui s'envolent. le soleil ne doit pas s'éteindre même quand le myocarde se serre constamment dans l'attente d'une illusion. d'un bonheur que représente la blonde au loin.

sourire sur les lèvres. action qui était autrefois si difficile pour l'enfant que tu étais. specter qui ont réussi à te le redonner après des années dans l'ombre et dans le froid. sourire que tu transmets à la douce maintenant à tes côtés. tu lui donneras toujours ton plus beau sourire jusqu'à la fin. surprise se lit sur ton visage quand tu vois ce qu'elle transporte. nourriture qui se retrouve rapidement entre les tiens sans rien dire de plus. « eh, mais tu aurais pu me le dire, j'aurais pris des trucs aussi, j'ai l'air con maintenant avec rien ! », comme si tu profitais de la jeune femme et de son argent. surtout une envie de faire plaisir à la jeune femme à travers snacks et sucrerie qu'elle pourrait apprécier. mais rire passe la barrière de tes lèvres à ses paroles avant que tu fasses un signe de la tête puisque les mains sont bloquées. « jamais trop lourd pour faire plaisir à la plus belle. tu me montres le chemin maintenant ? », compliment lancé dans la conversation, moyen de te lancer à moitié dans cette confession que tu finiras par lui faire un jour.

@Nova Davis & @Helios Specter
simplicité débordante, les astres s'alignent comme pour signe d'une relation faite pour prendre forme. elle a le sourire porté à la malice tout autant que l'esprit. femme-enfant qui en découle, elle est d'humeur joueuse, d'humeur à se jouer de l'autre, le rire anime la conversation alors que l'autre peste soudainement à la vue des achats excessifs de la blonde. négation qui se transcrit finalement au travers d'un signe de la tête, peu enclin à se montrer en phase avec le garçon face à elle. « il y a assez pour nourrir le quartier entier, au final c'est pas plus mal que tu n'ais rien apporté de plus que tout ça ! » qu'elle clame alors qu'elle contourne sagement le garçon. chaussures qui pèsent, chaussures qui ne sont guère faites pour une marche soudaine de la sable, elle a la moue qui se colle au visage alors que le retrait des talons s'annonce. premier pas sur la poussière des mers alors qu'elle engage un chemin quémandé quelques secondes plus tôt par son acolyte du jour. « la plage est assez vaste... j'espère que t'es prêt à marcher ! » à nouveau le rire retenti, sous ton de moquerie enfantine alors qu'elle note de par un regard, la peine que se donne l'autre à porter les sacs faramineux. « j'espère que tu ne nous fais pas le petit poucet avec tout ça. » haussement d'épaule alors que la marche s'engage à nouveau. quelques pas par-ci, puis par-là, elle déambule telle une enfant sur le sable, chemin creusé par ses pieds alors que parfois, les yeux se portent sur le garçon non loin. « j'espère que t'as pas prévu de te baigné ? j'ai pas l'impression que le temps de ce soir soit propice à ça. » faible soupire alors que le souffle lui manque, mettant ainsi fin à sa marche au beau milieu d'une dune légèrement présente. grimace digne d'une enfant capricieuse alors qu'elle reporte le pas jusqu'à finalement retrouver une proximité avec le bord de l'eau, sans pour autant s'en approcher. « on peut rester là, je pense. »