TW : dysfonctionnement familial - carences affectives/troubles de l'attachement - chantage affectif - consommations excessives d'alcool & drogues - tentative de suicide
âge & naissance : Même si ce n'est plus que pour quelques mois encore, Novalyn a 25 ans (bientôt 26) et est née le 02 novembre 1998 à Brisbane. origines & nationalité : Australienne, avec des origines néerlandaises, espagnoles & indonésiennes. finances et emploi : $$$$$, fille unique d'un magnat de l'immobilier, la poupée a toujours vécu dans l'abondance et le luxe. Héritière de la société immobilière Carrington Property Group de son père, position qui lui a été attitrée sans qu'on ne lui demande son avis. Pomme qui tombe non loin de l'arbre, elle a entrepris des études en architecture. Fraîchement diplômée, elle s'est envolée pour Rome en mai 2024 dans le cabinet de ses rêves en qualité d'Architecte Junior avant que tout ne s'effondre et n'acte son retour en ville. statut civil : Incapable d'y répondre, elle a le cœur en vrac et les pensées qui se mélangent pour ne former qu'un brouillard dans son esprit. Elle ne se rend pas compte que le réponse est sous ses yeux, ou peut être que si, mais la réalité est telle qu'elle ne peut pas l'accepter. Célibataire, elle préfère briser les cœurs pour oublier que le sien est en miettes. orientation sexuelle : Les hommes, rien que les hommes, la poupée ne s'est jamais posée la question puisque c'est une évidence pour elle qu'elle est hétérosexuelle. situation familiale : Issue de l'amour fané de Frans Janssen Carrington et Sofia Rodriguez, Nova est l'unique fruit de leur union. Famille dysfonctionnelle, les exigences en constante augmentation a toujours mis à rude épreuve les liens entre les membres de la famille. signe astrologique : Scorpio girl. le pire tue-l'amour : l'amour. un fantasme : des jumeaux ? (aa) à Brisbane depuis : sa naissance initialement puisqu'elle y est née et qu'elle ne l'a quitté que pour des escapades de courtes durées. Elle s'est pourtant envolée pour Rome en mai 2024 en laissant tout derrière elle pour fuir sa peine, mais tout ne se passe pas comme prévu et là voilà de retour à Brisbane depuis le mois de septembre. traits de caractère : insolente - séductrice - franche - intelligente - curieuse - vulgaire (verbalement) - artiste - rancunière - déterminée - arrogante - loyale - confiante (en apparence) - secrète - joueuse - fêtarde - manipulatrice - ambitieuse - provocatrice - indépendante - anxieuse - drôle - perfectionniste - dévouée - impulsive - empathique - instable émotionnellement - intègre - garce. avatar : cindy kimberly (origines néerlandaises, espagnoles & indonésiennes).

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romantisme (40%)	level de drague (75%)
engagement (30%)	passion (100%)
performance au lit (87%)	fidélité (100%)
nombre de cœurs brisés (99%)	recherche de l'amour (10%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
follow your brain, your heart is stupid as shit
L'amour, l'amour, l'amour. Les émotions qui s’emmêlent à mesure que les doigts s'enchaînent et qui finissent par exploser dans le creux du ventre. l'amour, c'est beau. l'amour, c'est magique.
just kiddin', ain't nobody got time for that.
Muscle battant qui ne s'observe qu'à travers du double vitrage, porte condamnée sans aucune issue. célibâtarde quoiqu'il advienne, la muse ne pose ses prunelles sur un corps que si le jeu de regard tient son intérêt en haleine (ou qu'elle est trop défoncée). L'art de la séduction qu'elle manie à la perfection, uniquement pour combler ses désirs et obtenir ce qu'elle veut. L'art de murer ce qu'elle ressent à la perfection, pour ne rien dévoiler, pour se protéger parce que l'amour, ça n'existe pas you freaking idiots.
Et puis... Il y a son nom. Celui qui remet tout en doute, celui qui la pousse à livrer bataille contre son esprit, celui qui ne pourra plus jamais être sien à présent. Alors d'un revers de main insolent, elle balaye la douleur qui crispe son muscle battant et elle laisse d'autres prénoms glisser entre ses lippes entre deux gémissements. *covers up real feelings with aggresive sarcasm*

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Elle ? Une déception amoureuse ? Let me laught out loud.
Nova, c'est elle qui brise les cœurs. C'est elle qui réduit en cendres chaque espoir de la faire sienne. C'est elle qui vous fait croire qu'elle brûle d'un feu ardent pour vos beaux yeux et qui ne laisse qu'un grand vide après son passage. Nova, elle peut pas s'attacher, elle ne peut pas aimer, ce n'est qu'un bocal vide comme le répète si souvent son père. Elle ne sait pas ce qu'est l'amour, ne l'a jamais ressenti et ne pense même pas que ça existe réellement.
Bitch please, you can't broke a broken heart.
Parce que Nova, elle ne s'en rend pas compte, mais son myocarde est en mille morceaux. Nova, elle étouffe depuis qu'il n'est plus dans sa vie. Ou plutôt, qu'elle a choisi qu'il ne serait plus dans sa vie. Ou peut-être, que c'est lui qui en a décidé ainsi après avoir succombé au charme d'une blonde élégante ? Peut être que son rire est plus mélodieux que le sien, que sa peau est plus douce que la sienne, qu'elle le fait fondre davantage qu'elle.
C'était toi et moi contre le reste du monde.
Alors pourquoi il a menti ? Pourquoi il n'a rien dit ?
Il était où quand l'étoile était au plus bas ? Il était où lorsqu'elle l’appelait sans cesse dans son désespoir ? Hein ? T'étais où, Jun, quand elle avalait toutes ses pilules et que le mascara séché lui brûlait les joues ?

(un) Unique enfant de Frans Janssen Carrington et Sofia Rodriguez Carrington, Novalyn est venue faire le bonheur de ce couple dont les tentatives d'enfanter se sont révélées être un échec plus d'une fois. Le poupon enfin dans leur bras, ils ne pouvaient espérer mieux, irradiés par la beauté de cet enfant si gracieuse, poussant des cris telle une douce mélodie. Après le décès de son père aux Pays-Bas, Franz s'est envolé pour l'Australie en compagnie de sa mère remariée quelques temps plus tard avec M. Carrington qui deviendra un homme d'affaire réputé dans le domaine de l'immobilier. Devenu un pilier important de la société de celui qu'il considère comme son père biologique, il gravira les échelons pour être digne de cette cuillère en argent dont il a bénéficié postérieurement. Sofia Rodriguez, ce nom qui a fait chavirer son cœur, il le tatouera dans son myocarde, voulant sienne cette brillante avocate dont il n'arrive pas à dévier le regard. Une histoire assez classique d'un homme qui tombe amoureux d'une femme, d'une femme qui tombe amoureuse d'un homme et qui décide de s'unir à jamais et de fonder une famille. (deux) Les Carrington aiment leur fille, indéniablement, profondément (trop), assez pour ne vouloir que le meilleur pour elle, selon leurs propres convictions. Les Carrington sont puissants et font des envieux, ils sont beaux, riches et intelligents, tout ce qui en fait rêver plus d'un. Mais Nova, elle s'en fiche de tout ça, elle qui n'a que 5 ans et dont les cris suite à une chute ne s'estompent qu'en présence de sa nourrice, sa mère impuissante, assistant à la scène. Les Carrington réussissent dans la vie, ont du pouvoir, mais ils n'arrivent plus à rassurer leur enfant, laissée aux soins d'Hélène qui s'en occupe comme la prunelle de ses yeux. Des carrières professionnelles trop prenantes comme excuse, le couple Carrington fuit leur quotidien devenu trop répétitif et ennuyeux à leur goût en sacrifiant leur enfant, Nova devenant un dommage collatéral. (trois) La poupée grandit dans une atmosphère froide et dure, loin de toute affection qu'elle ne trouve qu'auprès de sa nourrice. Elle est le personnage principal des conversations de ses parents dans les soirées mondaines, mais ce n'est que l'ombre de ce qu'elle est réellement. On lui prête un avenir radieux et on avance son parcours scolaire à la limite de la perfection, parce qu'elle aime ça, Nova. Hélène lui répète sans cesse que c'est grâce à cela qu'elle se démarquera, elle qui voit bien à quel point l'enfant est en difficulté en portant ce nom qui lui donne tant de responsabilités. Elle n'en veut pas, Nova, elle veut juste faire ce qu'elle aime et continuer à découvrir le monde. Mais ses envies et besoins ne sont pas une priorités, non, les Carrington décideront de ce qu'elle deviendra, coûte que coûte. Ils sont fiers quand leur fille parle de ses ambitions, qu'elle veut devenir une architecte brillante. M. Carrington, particulièrement, ça lui plaît de voir que sa fille souhaite enjamber une carrière proche de ce pourquoi il a tant travaillé, mais il impose ses conditions, elle devra faire comme il le veut lui, comme l'exige son nom et sa réputation. La petite étoile s'accroche à cela, imaginant que ses parents la soutiennent dans ses projets, mais tout cela n'est qu'une illusion. Elle sait pourtant, que cela nourrit uniquement l'image prestigieuse de sa famille et que si c'était pour autre chose, ils ne la laisseraient pas faire. (quatre) Cette volonté de toujours satisfaire ses parents la suit comme une obsession dont elle ne peut se débarrasser. Anxieuse, elle apprend à ses dépens qu'il ne faut jamais rien montrer de ce que l'on ressent et tout garder pour soi. La poupée construit cette forteresse dans laquelle elle se réfugie souvent, trop souvent même. Elle a du mal à se lier à ses pairs qui ne creusent pas plus, laissant cette image de fille froide et superficielle derrière elle. Ça lui fait mal au cœur, à Nova, mais elle se dit qu'au moins, elle ne laisse à personne l'occasion de l'atteindre, de la décevoir et donc, de lui faire du mal. Pourtant, cela ne l'empêchera pas de se lier à ces quelques personnes qui deviendront sa véritable famille. Ses meilleurs amis à vrai dire, même si la douce ne s'autorisera jamais à le dire haut et fort. Ils s'en fichent, eux, de cet héritage qu'elle porte lourdement sur ses épaules, ils s'en fichent de son nom ou de la valeur de ce qu'elle porte. Ils l'acceptent comme elle est, davantage avec ses fragilités et cette glace qu'ils arrivent à faire fondre de temps en temps, plus que quiconque jusqu'à présent à vrai dire. Elle ne leur dira jamais, mais elle les aime, eux qui ne la jugent jamais et qui l'intègrent aisément dans ce groupe pour lequel elle pourrait mourir si on le lui demandait. (cinq) Nova tente tant bien que mal de reprendre sa vie, se focalisant sur ses études qu'elle réussi sans difficultés. Elle aime imaginé bâtir des immeubles, elle aime y ajouter de l'émotion et une histoire, comme si elle racontait ce qu'il se passait réellement en elle. Ses dessins sont authentiques, réfléchis et d'une beauté incomparable. Elle s'y accroche comme si c'était la seule chose stable dans sa vie, alors qu'elle est toujours si enviée par sa situation familiale et financière. Sa beauté irradie à chaque fois qu'elle se rend quelque part et pourtant... Elle n'a que faire de tout cela, Nova. Elle veut qu'on la regarde parce qu'elle est intelligente, parce qu'au fond d'elle, il y a cette chaleur qui n'attend que d'être domptée et parce que sa douceur peut changer n'importe quel être. Mais encore fallait-il que tout cela soit perçu. Non, Nova elle sait qu'on lui prête des adjectifs péjoratifs, qu'elle n'est que cette glace sans sentiments qui est prête à tout pour arriver à ses fins. On la veut stupide et matérialiste, puis manipulatrice et mauvaise lorsque ce n'est pas superficielle et ingrate. Toutes ces remarques pour lesquelles elle ne donne qu'un sourire en guise de réponse, déçue cependant de cette image qui lui colle à la peau. (six) Les poings serrés, le cœur meurtri, Nova s'autorise pour la première fois à laisser ses larmes couler le long de ses joues. Ce n'était pas comme si elle pouvait les contrôle après tout. Pas après avoir tout découvert. Elle qui a tant fait pour entrer dans les bonnes grâces de son père, elle qui faisait de son mieux pour tenir sa mère instable émotionnellement debout, tout venait de tomber à la renverse. Elle savait maintenant, Nova, elle savait tout. Qu'il y avait cette autre femme, depuis tant de temps. Elle savait qu'elle n'était pas une erreur de parcours, un flirt sans importance ou un sentiment passager. Non, cette femme était bien là, agrippée à son bras depuis toutes ces années. Comment aurait-elle pu le savoir plus tôt, ils ne faisaient que travailler ensemble depuis tant de temps. Elle qui partait souvent en voyage d'affaires avec son père, elle qui n'hésitait pas à accepter les invitations à dîner au domicile familial et était véritablement le bras droit de ton père. Elle avait toujours été là, partout, jusque dans ses draps. Le monde de Nova s'écroule. Ses principes. Ses convictions. Tout ce qui faisait d'elle la personne qu'elle était. Son anxiété et ses angoisses prennent le dessus de plus en plus, elle perd le contrôle. Que faire de cette information ? Son intuition est juste, elle devait absolument en parler à sa mère qui méritait bien mieux que cette situation. Mais c'était impossible. Madame Carrington luttait chaque jour contre la dépression et même si cela ne se voyait absolument pas en dehors des murs de sa maison, il était certain qu'elle n'y survivrait pas. Nova ne pouvait pas lui faire ça. Comment avait-il pu la mettre dans une telle situation? (sept) Elle a réussi. Tant bien que mal et malgré tout ce qu'elle avait vécu, malgré tout ce qu'elle vivait encore, elle avait réussi. Nova avait obtenu sa licence et elle souriait sincèrement en allant chercher son diplôme sur cette estrade. Elle est fière d'elle même, fière de tout ce qu'elle avait accompli malgré les circonstances. Ses parents sont là, ses amis sont là, que peut-elle demander de plus ? Illusion. Déni. Il ne faut que quelques secondes pour la poupée pour se prendre la réalité en pleine face. Elle n'y arrive plus, à faire semblant, comme si tout allait bien. Elle méprise ce père qu'elle a envie de secouer dans tous les sens. Elle a envie qu'il souffre, qu'il se rende compte du mal qu'il est en train de faire. Le regard noir, elle le fixe un peu trop longtemps avant de se reprendre difficilement. C'est à partir de ce moment-là qu'elle a pris sa décision : Nova allait réussir en son nom propre, pas celui de sa famille. Elle allait briller de mille feux par son intelligence et ses compétences et plus jamais un.e Carrington n'allait lui mettre de bâton dans les roues. C'en était terminé des exigences et limites imposées par ses parents, elle allait faire honneur à tout ce qui se disait sur elle il était temps qu'une nouvelle ère débute : You can tell Jesus that the bitch is back. (huit) Elle perd le contrôle, sa raison s'éloigne petit à petit. La boisson circule dans ses veines à une vitesse folle et pourtant la poupée continue de s'enfoncer dans son chaos. Elle n'a que faire de ce qu'il se dira d'elle après tout ça. Elle se laisse glisser doucement, comme si cela l'approchait davantage de sa liberté. Elle sort Nova, souvent, trop souvent, presque tous les soirs. Elle s’enivre de ce liquide qui lui brûle la gorge, mais lui donne l'impression d'être vivante. Elle rentre à l'aube sans s'inquiéter des remontrances de parents absents. Même la tristesse dans les yeux d'Hélène qui attend souvent son retour ne lui fait plus rien. Sur un coup de tête et sans en aviser ses parents, elle décide de quitter la maison familiale et de s'installer seule, prenant cette indépendance trop large pour elle. Le plaisir ressenti lorsqu'elle se déhanche et se laisse aller est bien trop agréable pour qu'elle se décide à tout arrêter. Elle s'en fiche, des conséquences, des rumeurs ou des remarques que l'on peut lui faire. Véritable bombe explosive, elle se laisse aller au gré de ses envies. Impulsive, elle divague et s'éloigne du large à mesure que les jours passent et c'est à peine si on peut entendre cette voix intérieure qui supplie que l'on vienne la délivrer de ce tourment duquel elle n'arrive pas à sortir. Si ce n'était que ça, elle s'en sortirait. Nova, elle sombre à petit feu et ce n'est que le début. (neuf) La fin de tout. C'est ce qu'elle cherche désespérément alors qu'elle avance dans la pénombre sans une once de lumière pour la guider. Ses démons virevoltent au-dessus de sa tête dans une danse effrénée qu'elle est incapable de contrôler. Après avoir confronté le paternel face à ses erreurs, elle n'a fait que signer pour une chute brutale et écrasante. La pression s'intensifie, elle suffoque et se laisse aller à des vices qui n'auraient jamais effleuré son esprit dans d'autres circonstances. La poudreuse au nez ou les pilules sous la langue, seule échappatoire dans lequel elle s'engouffre et qui lui fait perdre pied. La pression familiale sur les épaules - davantage du chantage affectif qu'autre chose - l'éloignement de ses proches qu'elle ressent comme un abandon effroyable et la sensation de n'avoir aucune valeur ont raison d'elle : Nova s'en va. Nova s'envole. Elle fuit l'Australie sans un bruit et laisse dernière elle toutes les ombres qui la poussaient à commettre l'irréparable et à s'ôter la vie, sauvée de justesse. (dix) Rome comme destination finale, bol d'air dont elle se nourrit pour survivre dans le chaos qu'est devenu sa vie. L'infime espoir qu'il y a une raison pour laquelle existe, qu'elle aussi, elle a de l'importance et qu'elle n'est pas ce bocal vide comme le répète si souvent son père. Elle veut s'élancer de ses propres ailes et pour ce qu'elle est vraiment. L'objectif du bout des doigts, l'espoir s'évapore lorsqu'elle découvre que ses efforts n'ont pas d'importance. C'est encore son nom, son père et leur réputation qui ont encore gagné, qui lui ont ouvert les portes de ce rêve inouï. La rage, la déception et la douleur la poussent à bout, incapable d'accepter la réalité, nouvel échec qui la force à lâcher prise, à abandonner. Nova disparaît dans la nuit en laissant à nouveau tout derrière elle pour rejoindre les murs froids de son penthouse à Brisbane. Mais l'étoile a perdu sa lueur et plus rien n'a d'importance à présence. Elle se laisse chavirer ou plutôt, sombrer. L'astre est face, l'astre n'est plus.

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