TW : négligence parentale, abandon, toxicomanie, délinquance, détention juvénile, adoption, décès d’un proche.
âge & naissance : 34 ans. Elle est née en saison estivale, belle journée d’été à Brisbane, un 17 février 1990. Elle n’aime pas particulièrement vieillir, Aleyna, cette impression que les années lui fils entre les doigts. Il n’y a rien à dire de plus, si ce n’est peut-être la crise de la quarantaine qui se fait sentir bien trop tôt. Elle ne ressent pas forcément son âge, Lena malgré la vie mise à rude épreuve depuis l'enfance. origines & nationalité : Elle a la nationalité australienne depuis sa naissance. Aleyna a des origines turques de ses deux parents, pays d’origine qu’elle a pu visiter quelques fois durant son enfance, mais elle n’a plus quitté l’Australie depuis ses huit ans. Des origines et des traditions qui coulent dans ses veines. Aleyna, elle a ce mix des deux cultures et une langue qui lui est chère à son cœur. Des sentiments contradictoires face à ses origines, elle a sans doute la palme du paradoxe, Aleyna. Ses racines turques qu’elle n’a pas toujours pris soin de garder, elle n’en donnait pas une très grande importance alors qu’elle a été désorientée durant son enfance, forcée à se détacher de sa famille biologique. Cette culture qu’elle a perdue à travers l’abandon et le fait d’avoir coupé les ponts avec sa famille depuis longtemps. Cette illusion de croire qu’elle semble bien plus ancrée dans la culture australienne, et pourtant, c’est lorsqu’elle a repris contact avec certains membres de sa famille qui lui ont fait réaliser que ça ne s’était pas totalement envolé. finances et emploi : $$$$$, Une situation financière assez modeste et instable, mais elle ne s’en plaint pas Aleyna. Précarité financière qu’elle a toujours ressentie. Elle n’est pas née avec une cuillère d’argent dans la bouche. Du plus loin qu’elle se rappelle, elle s’est toujours débrouillée seule, Lena. Un temps où la délinquance lui apportait un peu plus, jusqu’à ce que les dettes s’accumulent avec les années. Elle est artiste céramiste et artiste peintre depuis de nombreuses années, même si la brune est une artiste à part entière, elle s’aventure dans l’art sans aucune limite en prenant tout ce qui lui passe sous la main. La passion pour la peinture, la poterie, l’illustration et le dessin qui n’est plus un secret pour elle, et dont elle donne des cours dans son atelier d’art. Si elle est plutôt douée dans sa carrière, il n’en demeure pas moins que l’artiste à des hauts et des bas. Précarité financière bien réelle, même si elle a toujours tout fait pour que sa fille ne ressente pas l’instabilité de son choix de carrière et de son statut de mère monoparentale. Aleyna, elle donne des cours d’arts dans son atelier pour arrondir les fins de mois difficiles et à ses heures perdues, elle est créatrice d'accessoires et de bijoux qu’elle façonne comme de véritable œuvre d’art. Le métier d’artiste qui ne sera jamais au beau fixe, mais cette vie qui lui plaît et qu’elle n’échangerait pour rien au monde. statut civil : Elle est divorcée, célibataire et mère monoparentale d’une petite fille de 6 ans. Son petit ami qui a laissé sa vie sur le terrain des suites d’une intervention d’urgence des sapeurs-pompiers quelques mois avant la naissance de Meyra. Elle a eu le cœur brisé par la perte, elle s’en est pourtant relevée. Elle donnera toujours une priorité à l’amour et plus particulièrement à sa fille sans compter ses efforts sans relâche à retrouver son fils. L’adoption qui la ronge de l’intérieur et des recherches qui semble sans succès. L’amour, le centre de son univers, peut-être parce qu’elle en a trop manqué, Aleyna. Cette dépendance affective, marquée par ces blessures d’enfance et d’adolescence. L’abandon qu’elle a autant vécu qu’elle ne l'a infligé. Son bébé qu’elle a mis en adoption à contrecœur alors qu’elle n’était qu’une adolescente dans cette période trouble et rebelle, prise dans cet établissement de détention juvénile. Lena, elle n’apprend pas de ses erreurs, jamais. L’âme rebelle, mais l’amour qu’elle a toujours priorisé, parce qu’Aleyna, lorsqu’elle aime, elle aimera toujours intensément, sans relâche. Elle tombe amoureuse bien trop facilement, elle s’emballe et ça s’écroule aussi vite que ça l’a commencé. Elle s’est divorcé à plusieurs reprises, troisième divorce au compteur. Les papiers du divorce à peine signés, une situation qu’elle tente d’encaisser, alors que son égo a été écorché bien plus que son cœur en réalité. Elle semble s’en remettre bien plus facilement, parce qu’elle a vécu de plus grandes peines Aleyna, que de se faire larguer pour une plus jeune. Son cœur encore jeune, comme aux premiers jours, prête à vivre de nouvelles aventures parce que l’amour, c’est fait pour être vécu. orientation sexuelle : Elle est hétérosexuelle, ses relations parlent d'elle-même. Une certitude qu'elle ne s'est jamais vraiment posée de question sur le sujet, Aleyna. Ce sont les hommes qui la font vibrer, l’évidence qui en découle de ses relations. situation familiale : Des parents biologiques qu'elle connaît peu, ou pas du tout. Elle sait qui ils sont, où ils vivent, mais Aleyna n’a pas cette curiosité ni l’envie de les retrouver alors qu'ils l'ont laissé tomber. Des parents aux prises par des problèmes de toxicomanie, des problèmes de jeux, d’alcool et de drogues qu’ils en ont négligé Aleyna au point d’en perdre la garde. Elle s’est retrouvée sous la protection de la jeunesse à enchaîner les familles d’accueils. Elle a bien connu deux ou trois familles qui lui convenait, mais ça n'a pas duré. Sa famille d’accueil fixe, aussi pourri que la sienne, alors qu’ils avaient comme seul intérêt de récupérer le chèque à la fin du mois, intérêt bien plus pour ce qu’il pouvait en bénéficier que pour elle. La brune qui s’est toujours débrouillée seule. Elle n’a pas le sens de la famille très développé la brunette à l’exception de ses enfants. C’est ce qui compte le plus pour elle, le bien-être de sa fille de 6 ans et ses recherches à retrouver son fils de 18 ans. Ses proches, qu’elle considère comme sa famille et qui se comptent sur les doigts d’une main, alors qu’elle a coupé les ponts avec sa famille d’accueil lorsqu’elle est sortie de détention et qu'elle était en âge de la majorité. Elle n’a gardé qu’un seul contact de sa vie d’avant Aleyna, son lien avec sa grand-mère. Relation qui n’a pas toujours été au beau fixe, mais qui est importante et à travers les années qui a donné tout son sens, lui permettant de renouer avec son identité. signe astrologique : Verseau, son signe astrologique qui caractérise autant son problème à l’autorité qu’à sa débrouillardise. le pire tue-l'amour : Les mauvaises odeurs, ou les parfums trop intenses surtout qu'Aleyna a une hyperosmie, elle ne supporte pas les odeurs trop intenses, turn-off total qui pourrait même la rendre malade. un fantasme : Plusieurs déjà réalisés, mais encore quelques-uns sur sa liste. En plein air, entouré par le calme et la nature, l’interdit, ce qu’elle ne peut avoir, qui sait, peut-être un jour finira-t-elle par tous les réaliser, mais ce dont elle fantasme le plus c'est celui d'être aimé réellement pour elle, parce qu'elle a un lourd passé Aleyna et qu'elle vient avec un bagage compliqué. L'amour sans qu’on ne veuille la changer, sans la brimer de sa liberté. Ce cliché de trouver l’amour, le vrai. Son romantisme qui l'a trahie, à chaque fois. à Brisbane depuis : toujours. traits de caractère : intuitive – spontanée – habile – dévouée – innovatrice – hardi. // bagarreuse – révoltée – orgueilleuse – versatile – tourmentée – désinvolte. avatar : Ayça Ayşin Turan. (turkish)

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romantisme (100%)	level de drague (30%)
engagement (90%)	passion (80%)
performance au lit (75%)	fidélité (70%)
nombre de cœurs brisés (60%)	recherche de l'amour (85%)

♡ qu'est-ce que le grand amour, selon ton personnage ? est-il à sa recherche actuellement ?
Elle a déjà connu le grand amour Aleyna. L’amour, elle y croit profondément, c’est le centre de son univers, parce que la brune, elle pourrait tout plaquer pour le grand amour, elle l’a même fait plusieurs fois. Divorcée trois fois plutôt qu’une, mais sa vision de l’amour ne change pas. L’amour, c’est fait pour être vécu, alors que des pages se tournent, il y aura toujours une relation amoureuse qui pointera le bout de son nez. Sans doute qu’elle est un peu naïve et fleur bleue Aleyna, mais elle l’assume totalement. Elle est dépendante affective ce qui fait qu’elle ne reste pas seule très longtemps, elle en est consciente Aleyna et c’est sans doute ce qui fait qu’elle sera toujours en recherche de l’amour, de cette prochaine flamme qui la fera vibrer.

♡ quelle a été la plus grosse déception amoureuse de ton personnage ?
Aleyna, elle n’a pas spécialement de déception amoureuse. Elle vit à la carpe diem, et pour elle l’amour mérite d’être vécu jusqu’au bout peu importe la fatalité. Elle n’a pas de regret amoureux Aleyna, ne regrette pas non plus de s’emballer, parce que c’est le cœur qui guide ses choix et pas la tête. Elle ne regrette pas son parcours de vie difficile, alors que ça fait d’elle la femme forte et indépendante qu’elle est aujourd’hui. Elle n’est pas défaitiste, Aleyna, ne voit que du bon dans les pires situations. La seule déception qu’elle a, c’est la difficulté à pouvoir retrouver son fils qu’elle a mis en adoption il y a 18 ans de cela. Tout comme le fait que sa fille ne puisse pas connaître son père qui est mort en véritable héros. La perte de son petit ami et père de sa fille a été difficile pour Aleyna, mais elle s’en est relevée avec brio.

EN VRAC ~ Elle est née et elle a toujours vécu à Brisbane, à quelques exceptions près pour des voyages dans son pays d'origine en Turquie, à Istanbul, elle n'a plus voyagé en dehors de l'Australie depuis, pas par manque de curiosité ou d'envie, mais plutôt parce qu'elle n'a pas les moyens financiers, Aleyna, alors elle se contente de faire des roadtrips à travers son pays natal. ‹ Elle est tombé enceinte alors qu'elle n'était qu'une adolescente. Un bébé qu'elle a mis en adoption à contrecœur pour tenter de remettre de l'ordre dans sa vie, cela fait plusieurs années qu'elle tente de retrouver son fils de 18 ans, Aleyna, mais pour le moment toutes ses recherches sont infructueuses, ce qui lui cause des problèmes d'insomnie. ‹ Âme rebelle, elle a cet air je-m'en-foutisme, Aleyna, cette tendance à s'attirer des ennuis facilement, adolescente elle a fait quelques délits, traînant dans les affaires illicites, au point de faire 11 mois dans un établissement pour jeunes délinquants. ‹ Elle aime rester en forme la brune, il n'est pas rare de la voir pratiquer quelques sports, et plus particulièrement des sports de combat. Elle sait se défendre la brune, son tempérament bagarreur qui ne passe pas inaperçu, et malgré les coups foireux, on ne peut pas lui enlever son talent pour les sports de combat. ‹ Elle déteste les promesses et encore plus lorsqu'on ne les tiens pas. Elle a du mal à les supporter Aleyna, sans doute à cause des nombreuses promesses et des abandons répétitifs qu'elle a fait face durant son enfance. ‹ La toxicomanie est un sujet délicat pour elle, ses parents biologiques en ont souffert au point de perdre la garde d'Aleyna quand elle avait 8 ans. Drogues qu'elle a consommé à son tour durant son adolescence avant d'en faire un sevrage. Sa plus grande peur Aleyna, c'est de ressembler à ses parents. ‹ Ses origines turques qu'elle n'a pas toujours honorée, elle a été désorientée forcée à se détacher de sa famille biologique et de sa culture. Cette culture qu’elle a perdue à travers l’abandon, mais qu'elle a retrouver lorsque sa grand-mère est réapparue dans sa vie. Une culture qu'elle a réapprivoisée avec le temps et dont elle donne de l'importance lui permettant de renouer avec son identité. Elle est bilingue Aleyna, elle parle l'anglais et le truc. Sa langue maternelle qu'elle tente d'inculquer à sa fille autant que possible. ‹ Accroc à la caféine, Aleyna a besoin de sa dose de café pour bien débuter sa journée, au risque de voir son humeur changeante et c'est sans compter qu’elle passe son temps à arrêter de fumer et à recommencer, une habitude qu’elle n’arrive pas à lâcher totalement face au stress du quotidien. ‹ Grande passionnée d'art et plus particulièrement par la poterie et la peinture, elle est très habile de ses mains Aleyna et elle a son propre atelier d'art, elle enseigne la poterie, la peinture et le dessin la brune, mais elle est fan d'artisanat en général, étant également créatrice d'accessoires et de bijoux à ses heures perdues. ‹ Elle a une fille de six ans qu'elle élève seule depuis sa naissance, son petit ami a perdu la vie en véritable héros alors qu'elle était enceinte de 7 mois, situation qui a été compliquée à gérer, grande perte, mais un deuil dont elle s'en est relevée, Aleyna. Sa fille la prunelle de ses yeux qu'elle tente de protéger autant qu'elle peut. ‹ Contrairement à ce qu’on pourrait croire, elle n’a rien d’une grande fêtarde la brune. Elle fait la fête, comme tous les jeunes de son âge, mais ce n’est pas ce qui l’intéresse le plus. Aleyna, elle a consommé ici et là, mais elle se tient loin des consommations abusives qui l’ont beaucoup marquée. Elle est celle qui est raisonnable, et elle est plutôt dédiée au rôle de chauffeuse désignée durant les soirées trop arrosées. Parce qu’elle est restée marquée par tout ça, Aleyna. ‹ Elle aime se retrouver avec un livre à la main dans un bon hamac au soleil. Elle ne s'y connaît pas beaucoup en littérature la brune, mais Aleyna aime prendre des pauses lectures. ‹ Elle est intuitive et malgré les nombreuses galères elle a toujours suivi son instinct. Aleyna qui est guidé beaucoup plus par son cœur que la tête, un instinct auquel elle croit profondément et qui l'a sauvé à quelques reprises. ‹ Elle n'est pas si mauvaise cuisinière, Aleyna n'est pas une passionnée de cuisine, mais elle arrive à se débrouiller sans trop de mal.

(un) Aleyna est née dans un quartier modeste de Brisbane en Australie. Sa famille est originaire d’Istanbul en Turquie, mais les Yilmaz, ils vivent en Australie depuis des générations. Ils ont toujours gardé un attachement à leur pays d’origine, tentant d’y retourner autant que possible. Sa culture et ses coutumes sont restées bien ancrées, tout comme sa langue maternelle qui lui est chère à son cœur. Elle a grandi à Brisbane et elle a été trimbalée entre Brisbane et Istanbul, Aleyna. Des parents originaires de la Turquie et des traditions dont elle s’imprègne très tôt dès l’enfance. Elle connaît les deux villes comme sa poche la brune et elle s’y plaît dans ce mix de la culture australienne et turque. (deux) Enfant qui a longtemps été désiré par ses parents. Ils ont eu des difficultés à concevoir, mais Aleyna a été l'enfant qu'il n'attendait plus. Et si ça a fait le bonheur du couple, elle est arrivée sur le coup de la surprise, Aleyna. Enfant désiré, mais qui n'était plus dans les plans, elle a tout bousculé Aleyna. Le rêve d'être parent qui avait laissé place à d'autres projets ce qui les a ébranlé, les Yilmaz. Aleyna est enfant unique, sa naissance n’a pas fait le bonheur de tous, mais elle ne l’a pas tellement ressenti la brune, ayant reçu beaucoup d'amour dès sa naissance. Aleyna, elle vient d’une famille dysfonctionnelle, bien que très conservatrice. Ses parents qui se sont précipités à se marier alors que sa mère était enceinte, tentant de sauver leur réputation. Des parents qui viennent d’un milieu aisé, jusqu’à ce que les dettes finissent par s’accumuler. Elle a grandi dans un quartier modeste de Brisbane Aleyna alors que la relation de ses parents n’a pas duré dans le temps. Ils étaient pourtant très amoureux, c’est ce qu’on lui a dit parce que Lena, elle n’a pas de souvenir très clair de cette époque. (trois) Les petits boulots de ses parents qui défilent, la stabilité financière qu’ils n’ont plus depuis que ses parents sont divorcés. Réalité difficile à accepter, des parents qui ont sombré et ont perdu le contrôle. La faille face à leurs responsabilités parentales, délaissant, négligeant leur fille unique par la dépendance aux substances illicites et aux jeux et à l'alcool qui ont refait surface et qui pouvait se sentir à travers les murs de la maison. Environnement familial toxique, elle a grandi dans une dynamique un peu différente des autres enfants, Aleyna, mais elle n'en était pas moins heureuse, peut-être par cette innocence d’une enfant qui ne réalisait pas ce qui se passait dans la cour des grands. Enfant, elle avait cette fibre artistique Aleyna, l’art qui la passionne depuis toute petite et puis, il faut dire qu’elle se retrouvait souvent chez les Barrows se liant d’amitié rapidement avec Rhett. Aleyna, ça lui faisait oublier les problèmes qu’elle pouvait vivre dans la maison familiale. Un second souffle, l’amitié sincère, fusionnelle et cette enfance encore innocente à se trimbaler à bicyclette dans le quartier de la ville avec ses amis, parce qu’elle ne tenait pas en place Aleyna. Elle a toujours eu ce petit côté à foncer dans le vide, cette indépendance et sa nature à se débrouiller seule. Elle aimait partir à l’aventure, la brune. (quatre) Aleyna est tombée dans une famille où la dépendance aux jeux, à l'alcool et aux drogues était très présente. Les débuts qui étaient stables, des parents en contrôle de leurs déboires jusqu’au moment fatidique de leur divorce qui est venu tout changer lorsqu’elle avait 6 ans. Ses parents qui souffraient de toxicomanie, sa mère qui parcourait les casinos face à cette dépendance aux jeux et cette famille qui avait fini par s’endetter. Ça n’avait pas pris grand-chose après leur divorce pour qu’ils perdent le contrôle, le besoin de s'évader et de se changer les idées qui a mal tourné. Consommation d’alcool et de drogues abusives, ils avaient pourtant réussi à s’en sortir pendant quelques années, jusqu’au moment où le divorce était tombé et la honte et la réputation de la famille qui s’était envolée, la pression familiale sur leurs épaules et la négligence face à leurs responsabilités parentales qui a pris le dessus. C’était assez pour les voir rechuter les Yilmaz, première fois qu’elle voyait ses parents tomber de haut, Aleyna. Son père qui souffrait d'une dépendance aux drogues dures depuis l’adolescence et dont les symptômes avaient refait surface après le divorce. Cette rechute inévitable, cet état désorganisé, les médicaments qu’il ne prenait plus, des crises incontrôlables et les désillusions. Aleyna, elle a été délaissée par ses parents et marquée par la situation. (cinq) Les absences qui s’accumulent à l’école, les vêtements inappropriés et très souvent sales et peu soignés, la somnolence, les problèmes de concentration. Il lui arrivait même à voler de l’argent ou de la nourriture à ses camarades de classe. Aleyna qui se plaint d’avoir faim beaucoup trop souvent, tous des signes qui inquiète son professeur alors qu’elle n’a que 6 ans. Le signalement de son professeur qui a gâché sa vie. Du moins, c’est ainsi qu’elle le perçoit et qu’elle le ressent sur le coup, la brune. Parce que même s'ils se souciaient de son bien-être et que ses parents, elle les voyait peu, ils étaient toujours dans sa vie. Ils avaient enchaîné les visites avec les intervenants, les nombreux signalements et les avertissements que ses parents avait reçus et pourtant rien n'y faisait pour arranger les choses. L'enquête qui a pris fin laissant place à sa nouvelle réalité. C’est à l’âge de 8 ans qu’Aleyna venait de se retrouver sous la protection de la jeunesse, du jour au lendemain. Ses parents qui l’avaient abandonnée, ils ne s'étaient pas battus contre un système qu’ils ne connaissaient pas et dont ils étaient impuissants. Des responsabilités face à leur fille qu’ils avaient abandonnées depuis plus de deux ans, déjà. Aleyna, ce qu’elle vivait lui semblait normale alors l’abandon elle le vit très mal et elle ne le comprend pas alors qu’elle n’a plus de nouvelle du reste de sa famille. Famille déchirée, seule sa grand-mère qui a tenté de se démener pour elle, mais sans succès. Elle venait de perdre ses repères Lena, perdant ses amis au passage et sa garde qu’on retire à sa famille à la fin de l’année scolaire. (six) Elle a 8 ans quand elle se retrouve en famille d’accueil, Aleyna. Elle passe les premières années en famille d’accueil, et en centre jeunesse ce qui ne se passe pas toujours bien. Aleyna, elle est fragile et fait des crises à défaut de ne pas comprendre ce qui lui arrive. Les familles d’accueils ont été nombreuses. Trop nombreuses pour son jeune âge. Elle se faisait trimbaler au point de changer de ville par moment. Aleyna, elle a changé d’école à quelques reprises, parfois à cause d’un déménagement, d’autres fois parce qu’elle enchaînait les emmerdes. Une adolescence compliquée avec sa réalité bien distincte et ce qu’elle vit à travers les familles. Elle a un toit sur la tête pour dormir, Aleyna, elle va à l’école, elle est même plutôt douée la brune, et puis, elle tombe amoureuse pour la première fois, toutes des choses d’adolescente qui la font se sentir bien et un peu plus comme les autres. Une certaine normalité, bien qu’elle n’aime pas particulièrement les étiquettes. Aleyna, elle a toujours eu ce tempérament indépendant, à se débrouiller toute seule. Elle ne s’en plaint pas la brune, elle n’est pas du genre à s’abattre facilement, retrouvant une bande d’amis avec qui elle arrivait à partager son traumatisme d’enfance. Et puis Aleyna, elle traîne avec des gens aussi paumés qu’elle en centre jeunesse, sentiment d’appartenance qui fait son apparition rapidement. Les ruelles de Brisbane qui n’ont plus de secrets pour eux. Elle traîne dans les rues Aleyna, se tient avec des fréquentations douteuses et son côté rebelle qui commence à pointer le bout de son nez. Elle a du mal avec l’autorité, elle n’en fait qu’à sa tête sous ces airs de je-m’en-foutisme, et rebelle, parce qu’elle a tout perdu Aleyna, au point où elle commence à consommer, une façon de s'évader à son tour de cette réalité qu'elle a envie d'oublier, sans doute qu'elle ressemble à ses parents bien plus qu'elle ne le croit, même si elle refuse de se l'avouer. Elle n’a plus rien à perdre, Aleyna et faire confiance à un adulte relève d’un grand défi. Si elle se trouve où elle est, à enchaîner les familles d’accueil, si ses parents sont encore sous l’influence de l’alcool et des drogues, si sa mère est toujours dans les casinos à s’endetter, c’est à cause de ce foutu professeur qui a dénoncé au lieu de les aider. Du moins c’est l’analyse que l’adolescente en fait, c’est sous ce regard, cet angle face à sa situation et pourtant les souvenirs de son enfance son parfois flou, son subconscient qui brouille les cartes face au passé. Elle enchaîne les coups foireux, Aleyna et elle ne va pas du tout dans la bonne direction, comportement autodestructeur. Se retrouvant à faire des petits délits alors qu’elle n’a que 15 ans. Des vols sans trop d’importance et traînant dans les affaires illicites ce qui lui permettait d'accumuler des sommes importantes d'argent. Elle se faisait trimbaler à droite et à gauche, ce qui se passait bien avant d’être tombé sur cette nouvelle famille qui accueillait l’adolescente à problème. Manque de patience envers elle, probable. Un manque d’expérience assurément. Famille désemparée qui avait pris Aleyna, un cas désespéré. Elle ne se sentait pas à la maison Lena, cette impression que cette famille était plus là pour les avantages et les chèques à la fin du mois que pour elle, mais elle jouait le jeu avec eux, ça lui permettait d’avoir un toit où dormir et d’arrêter de se faire trimbaler, même s’il lui arrivait aussi de faire des fugues de temps en temps, son échappatoire à retrouver sa bande. (sept) Ça faisait un moment qu’elle enchaînait les vols et les affaires illicites avec sa bande, Aleyna, elle ne manquait plus d’argent, une certaine sécurité se faisait sentir, à croire qu’avoir trop d’assurance avait fini par la nuire. Le vol de trop à se faire prendre alors que les flics étaient dans le coin. Elle s’est fait prendre avec d’autres de ses copains la brune, comme des idiots, comme des débutants. Des gamins, voilà ce qu’ils étaient, mais elle avait été chanceuse dans sa malchance Lena. Petit délit mineur, elle se retrouva rapidement en détention juvénile. L’horreur, elle n’a rien connu de pire Aleyna, enfermé pendant 11 mois, mains tremblantes et sevrage difficile. Cet endroit à l'ambiance hostile, se retrouvant avec des jeunes avec des problèmes bien plus compliqués qu’un cas de délit dans son genre. Sa liberté brimée et le fait qu’elle se retrouvait enceinte en même temps, véritable cauchemar dont elle tente de se réveiller. Elle avait été sous le choc Aleyna, enceinte de deux mois, une annonce qu'on lui avait fait entre les murs à la suite d'examens médicaux, un choc et ce retour à la réalité qui l'oblige à reprendre le contrôle sur sa vie alors qu'elle a les pieds bien ancrés dans cet établissement pour les jeunes délinquants. Une claque qu’elle recevait sur sa joue de son petit ami qui apprenait la nouvelle et qui venait la visiter. Aptal küçük kız ! Sa main qui se pose sur sa joue suite à cette claque reçue alors qu’elle fait signe à l’agent de sécurité pour lui dire que ça allait. En réalité, elle aurait eu envie de lui remettre sa claque à ce connard et bien plus encore. Les points qui se serrent, son côté bagarreur qui coule dans ses veines, mais il avait de la chance qu’elle était dans cet établissement et Aleyna qui faisait attention d’avoir un comportement irréprochable pour pouvoir sortir au plus vite. Le regard de feu alors qu’elle prend sur elle et qu’elle le regardait droit dans les yeux, elle ne l’avait pas fait seule cette enfant pourtant. Sen aptal çocuksun ve umrumda değil. L’instinct avait toujours été très important pour elle, c’est ainsi qu’elle avait passé à travers tellement de chose pour son jeune âge et elle en faisait de même pour la rupture de son premier amour qu’elle a balayé d’un revers de la main pour s’attarder à ce qui était plus important. Cette grossesse, même si elle n’était qu’une adolescente, elle était loin d’être idiote, elle savait ce qu’elle faisait Lena, elle savait dans quoi elle s’embarquait et elle savait à quel point la situation était déchirante. L’instinct, parce qu’elle portait la vie Aleyna et qu’elle irait à travers cette grossesse, même si elle savait qu’elle allait vivre bien pire. Étrangement, elle avait sa grand-mère maternelle à ses côtés, qui était réapparue dans sa vie. Celle qui s’était toujours démenée pour elle, celle qui avait tenté d’avoir sa garde, mais qu’on avait jugé trop fragile et trop malade à l’époque pour s’occuper d’elle. Relation complexe entre les deux femmes qui n’était jamais au beau fixe, mais Aleyna qui avait fini par la laisser revenir dans sa vie. Elles ne se comprenaient pas toujours, différence de générations et de cultures, parce qu’Aleyna, elle l’avait délaissé sa culture pendant des années et en retrouvant sa nene ça lui permettait de revenir à la source, retrouver son identité dans cette vie d’enfant bien trop mouvementée. La situation était compliquée, réputation au Yilmaz qu’elle écorchait à nouveau, faisant bien pire que ses parents, entre la délinquance et tomber enceinte durant l’adolescence. Elle ne comprenait pas toujours les choix qu’elle faisait, bien qu’elle avait compris Aleyna, maintenant qu’elle avait pris un peu de maturité, pourtant elle était encore là sa grand-mère lorsqu’elle avait eu son accouchement alors qu’il lui restait encore quatre mois de détention au compteur. C’est à contrecœur qu’elle laissa son bébé en adoption. Le cœur brisé et pourtant, c’était la meilleure décision qu’elle puisse faire Aleyna, lui donner la meilleure vie possible, même si elle craignait pour son fils. Est-ce qu’il aurait plus de chance qu’elle ? Est-ce qu’il tomberait dans une famille aimante et bienveillante ? Elle ne voulait pas penser au pire Aleyna et c’est épuisé et le cœur qui se sert, la gorge nouée, les larmes qui coulent sur ses joues en sanglot qu’elle laisse son bébé. Elle pense à son fils à tous les jours, Aleyna. Au point de ne plus en dormir, de ne plus manger, cette dépression qu’elle combat dans les mois qui suivent et pourtant la vie qui continue et quatre mois plus tard, elle finit par sortir de détention, retrouvant sa liberté. (huit) Sortir la tête haute, parce qu’elle a assez pleuré l’absence de son fils, parce qu’elle a besoin de se relever Aleyna, le passé qu’elle laisse derrière, repartir à zéro sans jamais se retourner sur les erreurs du passé. Les gens ne changent pas forcément, et même si elle a le même tempérament rebelle, et qu’elle s’est fait une carapace avec le temps, c’est sans doute cette force qui l’avait sauvée, parce qu’elle préfère rester forte Aleyna et tenter de se relever de la situation. Elle n’est pas du genre à se laisser abattre, encore moins de s’apitoyer sur son sort, elle est plutôt cette femme solaire qui préfère se retrousser les manches et voir de l’avant, parce qu'elle a espoir en l'avenir, Lena. Elle ne pouvait rien changer au passé, mais elle pouvait regarder de l’avant et tenter de se reconstruire. Tentant de retrouver le droit chemin, elle s’est débrouillée Aleyna, coupant les ponts avec sa famille d’accueil avec qui elle n’avait pas d’attachement, et ce, dès qu’elle avait atteint la majorité. Trouvant des petits boulots, dormant dans sa voiture quelques nuits le temps de récupérer assez d’argent et un logement, heureusement qu’elle avait encore une réserve dans son compte en banque la brune. Elle voulait simplement se trouver un toit sur la tête, un endroit où elle pouvait vivre convenablement. Elle n’en demandait pas tant que ça Aleyna. Des petits boulots qui s’enchaînent et de l’argent qu’elle tente d’économiser pour retrouver un minimum de scolarité. Elle est plutôt douée à l'école, mais elle a mis du temps à avoir un plan de vie. La vie d’artiste qui n’est pas vraiment conseillé, mais qui l’a toujours attirée, elle n’en fait qu’à sa tête Aleyna. Si elle avait l’air d’une personne très organisée, elle était aussi de ces gens qui ne planifiaient rien et vivaient beaucoup au jour le jour. C’est tout ce qu’elle connaissait, Aleyna, surtout qu’elle pouvait changer d’idée à tout moment. Vivre sans avoir d’attente, c’est comme ça qu’elle l’avait vécu son enfance, sans aucune promesse. (neuf) Elle retrouve un semblant de normalité, puis l’amour qui entre à nouveau dans sa vie. Elle a à peine vingt ans qu’elle se marie, Aleyna. Grande célébration aux traditions de sa culture colorée, et au mix des deux cultures, pourtant l’amour est éphémère, ça ne dure pas alors qu’ils tentent tous les deux de propulser leurs carrières respectives. Ils sont jeunes et cons, et Aleyna elle s’ennuie dans cette union, elle qui a besoin d’aventure. L’alliance qui est bénéfique, mais qui ne dure qu’un temps avant de se retrouver divorcer alors qu’elle a la jeune vingtaine. Des études variées dans l’art qu’elle entame, pour devenir artiste céramiste et artiste peintre, mais elle se spécialise aussi dans l’artisanat parce qu’elle s’intéresse à beaucoup de domaines artistiques la brune, parce qu’elle est passionnée, Lena. Depuis qu’elle est jeune, elle s’implique beaucoup dans l’art. Elle est douée à l’école, s’en sort facilement, tout comme le fait qu’elle se consacre beaucoup à son amour pour l'art. Du plus loin, qu’elle se rappelle, l’art était son échappatoire et ça l’apaisait. Un talent et cette agilité à travailler avec ses mains, elle est habile Lena, une passion pour la poterie, la peinture et parfois même le dessin qu’elle développe depuis qu’elle est jeune, un talent qui se remarque et des rêves plein la tête, parce que l’art est sa seule stabilité à Aleyna, l’art qui ne l’a jamais abandonné et c’est ainsi qu’elle décide d’avoir son propre atelier d’art. Elle est autodidacte la brune, elle qui avait commencé dès l’adolescence à confectionner des accessoires et des bijoux, parce qu’elle a cet esprit très créatif. La création qui est innée chez elle, un talent qu’elle développe. Elle avait cet intérêt pour le monde de la joaillerie qu’elle a commencé à créer ses propres accessoires et ses bijoux à ses heures perdues. Aleyna, elle peut aussi bien se poser devant un livre pendant des heures, mais ce qui la guide, c’est l’envie de s’aventurer vers l’inconnu. Elle n’en a pas toujours les moyens Aleyna, elle n’a plus quitté l’Australie depuis ce dernier voyage en Turquie qu’elle avait fait en famille, pourtant elle ne pourrait être plus heureuse que lorsqu’elle est en roadtrip avec des copains. Les choses qui se passent bien depuis qu’elle a repris sa vie en main, mais toujours cette culpabilité, l’abandon qu’elle a infligé à son fils, ce n’est pas un sentiment qui allait disparaître et cette pensée qu’elle a pour lui bien trop souvent, cette envie de le retrouver malgré le manque de ressources et des recherches qui demeurent infructueuses.

L’amour, ça reste le grand centre de son univers à Aleyna, qu’est-ce qu’elle ne ferait pas pour l’amour ? Cette dépendance affective bien présente et marqué par ses blessures d’enfance, peut-être qu’elle en a trop manqué Lena et qu’elle tente de le prioriser à tout prix. Lena, elle n’apprend pas de ses erreurs, jamais. L’âme rebelle, mais l’amour qu’elle a toujours priorisé, et les mariages qui défilent, parce qu’Aleyna, elle aimera toujours intensément, sans relâche, la brune. Elle tombe amoureuse bien trop facilement, elle s’emballe et ça s’écroule aussi vite que ça l’a commencé et pourtant elle ne regrette rien, parce qu’elle apprécie autant de le vivre que de tourner la page sur une histoire Aleyna. Deuxième mariage qui se fait sur un coup de tête, sur le coup de la passion, mais rapidement le temps qu’elle met à tenter de retrouver son fils prend toute la place au point d’en délaisser son mari. Rupture, ce divorce inévitable alors qu’ils se retrouvent avec des discordances dans leur couple, dispute à la voler, son passé qui refait surface, et des mois interminables avant de mettre fin officiellement à leur relation. (dix) Son dernier divorce qui l’a marquée, mais elle est plus sereine Aleyna, elle apprend à vivre seule à nouveau, vraiment ? Elle vit seule Aleyna, mais incapable d’être seule très longtemps que les relations amoureuses s’enchaînent dans sa vie. Des relations de quelques mois à peine qui défilent dans sa vie, elle cherche encore l'étincelle, l'amour Aleyna. Les fins de mois qui sont difficiles, la vie d’artiste qui n’est pas au beau fixe, mais elle n’échangerait pas son métier pour tout l’or du monde. Elle est épanouie dans son métier Aleyna, entre son métier d’artiste céramiste et artiste peintre, elle a pu faire quelques expositions et vivre de son art, même si ce n’est pas suffisant et pour l’aider elle donne des cours d’art dans son atelier pour arrondir les fins de mois difficiles, tout comme elle est créatrice d’accessoires et de bijoux à ses heures perdues. Puis elle rencontre Levi, coup de foudre qu’elle a pour le pompier. Levi, il est sans doute celui qu’elle a aimé le plus, Aleyna. Relation sincère, sans que la routine ou l’ennuie embarque dans leur couple. Levi, il n’a pas eu peur lorsqu’elle lui a avoué son passé bien trop lourd. Les recherches qu’elle faisait pour retrouver son fils, il l’a épaulé jusqu’au bout, Levi. L’amour plus fort que tout, sans aucun doute. Contrairement à ses autres relations, ils ne se sont jamais mariés, et ça lui semble encore invraisemblable à la brunette alors qu’après quelques années de relation, il y a eu cette envie dans l’air de fonder leur famille et la vie qui en a décidé autrement. Le métier à risque de Levi qu’on lui a arraché alors qu’elle était enceinte de 7 mois. Ses hommes en uniforme qui s’approchent de sa demeure et Aleyna, elle sait avant même qu’ils cognent à la porte. Ça faisait déjà quelques jours qu’elle n’avait plus de nouvelles, des suites d’une intervention d’urgence, l’incendie qui faisait rage en Australie. On lui annonça son décès, Aleyna, elle n’avait pas su comment réagir, si ce n’est qu’elle avait de la peine, un deuil difficile à faire alors qu’elle allait donner la vie à Meyra, leur fille. Se retrouvant mère monoparentale, elle ne l’avait pas vu venir, Aleyna, situation qui était loin d’être facile, mais elle avait toujours su se débrouiller qu’elle restait positive, malgré les moments difficiles. Elle n’a plus le temps pour l’amour, Aleyna. Sa fille qui devient vite sa priorité, en plus de son métier, elle ne regrette rien Aleyna, se contentant d’accepter tout ce qui lui arrive. Son cœur qui a été écorché par la perte de Levi, mais dont elle a une pensée pour lui lorsqu’elle voit grandir Meyra. La perte qu’elle a finie par surmonter, elle s’en est relevée, sans forcément l’oublier, l’amour qui entre à nouveau dans sa vie, elle tente de protéger sa fille avec ses décisions et parfois ses mauvais choix. Troisième divorce au compteur, les papiers à peine signés. Ce n’est pas le cœur qui a mal, mais son égo lorsque son mari en pleine crise de la quarantaine la laisse pour une femme bien plus jeune. La vie qui suit son cours, seule avec sa fille désormais, mais pour combien de temps ? Aleyna qui ne reste jamais seule très longtemps, bien qu’elle semble très préoccupée par les problèmes de sa fille à l’école dernièrement. Situation qu’elle tente de gérer du mieux qu’elle peut, même si la lionne sommeille en elle. Mère très protectrice qui prend souvent le dessus lorsque ça concerne le bien-être de sa fille.

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